C’est décidé, en 2012, on mange bio. Mais les premières tentatives de flan à l’agar-agar ou de purée de panais se sont soldées par des échecs. Pour aider les débutants en bio, le réseau de magasins Biocoop a édité un guide pour permettre aux consommateurs d’adapter leur panier à leur mode de vie et leur goût.
Plutôt panais ou radis noir?
Première leçon, on ne se jette pas tout de suite dans la galette à l’épeautre ou les tartines aux algues. On peut commencer ses bonnes résolutions en remplaçant simplement les produits que l’on achète habituellement par les mêmes en bio: jambon, huiles, yaourts… existent en version bio, et souvent le choix de fruits et légumes est bien plus important que dans les rayons des supermarchés. «Nous vendons 15 à 25 sortes de pommes, explique Catherine Chalom, directrice de deux magasins Le retour à la Terre à Paris. Les consommateurs ne savent souvent pas qu’il existe des centaines de variétés de pommes, tellement les produits sont standardisés.»
Revenus en vogue, les «légumes oubliés» comme les panais et les potimarrons sont simples à préparer, en purée, soupe ou gratin. Si toute cette nourriture saine vous effraye un peu, rassurez-vous: on trouve aussi des boissons au cola et des pâtes à tartiner au chocolat en version bio.
Demandez conseil
Une fois le stade du remplacement passé, on peut se lancer dans des aventures comme la préparation d’un flan à l’agar-agar ou faire une lessive avec des noix de lavage. Pour ça, attention à bien suivre les conseils d’usage: l’agar-agar se gélifie en refroidissant, donc ne pas forcer sur la dose sous peine de se retrouver avec un bloc de ciment, et les noix de lavage doivent être placées dans un petit filet en coton ou une chaussette si vous ne voulez pas que votre linge soit tout collant.
Des conseils que les employés du Retour à la Terre peuvent donner aux clients intrigués, explique Catherine Chalom: «Nous faisons des réductions importantes pour nos employés, donc ils consomment ce qu’ils vendent, et ça se voit quand les clients leur demandent des conseils», se félicite Catherine Chalom, qui insiste sur le lien entre les producteurs locaux, le commerçant et les clients. Pour elle, consommer bio c’est «se réapproprier la biodiversité» en favorisant les variétés ancestrales, les fruits et légumes de saison, les petits producteurs… Bref, manger ce qui pousse naturellement près de chez soi. Pas si compliqué au final.
20 minutes
Plutôt panais ou radis noir?
Première leçon, on ne se jette pas tout de suite dans la galette à l’épeautre ou les tartines aux algues. On peut commencer ses bonnes résolutions en remplaçant simplement les produits que l’on achète habituellement par les mêmes en bio: jambon, huiles, yaourts… existent en version bio, et souvent le choix de fruits et légumes est bien plus important que dans les rayons des supermarchés. «Nous vendons 15 à 25 sortes de pommes, explique Catherine Chalom, directrice de deux magasins Le retour à la Terre à Paris. Les consommateurs ne savent souvent pas qu’il existe des centaines de variétés de pommes, tellement les produits sont standardisés.»
Revenus en vogue, les «légumes oubliés» comme les panais et les potimarrons sont simples à préparer, en purée, soupe ou gratin. Si toute cette nourriture saine vous effraye un peu, rassurez-vous: on trouve aussi des boissons au cola et des pâtes à tartiner au chocolat en version bio.
Demandez conseil
Une fois le stade du remplacement passé, on peut se lancer dans des aventures comme la préparation d’un flan à l’agar-agar ou faire une lessive avec des noix de lavage. Pour ça, attention à bien suivre les conseils d’usage: l’agar-agar se gélifie en refroidissant, donc ne pas forcer sur la dose sous peine de se retrouver avec un bloc de ciment, et les noix de lavage doivent être placées dans un petit filet en coton ou une chaussette si vous ne voulez pas que votre linge soit tout collant.
Des conseils que les employés du Retour à la Terre peuvent donner aux clients intrigués, explique Catherine Chalom: «Nous faisons des réductions importantes pour nos employés, donc ils consomment ce qu’ils vendent, et ça se voit quand les clients leur demandent des conseils», se félicite Catherine Chalom, qui insiste sur le lien entre les producteurs locaux, le commerçant et les clients. Pour elle, consommer bio c’est «se réapproprier la biodiversité» en favorisant les variétés ancestrales, les fruits et légumes de saison, les petits producteurs… Bref, manger ce qui pousse naturellement près de chez soi. Pas si compliqué au final.
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