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Bonjour, est-ce que les jeux sont déjà fait ? Tout ce cash flow pour acquérrir qui ?
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La compagnie publique de télécommunications des Émirats arabes unis, Etisalat, a annoncé hier avoir mandaté quatre grandes banques pour l’ouverture d’une ligne de crédit de trois milliards de dollars afin de financer ses projets d’expansion à l’international. Dans un communiqué, Etisalat indique que « pour réaliser ses plans d’expansion internationale », elle « a mandaté quatre banques – Barclays Bank PLC, Citigroup, Deutsche Bank AG, et HSBC Bank PLC – afin d’arranger une ligne de crédit (...) pour une période d’un an, avec une année supplémentaire en option à la demande d’Etisalat ». À la mise en place de ce crédit, les quatre banques y souscriraient équitablement, selon le texte.
« Etisalat est classée sixième grande compagnie au Moyen-Orient en termes de capitalisation et elle a pu réaliser des profits annuels record », note son directeur financier, Salem al-Charhan.
Selon le communiqué, Etisalat tiendra le 7 juin à Dubaï une réunion avec différentes institutions bancaires et financières. Etisalat développe ses activités internationales et sa dernière réalisation remonte au 23 mai lorqu’elle a remporté un contrat en Afghanistan pour opérer un second réseau de téléphonie mobile dans ce pays, meurtri par la guerre. Elle a également conclu en avril un contrat pour l’acquisition de la plus grande compagnie de télécommunications du Pakistan, pour 2,6 milliards de dollars.
Etisalat dirige un consortium qui gère un deuxième réseau de téléphonie mobile sur le marché particulièrement lucratif d’Arabie saoudite, et elle a pris 50 % des parts dans l’opérateur ouest-africain de téléphonie mobile Atlantique Telecom. En 2005, elle a réalisé un bénéfice net en hausse de 25 % à 4,3 milliards de dirhams (1,17 milliard de dollars). Les autorités émiraties ont annoncé l’an dernier le projet de création d’un deuxième opérateur de télécommunications pour mettre fin au monopole d’Etisalat sur les réseaux de téléphone fixe et mobile aux Émirats, en précisant que le gouvernement détiendrait 50 % du capital du nouvel opérateur.
05 Juin 2006 L'Orient-Le Jour
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La compagnie publique de télécommunications des Émirats arabes unis, Etisalat, a annoncé hier avoir mandaté quatre grandes banques pour l’ouverture d’une ligne de crédit de trois milliards de dollars afin de financer ses projets d’expansion à l’international. Dans un communiqué, Etisalat indique que « pour réaliser ses plans d’expansion internationale », elle « a mandaté quatre banques – Barclays Bank PLC, Citigroup, Deutsche Bank AG, et HSBC Bank PLC – afin d’arranger une ligne de crédit (...) pour une période d’un an, avec une année supplémentaire en option à la demande d’Etisalat ». À la mise en place de ce crédit, les quatre banques y souscriraient équitablement, selon le texte.
« Etisalat est classée sixième grande compagnie au Moyen-Orient en termes de capitalisation et elle a pu réaliser des profits annuels record », note son directeur financier, Salem al-Charhan.
Selon le communiqué, Etisalat tiendra le 7 juin à Dubaï une réunion avec différentes institutions bancaires et financières. Etisalat développe ses activités internationales et sa dernière réalisation remonte au 23 mai lorqu’elle a remporté un contrat en Afghanistan pour opérer un second réseau de téléphonie mobile dans ce pays, meurtri par la guerre. Elle a également conclu en avril un contrat pour l’acquisition de la plus grande compagnie de télécommunications du Pakistan, pour 2,6 milliards de dollars.
Etisalat dirige un consortium qui gère un deuxième réseau de téléphonie mobile sur le marché particulièrement lucratif d’Arabie saoudite, et elle a pris 50 % des parts dans l’opérateur ouest-africain de téléphonie mobile Atlantique Telecom. En 2005, elle a réalisé un bénéfice net en hausse de 25 % à 4,3 milliards de dirhams (1,17 milliard de dollars). Les autorités émiraties ont annoncé l’an dernier le projet de création d’un deuxième opérateur de télécommunications pour mettre fin au monopole d’Etisalat sur les réseaux de téléphone fixe et mobile aux Émirats, en précisant que le gouvernement détiendrait 50 % du capital du nouvel opérateur.
05 Juin 2006 L'Orient-Le Jour