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Bonsoir, parmis les 43 sociétés étrangères qui convoitent Algérie Télécom, le choix de l'heureux élu ne sera pas aisé, il y a trop d'argent en jeu, venant du Moyen Orient et de son extréme, bien sûr que France ou British Télécom ou Téléfonica sont compétents, mais il faut voir les enjeux dans 5 ou 10 ans, il faut voir ou sera la croissance et la richesse dans 10 ou 20 ans et la réponse est déjà connue.
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Le leader des communications satellitaires, Thuraya, a ouvert hier son bureau à Alger.
L’Etat des Emirats arabes unis veut sérieusement accroître ses investissements en Algérie. Cette volonté a été réaffirmée par son ambassadeur à Alger, M.Ahmed Anis El Houcini, lors de l’inauguration, hier, du bureau de l’opérateur Thuraya. Pour exprimer réellement cet intérêt, l’ambassadeur a tenu à annoncer que deux grands projets sont en cours d’étude actuellement. Le premier porte sur la participation dans la réalisation d’une centrale électrique à Cherchell, à hauteur de 900 millions de dollars dont l’Algérie financera 49%.
Le second projet porte sur la construction d’une usine d’aluminium pour un montant de 3 milliards de dollars. Rien que pour ses deux projets, une enveloppe conséquente de 4 milliards de dollars sera dégagée. Cela démontre effectivement que les Emirats sont prêts à mettre le paquet et monter de grandes entreprises. A l’instar des deux projets, l’ambassadeur estime que plusieurs autres sont en perspective. Ce dernier reconnaît, cependant, la faiblesse des investissements émiratis en Algérie qui sont estimés globalement à 1,1 milliard de dollars depuis les années 70.
Conscients de l’importance du marché algérien, les Emirats veulent rattraper le train et investir dans des gros projets. D’ailleurs, l’ambassadeur a rappelé que l’Algérie est un partenaire important pour les Emirats avec lequel ils comptent développer de «manière significative» leurs relations dans de nombreux domaines. Evoquant comme exemple la nouvelle ville de Sidi Abdellah, l’ambassadeur dira: «Ce que nous avons réalisé à Dubaï nous pouvons le faire ici».
Une telle déclaration renseigne à quel point ce pays arabe désire participer dans le développement économique de l’Algérie. Il faut reconnaître que les hommes d’affaires émiratis manifestent un grand intérêt pour l’investissement en Algérie. La preuve que deux importantes délégations se sont rendues récemment en Algérie pour prospecter les opportunités. Après avoir tâté le terrain, l’ambassadeur assure que ces derniers s’apprêtent à s’installer en force sur le marché algérien. Même le ministre de la Poste et des Technologies de l’information, M.Boudjemaâ Haïchour a porté son témoignage sur la ferme volonté des hommes d’affaires émiratis d’investir. «L’investissement arabe sera très important durant les prochaines années en particulier de la part de nos amis émiratis», estime le ministre.
Selon lui, une délégation d’experts émiratis arrivera prochainement à Alger pour poursuivre les consultations sur le projet de cyberparc qui est en cours de construction dans la nouvelle ville de Sidi Abdellah. Par ailleurs, le leader des communications par satellite, l’opérateur émirati Thuraya a mis l’accent sur l’importance du marché algérien. «L’ouverture du bureau constitue un point de départ pour nous car l’Algérie est un pays stratégique», a déclaré le directeur marketing de Thuraya.
Nadia BENAKLI
05 juin 2006 L'Expression
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Le leader des communications satellitaires, Thuraya, a ouvert hier son bureau à Alger.
L’Etat des Emirats arabes unis veut sérieusement accroître ses investissements en Algérie. Cette volonté a été réaffirmée par son ambassadeur à Alger, M.Ahmed Anis El Houcini, lors de l’inauguration, hier, du bureau de l’opérateur Thuraya. Pour exprimer réellement cet intérêt, l’ambassadeur a tenu à annoncer que deux grands projets sont en cours d’étude actuellement. Le premier porte sur la participation dans la réalisation d’une centrale électrique à Cherchell, à hauteur de 900 millions de dollars dont l’Algérie financera 49%.
Le second projet porte sur la construction d’une usine d’aluminium pour un montant de 3 milliards de dollars. Rien que pour ses deux projets, une enveloppe conséquente de 4 milliards de dollars sera dégagée. Cela démontre effectivement que les Emirats sont prêts à mettre le paquet et monter de grandes entreprises. A l’instar des deux projets, l’ambassadeur estime que plusieurs autres sont en perspective. Ce dernier reconnaît, cependant, la faiblesse des investissements émiratis en Algérie qui sont estimés globalement à 1,1 milliard de dollars depuis les années 70.
Conscients de l’importance du marché algérien, les Emirats veulent rattraper le train et investir dans des gros projets. D’ailleurs, l’ambassadeur a rappelé que l’Algérie est un partenaire important pour les Emirats avec lequel ils comptent développer de «manière significative» leurs relations dans de nombreux domaines. Evoquant comme exemple la nouvelle ville de Sidi Abdellah, l’ambassadeur dira: «Ce que nous avons réalisé à Dubaï nous pouvons le faire ici».
Une telle déclaration renseigne à quel point ce pays arabe désire participer dans le développement économique de l’Algérie. Il faut reconnaître que les hommes d’affaires émiratis manifestent un grand intérêt pour l’investissement en Algérie. La preuve que deux importantes délégations se sont rendues récemment en Algérie pour prospecter les opportunités. Après avoir tâté le terrain, l’ambassadeur assure que ces derniers s’apprêtent à s’installer en force sur le marché algérien. Même le ministre de la Poste et des Technologies de l’information, M.Boudjemaâ Haïchour a porté son témoignage sur la ferme volonté des hommes d’affaires émiratis d’investir. «L’investissement arabe sera très important durant les prochaines années en particulier de la part de nos amis émiratis», estime le ministre.
Selon lui, une délégation d’experts émiratis arrivera prochainement à Alger pour poursuivre les consultations sur le projet de cyberparc qui est en cours de construction dans la nouvelle ville de Sidi Abdellah. Par ailleurs, le leader des communications par satellite, l’opérateur émirati Thuraya a mis l’accent sur l’importance du marché algérien. «L’ouverture du bureau constitue un point de départ pour nous car l’Algérie est un pays stratégique», a déclaré le directeur marketing de Thuraya.
Nadia BENAKLI
05 juin 2006 L'Expression
. La maquette du projet était exposée en 2000 à l’entrée de la Wilaya d’Alger. L'entreprise Cosider était même associée au projet. Ca fait quelques mois que le projet a redémaré avec une autorisation pour la construction de 2 tours. Il a été confié à une entreprise chinoise. Il faut attendre maintenant 2 à 3 ans pour qu'il soit terminé 
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