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Ces Algériens qui font le bonheur de la France

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  • Ces Algériens qui font le bonheur de la France

    il n'y a pas que du pétrole en Algérie, il y a aussi de la matière grise dont l'Occident puise à satiété sans aucune contrepartie. Quel bonheur!

    Pas moins de 66.000 hauts cadres ou «très diplômés» de nationalité algérienne, sont recensés dans l'Hexagone, selon une étude du Secrétariat général de l'immigration. L'étude n'est pas exhaustive car cette enquête n'a pas concerné toute la communauté d'origine algérienne.
    L'étude ne prend pas en compte les personnes nées françaises mais de parents étrangers en raison de l'interdiction des statistiques ethniques, selon cette enquête. Ainsi, l'Algérie est le pays d'origine le plus représenté, à côté du Maroc, avec 66.000, suivie de la Tunisie (26.000). Entre ces trois pays du Maghreb, s'insert le Royaume-Uni avec 40.000 diplômés et l'Allemagne (30.000). Il est tout de même incongru que ce nombre n'ait jamais été établi par le secrétariat d'Etat chargé de la Communauté algérienne à l'étranger, ni par la représentation algérienne en France pourtant bien étoffée et encore moins par des sources diplomatiques.
    Or, au moins deux départements ont fait de la question d'offrir les conditions et des opportunités de retour de ces diplômés, leur cheval de bataille. Il s'agit du département de Ould Abbès et du secrétariat d'Etat chargé de la Communauté algérienne en France. Il est évident que les multiples appels du pied à l'adresse de cette communauté n'ont eu aucun effet sur cette diaspora installée en France ou ailleurs. Il est presque avéré que cette communauté en France, refuse souvent d'entrer au pays.
    Sur l'ensemble des étudiants entrés en France en 2002, un tiers y réside toujours. Ils semblent s'être installés durablement, soit parce qu'ils sont mariés, soit qu'ils ont trouvé un emploi, ou alors qu'ils détiennent encore, pour 10% d'entre eux, un titre de séjour «étudiant», selon l'enquête. Selon certaines informations, 6000 médecins algériens, toutes spécialités confondues, exercent actuellement dans l'Hexagone. Les hauts diplômés sont plus que courtisés, toutefois ils connaissent un nouveau revers: la taxe sur leur titre de séjour a plus que doublé au 1er janvier. La France compte 6,24 millions de «très diplômés» (masters, grandes écoles et doctorats), dont 710.000 «immigrés».
    L'étude en question est publiée alors que le gouvernement français va émettre la semaine prochaine une circulaire assouplissant la délivrance du permis de travail à certains étudiants étrangers «hautement qualifiés», après plusieurs mois de mobilisation d'étudiants étrangers, appuyés par des présidents d'universités et des chefs d'entreprises, qui étaient menacés d'expulsion au terme de leur formation.
    Désormais, «la part des 'très diplômés'' est la plus élevée chez les immigrés que parmi la population totale», observe l'étude de Samuel Menard et Sylvain Papon, chargés de mission au ministère de l'Intérieur. Au total, ce sont 780.000 «très diplômés» qui ne sont pas nés français.
    La différence avec les 710.000 personnes citées dans l'étude représentant ceux qui ont acquis la nationalité française. Les ressortissants des pays de l'Union européenne, des Etats-Unis, du Canada, du Japon mais aussi de Chine «restent plus souvent étrangers» quand ceux du Vietnam, du Cambodge, du Laos et du Liban acquièrent la nationalité française, relève encore l'enquête. Certains pays bien représentés dans la population immigrée le sont moins parmi les «très diplômés»: c'est le cas de l'Italie, de l'Espagne, du Portugal ou encore de la Pologne (78.000 pour les 4 pays).
    Les effectifs de pays d'Afrique (hors Maghreb) sont «assez faibles» alors que certains pays sont au contraire «sur-représentés»: Liban (16.000), Roumanie et Vietnam (15.000 chacun).
    L'Amérique du Sud ou centrale est très peu représentée. En France, 41,3% des doctorants sont étrangers, une «proportion très élevée, caractéristique des pays très attractifs qui offrent un système d'enseignement supérieur de qualité et ont tissé un réseau grâce aux liens historiques et linguistiques», note enfin l'étude.
    L'Expression

  • #2
    2 constats

    1) l'université algérienne est encore capable de former de bons éléments malgré le manque de structure. la majorité des ces gens qui font le bonheur de la France et d'autres pays ont eu toute la base en Algérie.

    2) la France, quoi que l'on dise reste une terre d’accueil pour les immigrants et donnent des chances de réussir à ceux et celles qui veulent réussir sans faire ch... le monde

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    • #3
      En France le nombre de doctorants d'origine arabe est édifiant
      Dernière modification par absent, 07 janvier 2012, 22h19.

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      • #4
        récemment, un algérien a été nommé sous-préfet en France.

        Ce gars est né et grandi en Algérie. Il a fait sont université à BaBez puis en 94 il est parti en France. Son travail, son sérieux et son intégrité on été reconnus et aujourd'hui à 40 ans, il est sous-préfet en France... en ce temps, les baggaras continuent à régner en Algérie...

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        • #5
          Depuis quelques années, les médias se font régulièrement l'écho de départs massifs de jeunes Français hautement qualifiés vers les pays anglo-saxons. Alertée par ces informations, la Commission des Affaires économiques du Sénat a décidé, en juin dernier, de créer un groupe de travail sur l'expatriation des jeunes Français pour mesurer la réalité de ce phénomène et l'analyser.

          Le Monde évoque " les aventuriers français dans la Silicon Valley ), la Tribune titre sur " l'appel de la vallée ", le Revenu sur " les Français de la Silicon Valley ". Rares sont les articles sur le sujet qui ne mentionnent pas le chiffre de 40.000 Français installés en Californie, travaillant dans les secteurs des nouvelles technologies.

          La réussite exemplaire de certains de nos compatriotes suscite admiration mais aussi inquiétude. Ainsi le journal Les Échos s'interroge : " Cerveaux français, entreprises américaines, pourquoi sont-ils partis aux États-Unis ? Reviendront-ils un jour ? "

          Les États-Unis sont souvent évoqués, mais le Royaume-Uni n'est pas en reste. Les articles sur les entrepreneurs français implantés à Londres sont légion. Capital titre " Ces Français qui fuient vers Londres : golden Boys ou jeunes diplômés, 12.000 de nos compatriotes s'expatrient chaque année en Grande-Bretagne ", l' Événement du jeudi se demande si " le paradis est à l'autre bout du tunnel ", Le Figaro estime, quant à lui, que " les 150.000 Français partis faire fortune en Grande-Bretagne sont souvent des jeunes qui rêvent de créer leur entreprise ".
          action santé
          http://www.sos-action-sante.com/courlib/delocali.htm

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