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Maîtrise de la consommation d’électricité : 750 000 LBC seront distribuées en 2012.

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  • Maîtrise de la consommation d’électricité : 750 000 LBC seront distribuées en 2012.

    Sept cent-cinquante mille lampes à faible consommation d’électricité (LBC) seront distribuées en 2012, à travers le territoire national, dans le cadre du programme national de maîtrise d’énergie, en attendant la distribution d’un million de lampes à partir de 2013.

    Chérif Bennaceur - Alger (Le Soir) - Lancée sous l’égide de l’Agence nationale pour la promotion et la rationalisation de l’utilisation de l’énergie (Aprue), cette opération constitue la troisième phase de l’opération Eco-Lumière visant notamment l’amélioration de l’éclairage des foyers et la réduction de la facture d’électricité. Selon le directeur des projets à l’Aprue, Kamel Daoud, cité hier par l’APS, ces LBC, dont l’importateur sera sélectionné par appel d’offres, seront disponibles au niveau des bureaux de poste de 27 wilayas ciblées, pour un prix subventionné de 150 dinars la lampe (pour un prix réel de 300 dinars) et de puissance moindre. En ce sens, l’Aprue compte sensibiliser les ménages par le biais de spots radiophoniques au niveau des radios locales et par voie d’affichage et de distribution de dépliants au niveau des bureaux de poste et des lieux publics.

    Déjà 500 000 lampes distribuées

    Lancée en 2010, en partenariat avec les Sociétés de distribution d’Alger et du Centre (filiales de Sonelgaz), la première phase d’Eco- Lumière a porté sur la distribution de 250 000 LBC dans cinq wilayas du centre (Alger, Blida, Tipasa, Boumerdès et Médéa), pour un prix subventionné de 250 dinars (le prix réel était de 500 dinars). Entamée en 2011 en partenariat avec Algérie Poste, la seconde phase a porté, quant à elle, sur la distribution de 250 000 lampes à travers 1 100 bureaux de poste répartis sur 16 wilayas de l’est du pays (Oum El Bouaghi, Batna, Béjaïa, Tébessa, Sétif, Skikda, Annaba, Jijel, Guelma, Constantine, Bordj Bou- Arréridj, El Tarf, Khenchela, Souk Ahras, Mila et M'sila). Par ailleurs, l’Aprue ambitionne de distribuer un million de lampes à partir de 2013, afin de remplacer progressivement le parc national de lampes conventionnelles estimé actuellement à quelque 35 millions d'unités. Le coût de ces lampes sera également supporté à hauteur de 50% par les pouvoirs publics à travers le Fonds national de maîtrise de l'énergie (FNME).

    Vers le développement d’une industrie des LBC

    Cette opération se déroulera avec la contribution des opérateurs industriels privés et publics nationaux, explique M. Dali, qui précise que l’introduction graduelle des LBC visait à «ne pas porter préjudice à ces opérateurs qui commercialisent les lampes en question à des prix plus élevés». En outre, les pouvoirs publics favorisent l'émergence d'une industrie nationale dans ce domaine, notamment par le biais de facilitations et avantages financiers et fiscaux. Cette démarche devrait également permettre de réduire les prix des LBC, créer de la valeur ajoutée locale et contribuer à la création de nouveaux postes d'emploi, selon M. Dali.

    La moitié des LBC qui circulent sont contrefaites

    Près de la moitié des lampes à faible consommation qui circulent actuellement dans le marché sont contrefaites ou, à la limite, ne respectent pas les normes. Ce qui explique, en partie, leur durée de vie relativement moins longue que celles originales. L'utilisation à grande échelle des LBC permettra d'économiser jusqu’à 50 millions de dollars par an d'électricité, selon des experts. Les LBC qui seront distribuées dans le cadre de l’opération Eco-Lumière ont une longue durée de vie, environ 15 fois plus que les lampes traditionnelles et consomment quatre fois moins d’énergie. Côté environnement, ces ampoules émettent quatre fois moins de gaz à effet de serre et répondent aux normes internationales de sécurité.

    C. B.
    ÉCLAIRAGE PUBLIC

    50 000 lampes à mercure seront remplacées

    En parallèle à l'opération Eco-Lumière, l'Aprue s'est récemment lancée, en collaboration avec l'Etablissement de réalisation et de maintenance de l'éclairage public d'Alger (Erma) dans le remplacement des lampes de mercure par celles de sodium. Une opération pilote portant sur un millier de lampes vient d'être achevée dans la capitale, selon M. Dali qui ajoute qu'une opération similaire est en cours de préparation en collaboration avec les Assemblées populaires communales APC) et devra toucher l'ensemble du territoire national avec quelque 50 000 lampes. «Nous sommes actuellement en phase d'évaluation des besoins des Assemblées populaires communales», a-t-il expliqué sur ce sujet.

    C. B.
    Il y a des gens si intelligents que lorsqu'ils font les imbéciles, ils réussissent mieux que quiconque. - Maurice Donnay

  • #2
    Maîtrise de la consommation d’électricité : 750 000 LBC seront distribuées en 2012.

    Sept cent-cinquante mille lampes à faible consommation d’électricité (LBC) seront distribuées en 2012, à travers le territoire national, dans le cadre du programme national de maîtrise d’énergie, en attendant la distribution d’un million de lampes à partir de 2013.
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    Je ne suis pas fane de ses lampes ,le problème s'est le recyclage ,es-que s'est rentable...!

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    • #3
      Je ne suis pas fane de ses lampes ,le problème s'est le recyclage ,es-que s'est rentable...!
      La rentabilité ?
      Une LBC qui consomme 9 watts et sa durée de vie de 8000 heures ou plus, qui éclaire l'équivalant d'une lampe à incandescence de 40 watts que sa durée de vie ne dépasse pas 2000 heures, le choix est vite, le seul handicap c'est le prix qui est plus cher, mais la bonne nouvelle, c’est la continuité de la subvention de l'état à hauteur de 50%, c'est une bonne chose.

      Le recyclage ?
      Aucune idée.
      Il y a des gens si intelligents que lorsqu'ils font les imbéciles, ils réussissent mieux que quiconque. - Maurice Donnay

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      • #4
        Avantages

        La lampe à fluorescence présente plusieurs avantages par rapport à la lampe à incandescence classique :
        • un meilleur coefficient de performance : la lampe à incandescence a une efficacité de 14 à 25 lumens par watt, alors que la lampe fluorescente a une efficacité de l'ordre de 60 à 70 lumens par watt (ainsi une lampe fluorescente de 11 W produira le même éclairage qu'une lampe à incandescence de 40 à 60 W)
        • une durée de vie de six à quinze fois plus longue que la lampe à incandescence[1] (soit 6 000 à 15 000 heures contre 1 000 heures).

        Ainsi, bien que le prix d'achat soit supérieur à celui d'une lampe à incandescence, ses performances élevées en font un produit attractif à l'usage dès le premier achat pour le particulier. À l'échelle d'une nation, le bénéfice énergétique est important.
        • l'échauffement étant réduit, les risques de dégâts dus à la chaleur sont réduits proportionnellement (incendie, déformation des luminaires, etc.)
        • choix de la température de couleur

        Inconvénients



        Les inconvénients des lampes basse consommation sont :
        • Ces lampes sont particulièrement polluantes pour l'environnement en cas de rejet non contrôlé ou de casse à cause du mercure qu'elles contiennent. Elles sont considérés comme des déchets dangereux et doivent faire l'objet d'un recyclage spécifique.
        • Elles sont peu adaptées à un usage extérieur, notamment en cas de températures négatives.
        • Ces lampes ne sont pas forcément adaptées à certains contextes d'utilisation où le risque de bris est important (par exemple, les baladeuses) du fait que leur destruction accidentelle pourrait induire un risque pour la santé.
        • L'allumage et l'extinction trop répétitifs de la lampe diminuent la durée de vie de celle-ci[3].
        • Le rendu des couleurs (IRC), de l'ordre de 85, est moins bon que celui d'une lampe incandescente. Certaines couleurs sont déformées, car le spectre de la lumière n'est pas complet. Par exemple, le rendu de la couleur de la peau est altéré. Mais il existe des ampoules dites « lumière du jour » qui ont un bon rendu colorimétrique, mais rarement disponibles dans le commerce courant.[réf. nécessaire]
        • En raison de l'absence quasi généralisée de circuits correcteurs de facteur de puissance dans la partie redresseur des ballasts électroniques incorporés dans leurs culots, ces lampes absorbent un courant très déformé, conduisant à un taux de distorsion harmonique pouvant atteindre 150 % et un facteur de puissance très inférieur à l'unité (de l'ordre de 0,5)[4].
        • Coût énergétique de fabrication bien supérieur à celle d'une lampe à incandescence notamment à cause du ballast dont cette dernière n'est pas pourvue.
        • Le flux lumineux est alternatif à la fréquence double de celle du courant d'alimentation, comme pour les tubes fluorescents droits. Cet inconvénient peut produire une gêne oculaire, pouvant aller chez certains sujets sensibles jusqu'à la migraine.
        • L'allumage répétitif de la lampe augmente la consommation d'électricité, car comme pour le tube fluorescent, c'est l'allumage qui nécessite le plus d'énergie. Cette lampe, contrairement au tube fluorescent choisi pour son moindre coût énergétique par les entreprises le laissant toujours allumé le temps du travail, est donc le plus souvent inadaptée aux besoins des résidences privées.
        • Pour la majorité des lampes commercialisées, impossibilité d'utiliser un variateur de puissance.
        • Les dimensions (diamètre extérieur et longueur) sont souvent différentes d'un fabricant à l'autre, et très souvent non compatibles avec les luminaires conçus initialement pour les ampoules à incandescence.
        • Montée en puissance lumineuse souvent très lente après la mise sous tension (plusieurs dizaine de secondes pour obtenir 80 % de la puissance finale).
        • Le spectre n'est pas lisse et présente des pics. Par conséquent la lumière produite ne semble pas confortable.

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        • #5
          Composition d’une lampe basse conso fluocompacte:

          • verre : 88% du poids de la lampe fluocompacte.
          • métaux (fer, aluminium ou cuivre) : composent notamment les contacts et culots des lampes fluocompacte, soit 5% du poids des lampes.
          • plastique (entre le culot métallique et le verre) : 4% du poids de la lampe fluocompacte.
          • poudres fluorescentes (recouvrent l’intérieur des lampes) : 3% du poids des lampes fluocompactes. Les lampes fluocompactes sont constituées de terres rares (silicates, aluminates).
          • mercure : 0,005% du poids de la lampe fluocompacte. Il est mélangé avec un gaz non toxique : l’argon. Sa quantité a baissé de 90% durant les 25 dernières années.
          Il y a des gens si intelligents que lorsqu'ils font les imbéciles, ils réussissent mieux que quiconque. - Maurice Donnay

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          • #6
            lampes à faible consommation d’électricité (LBC)
            Ca ne serait pas plutôt mieux, pour le lecteur, d'écrire "lampes à basse consommation" et faire correspondre l'abréviation LBC avec la phrase qui l'a précédée?!...
            (رأيي صحيح يحتمل الخطأ، ورأي غيري خطأ يحتمل الصواب (الامام الشافعي

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