Tweet
Il a fallu l’intervention rapide des éléments de la gendarmerie nationale pour éviter un véritable “bain de sang” hier, dans la localité de Ghmamer, 180 km au sud de Djelfa. En fait, les deux tribus en conflit depuis une vingtaine d’années, à savoir les Ouled Yahia Ben Salem de Djelfa et les Hrazlia de Laghouat, sont entrées, en fin de matinée, dans une confrontation musclée et ce, 48 heures après la tenue de la réunion qui a regroupé les responsables des deux wilaya, au sujet du problème du tracé de frontières entre la commune de Sed Rahal (Djelfa) et Hassi Delaâ (Laghouat).
Selon les personnes que nous avons rencontrées sur place, une dizaine de personnes, une majorité de vieux, ont été surprises par une pluie de pierres et des agressions menées par plus d’une centaine de jeunes de la tribu des Hrazlia, et ce, au moment où une équipe du cadastre était attendue sur les lieux pour entamer un travail de délimitation du site en litige. Les violences auraient fait beaucoup de victimes n’était l’intervention de la gendarmerie ; les autorités locales des deux wilayas se sont déplacées sur les lieux de l’incident. Le wali de Laghouat est même allé rencontrer les notables des deux tribus afin de calmer les esprits surchauffés. Il faut noter que les commissions de sécurité des deux wilayas n’ont pas été “associées” à la réunion tenue au siège de la wilaya de Djelfa, samedi dernier, alors que les évènements d’hier auraient pu plonger toute la région dans l’insécurité, quand on sait qu’un grand nombre de personnes des deux tribus est armé.
Une réunion extraordinaire des deux commissions de sécurité des deux wilayas serait prévue incessamment, a-t-on appris, hier, et ce, dans l’objectif de désarmer la population. Cependant, le ministère de l’Intérieur devra mettre fin à ce conflit qui perdure dans les plus brefs délais. Par ailleurs, nous avons appris que des armes à feu ont été utilisées durant les confrontations. Les éléments de la gendarmerie nationale ont entamé, en début de soirée, une opération d’identification des auteurs des agressions armées ainsi que les porteurs d’armes. Les familles nomades, que nous avons rencontrées sur les lieux, craignent toujours des incursions.
Liberté
Selon les personnes que nous avons rencontrées sur place, une dizaine de personnes, une majorité de vieux, ont été surprises par une pluie de pierres et des agressions menées par plus d’une centaine de jeunes de la tribu des Hrazlia, et ce, au moment où une équipe du cadastre était attendue sur les lieux pour entamer un travail de délimitation du site en litige. Les violences auraient fait beaucoup de victimes n’était l’intervention de la gendarmerie ; les autorités locales des deux wilayas se sont déplacées sur les lieux de l’incident. Le wali de Laghouat est même allé rencontrer les notables des deux tribus afin de calmer les esprits surchauffés. Il faut noter que les commissions de sécurité des deux wilayas n’ont pas été “associées” à la réunion tenue au siège de la wilaya de Djelfa, samedi dernier, alors que les évènements d’hier auraient pu plonger toute la région dans l’insécurité, quand on sait qu’un grand nombre de personnes des deux tribus est armé.
Une réunion extraordinaire des deux commissions de sécurité des deux wilayas serait prévue incessamment, a-t-on appris, hier, et ce, dans l’objectif de désarmer la population. Cependant, le ministère de l’Intérieur devra mettre fin à ce conflit qui perdure dans les plus brefs délais. Par ailleurs, nous avons appris que des armes à feu ont été utilisées durant les confrontations. Les éléments de la gendarmerie nationale ont entamé, en début de soirée, une opération d’identification des auteurs des agressions armées ainsi que les porteurs d’armes. Les familles nomades, que nous avons rencontrées sur les lieux, craignent toujours des incursions.
Liberté
En tout cas bravo à la gendarmerie qu'elle continue comme ça.
où l'Algérie était composée de tribus qui s'entre tuer. 
Commentaire