La Syrie va acheter à la Russie 36 avions militaires d’entraînement Yak-130 alors que le régime syrien fait l’objet de sanctions internationales en raison de la répression d’un mouvement de contestation sans précédent, écrit lundi le quotidien russe Kommersant.
Un contrat à 550 millions de dollars
« Moscou et Damas ont signé un nouveau contrat sur la livraison de 36 avions d’entraînement Yak-130 qui prendra effet dès que la Syrie aura versé une avance », a indiqué le journal citant une source proche de l’agence publique russe d’exportation d’armements Rosoboronexport. Le montant du contrat s’élève à environ 550 millions de dollars (près de 427 millions d’euros), a précisé cette source. Contacté par l’AFP, Rosoboronexport s’est refusé à tout commentaire.
Le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov, a affirmé mercredi dernier que la Russie ne vendait à la Syrie que « ce qui n’est pas interdit par le droit international », après que les Etats-Unis ont demandé à plusieurs reprises aux pays qui continuent à vendre des armes à la Syrie de cesser leurs activités.
Moscou, alliée traditionnelle de Damas
Les Etats-Unis et l’Union européenne ont imposé des sanctions économiques au régime du président syrien Bachar al-Assad pour sanctionner la répression meurtrière par Damas du mouvement de révolte qui agite le pays depuis mars.
La Russie, allié traditionnel de Damas, s’oppose fermement à toute ingérence dans la crise syrienne et s’est prononcée contre un embargo du Conseil de sécurité de l’Onu sur les livraisons d’armes à la Syrie, dont Moscou est le principal fournisseur depuis la période soviétique. Ouest France
Un contrat à 550 millions de dollars
« Moscou et Damas ont signé un nouveau contrat sur la livraison de 36 avions d’entraînement Yak-130 qui prendra effet dès que la Syrie aura versé une avance », a indiqué le journal citant une source proche de l’agence publique russe d’exportation d’armements Rosoboronexport. Le montant du contrat s’élève à environ 550 millions de dollars (près de 427 millions d’euros), a précisé cette source. Contacté par l’AFP, Rosoboronexport s’est refusé à tout commentaire.
Le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov, a affirmé mercredi dernier que la Russie ne vendait à la Syrie que « ce qui n’est pas interdit par le droit international », après que les Etats-Unis ont demandé à plusieurs reprises aux pays qui continuent à vendre des armes à la Syrie de cesser leurs activités.
Moscou, alliée traditionnelle de Damas
Les Etats-Unis et l’Union européenne ont imposé des sanctions économiques au régime du président syrien Bachar al-Assad pour sanctionner la répression meurtrière par Damas du mouvement de révolte qui agite le pays depuis mars.
La Russie, allié traditionnel de Damas, s’oppose fermement à toute ingérence dans la crise syrienne et s’est prononcée contre un embargo du Conseil de sécurité de l’Onu sur les livraisons d’armes à la Syrie, dont Moscou est le principal fournisseur depuis la période soviétique. Ouest France
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