Faut-il dire la vérité aux malades ? C’est le thème d’une rencontre internationale au CHU de Blida.
Mais selon vous, faut-il dire la vérité aux malades ?
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La deuxième rencontre internationale de psychiatrie médico-légale aura lieu le 7 juin prochain à l’université Saâd-Dahleb de Blida. Cette manifestation scientifique internationale est organisée par le service de psychiatrie médico-légale du centre hospitalo-universitaire (chu) Frantz-Fanon de Blida que dirige le professeur Bachir Ridouh.
Ce regroupement, le deuxième du genre, rend hommage au père de la psychiatrie algérienne Khaled Benmiloud et est placé sous le thème “Faute-il dire la vérité aux malades ?”
Plus de 300 personnes sont attendues durant le rendez-vous de Blida qui sera encadré par des experts algériens, français, belges, marocains et tunisiens.
Plus de 17 communications seront présentées lors de cette rencontre internationale qui regroupera des psychiatres, des cancérologues, des cardiologues, des neurochirurgiens et des étudiants en médecine.
“Toute vérité est-elle bonne à dire en médecine ?” s’est interrogé le professeur Bachir Ridouh durant la conférence de presse qu’il a animée hier au siège du CHU de Blida.
Le conférencier évoquera le cas de la généticienne qui viendra de France et qui aura à présenter des sujets qui présenteront des handicaps avant leur naissance.
Parallèlement, la déontologie exige que le malade ait le droit de savoir et d’être informé sur son état de santé.
C’est justement cette dualité qui focalisera les débats. Pour sortir du drame humain purement physique, les psychiatres poseront le problème de la paranoïa qui s’identifie par intuition à partir de prémisses fausses. Dans le cas précis faudrait-il dire la vérité ? Servira-t-elle à quelque chose ? Autant d’interrogations qui trouveront sûrement des réponses lors de ce congrès international.
Par ailleurs, des expériences vécues dans des pays européens et maghrébins seront exposées lors de cette deuxième rencontre de psychiatrie et médecine légale.
- Liberté
Mais selon vous, faut-il dire la vérité aux malades ?
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La deuxième rencontre internationale de psychiatrie médico-légale aura lieu le 7 juin prochain à l’université Saâd-Dahleb de Blida. Cette manifestation scientifique internationale est organisée par le service de psychiatrie médico-légale du centre hospitalo-universitaire (chu) Frantz-Fanon de Blida que dirige le professeur Bachir Ridouh.
Ce regroupement, le deuxième du genre, rend hommage au père de la psychiatrie algérienne Khaled Benmiloud et est placé sous le thème “Faute-il dire la vérité aux malades ?”
Plus de 300 personnes sont attendues durant le rendez-vous de Blida qui sera encadré par des experts algériens, français, belges, marocains et tunisiens.
Plus de 17 communications seront présentées lors de cette rencontre internationale qui regroupera des psychiatres, des cancérologues, des cardiologues, des neurochirurgiens et des étudiants en médecine.
“Toute vérité est-elle bonne à dire en médecine ?” s’est interrogé le professeur Bachir Ridouh durant la conférence de presse qu’il a animée hier au siège du CHU de Blida.
Le conférencier évoquera le cas de la généticienne qui viendra de France et qui aura à présenter des sujets qui présenteront des handicaps avant leur naissance.
Parallèlement, la déontologie exige que le malade ait le droit de savoir et d’être informé sur son état de santé.
C’est justement cette dualité qui focalisera les débats. Pour sortir du drame humain purement physique, les psychiatres poseront le problème de la paranoïa qui s’identifie par intuition à partir de prémisses fausses. Dans le cas précis faudrait-il dire la vérité ? Servira-t-elle à quelque chose ? Autant d’interrogations qui trouveront sûrement des réponses lors de ce congrès international.
Par ailleurs, des expériences vécues dans des pays européens et maghrébins seront exposées lors de cette deuxième rencontre de psychiatrie et médecine légale.
- Liberté
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