le retour
J’ai pris ma place dans ce train..
Devant cette fenêtre fumé de mon destin..
J’observe les pages du passé et tous ses chemins
Pour consoler les chagrins et égayer les matins….
Sur un point de mon long trajet
Je ferais une pause sur les terrasses de ma vie
J’examinerais mon corps et mon âme…
C’est déjà vieillir !, Combien de temps est passé ?..
Je m’assieds sur ce rocher escarpé
Mon regard œillade fascine la mer…
Les vagues me chantent les jours passés
Une voix sirène fredonne les romances d’idylle…
Sur le chemin d’une vie ni début ni fin
J’envahis éternellement ton cœur crépusculaire.
Je me serre les épaulés dans mes bras
En imaginant que je la serre contre moi.
J’ai devancé mes pas.
Ce soir là,
tu m’as laissé seul au milieu de cet océan enragé,
qui veut m’ inonder via ces vagues violente,.
sur tous les cotés il me froisse le corps.
tu m’as laissé seul a lutté cette tempête orageuse
qui me tremble la nuit avant l’arriver de soleil.
.
.
.
J’ai pris ma place dans ce train..
Devant cette fenêtre fumé de mon destin..
J’observe les pages du passé et tous ses chemins
Pour consoler les chagrins et égayer les matins….
Sur un point de mon long trajet
Je ferais une pause sur les terrasses de ma vie
J’examinerais mon corps et mon âme…
C’est déjà vieillir !, Combien de temps est passé ?..
Je m’assieds sur ce rocher escarpé
Mon regard œillade fascine la mer…
Les vagues me chantent les jours passés
Une voix sirène fredonne les romances d’idylle…
Sur le chemin d’une vie ni début ni fin
J’envahis éternellement ton cœur crépusculaire.
Je me serre les épaulés dans mes bras
En imaginant que je la serre contre moi.
J’ai devancé mes pas.
Ce soir là,
tu m’as laissé seul au milieu de cet océan enragé,
qui veut m’ inonder via ces vagues violente,.
sur tous les cotés il me froisse le corps.
tu m’as laissé seul a lutté cette tempête orageuse
qui me tremble la nuit avant l’arriver de soleil.
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