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Newcastle : Ben Arfa approché par une secte au Maroc

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  • Newcastle : Ben Arfa approché par une secte au Maroc

    Le milieu de terrain offensif de Newcastle, Hatem Ben Arfa (24 ans, 11 matchs et 1 but en Premier League cette saison) s'est livré sans retenue au cours d'un entretien accordé au journal L'Equipe. L'ancien pensionnaire de Lyon et Marseille a notamment évoqué la religion et avoué avoir été à deux doigts de se faire embobiner par une secte en 2007.

    "Je lisais beaucoup d'ouvrages sur le soufisme. Ils m'ont endoctriné à l'époque où j'étais vulnérable. C'était un système comme dans une secte, avec un cheikh. C'était au Maroc, à Oujda. Quand je suis entré dans la salle de prières, ce maître, il fallait que je lui baise les pieds. C'était obligatoire. Mon ego m'a sauvé, je ne pouvais pas accepter ça", a-t-il raconté.

    Ben Arfa a ajouté avoir été influencé par le chanteur Abd al-Malik et son agent, mais heureusement pour lui, il a su s'en détourner à temps !

    (Par Nicolas Lagavardan) - Maixfoot - (16/01/2012)
    Ya Allah, al Aziz, al Hakim. a7fadh jazair wa al maghareb al kabir

  • #2
    Ahh ce Ben arfa. Malgre l'image de dur qu'il a essayer de se donner, c'etait en fait quelqu'un de facilement influencable. Je me rapelle qu'a son transfert de de l'OM vers newcastle, sa famille se plaignait qu'il etait sous l'emprise d'une sorte de conseiller qui habitait avec lui et quil lui dictait toutes ses decisions. C'est vraiment dommage car sa lui a couter enormement de temps quand on regarde le niveau actuel de ses pairs de la generation 87.

    Du beau gachis
    Communist until you get rich, Feminist until you get married, Atheist until the airplane starts falling ...

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    • #3
      Benarfa

      j’aime bien ce joueur
      artemis33

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      • #4
        oui j'ai lu sa...
        la même secte qui tente d'infiltrer l’Algérie avec ses pratique a la marocaines et zawyete a deux balles........

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        • #5
          L'Algerie est dejà infiltrée. T'oublies que les imposants généraux algériens sont d'origine marocaine. Le clan D'Oujda. Ils se départagent le gâteux.

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          • #6
            Comme quoi il faut faire attention, après le baise main du roi maintenant il y a le baise pied du cheikh... on aura tout vu.

            lol
            Dernière modification par Arbefracom, 16 janvier 2012, 21h10.
            Ya Allah, al Aziz, al Hakim. a7fadh jazair wa al maghareb al kabir

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            • #7
              @chedadi : continue à te raconter tes comptines makhzenienne pour te rassurer...En attendant, les membres du gouvernement makhzeniste s'agenouillent et embrassent les pieds devant le rejeton de 9 ans du roitelet sauveur des mouminines...

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              • #8
                Entrer en spiritualité, oui. Mais baiser les pieds d’un cheikh, c’était trop. Le footballeur Hatem Ben Arfa a tourné le dos au chanteur Abd al-Malik quand celui-ci a voulu le «couper du monde» en le faisant entrer dans une «sorte de secte».

                Dans une longue interview accordée au journal l’Equipe ce lundi, le joueur musulman de Newcastle évoque sa carrière cahoteuse, et cette année 2007 où il était «vulnérable». «A cette époque, j’étais mal, j’étais à la recherche de bien-être. Je lisais beaucoup d’ouvrages sur le soufisme, de belles choses qui m’attiraient. Et comme Abd al-Malik s’y intéressait, je l’avais contacté.» Ben Arfa raconte alors être entré «dans un système comme dans une secte». «Je faisais partie d’un mouvement avec un chef spirituel, un cheikh.» Mais lorsque, dans une salle des prières au Maroc, on lui demande d’embrasser les pieds du gourou, il dit stop. «Heureusement, ce jour-là, mon ego m’a sauvé. Je ne pouvais accepter ça.»

                Ben Arfa accuse Abd al-Malik et son manager de l’avoir «endoctriné». «Ils ont mis le cheikh sur un piédestal. Ils me répétaient que tous ceux qui allaient contre le soufisme étaient des ennemis. Ils me conditionnaient et, au bout d’un moment, j’avais envie de les suivre.» Le joueur affirme «s’être réveillé à temps». «Ça ne me plaisait pas, ce que je vivait avec eux. Désormais, on ne pourra plus me leurrer.»

                Ben Arfa évoque sans gêne de cette période («si cela peut mettre en garde d’autres personnes») et n’en veut pas à Abd al-Malik et à son agent, affirmant qu’il est le seul fautif: «Je suis responsable d’avoir cru à ce qu’ils me disaient.» Lundi, après-midi, le chanteur n’avait pas encore répondu aux propos de Hatem Ben Arfa.

                http://next.liberation.fr/musique/01...oir-endoctrine

                Liberation
                Ya Allah, al Aziz, al Hakim. a7fadh jazair wa al maghareb al kabir

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