Il a donné tout ce qu’une société, un pays, peut attendre de son artiste : la joie de vivre, des pensées et des réflexions positives, et surtout servir de repère à chaque fois qu’un manque de confiance se fait ressentir en soi ou en les siens. Il arrive à exprimer ce que les gens n’arrivent pas toujours à dire. Il a chanté la femme de chez nous qu’il considère comme le pilier de la société; il a chanté la patrie; les origines… Quand il entonne son fameux "da-dza-yri" (Algérien, je le suis), il efface d’un revers de main tout sentiment négatif qu’on pourrait avoir à l'égard de son pays et le transforme en un soutient indéfectible pour sa patrie . Quand il chante ou plutôt il prie « a Ldzayer ncha'Allah atehlud » (Algérie, in cha Allah tu vas guérir), on a l’impression que sa prière sera à coup sûr exaucée juste à la fin de la chanson, tellement la sincérité qui en ressort est forte.
Quand il chante Bgayet, il fait d’elle la plus belle ville qui n’a jamais existé. « koullech dgem yebha s’elqima aghlayed » (tout en toi est beau, ta valeur est chère). Idem pour le Djurdjura qui soulage celui qui souffre.
Il revient plus tard pour chanter encore la femme avec subtilité et pudeur : « si j’étais encore à l’époque où je vous chantais, O femmes...», Il les chante toujours tout en considérant qu’il ne le fait plus.
Il a chanté la mère comme la source inépuisable d’amour. Il a chanté l’artiste qui s’est exilé et qu’il invite à revenir parmi les siens, parce qu’ils ont besoin de lui.
L’un de ses plus grand chef-d’œuvre c’est lorsqu’il converse avec le miroir qu’il envie parce que lorsque sa bien-aimée le regarde, elle le fait sans gêne...
Souvent lorsqu’on exprime notre fierté on le fait avec une certaine suffisance et hargne. Le génie de Cherif Kheddam c’est d’exprimer sa fierté avec douceur et modestie. Une chose qui n’est pas donnée à tout le monde. Il faut être un artiste pour le faire, et Cherif Kheddam est un artiste, et pas n’importe lequel, c’est un grand artiste.
Tout cela, il le fait accompagner de mélodies dignes des plus grands musiciens.
Si je parle de Cherif Kheddam au présent, cela revient au fait que des personnes de sa trempe ne meurent pas.
A Dieu l'artiste !
Quand il chante Bgayet, il fait d’elle la plus belle ville qui n’a jamais existé. « koullech dgem yebha s’elqima aghlayed » (tout en toi est beau, ta valeur est chère). Idem pour le Djurdjura qui soulage celui qui souffre.
Il revient plus tard pour chanter encore la femme avec subtilité et pudeur : « si j’étais encore à l’époque où je vous chantais, O femmes...», Il les chante toujours tout en considérant qu’il ne le fait plus.
Il a chanté la mère comme la source inépuisable d’amour. Il a chanté l’artiste qui s’est exilé et qu’il invite à revenir parmi les siens, parce qu’ils ont besoin de lui.
L’un de ses plus grand chef-d’œuvre c’est lorsqu’il converse avec le miroir qu’il envie parce que lorsque sa bien-aimée le regarde, elle le fait sans gêne...
Souvent lorsqu’on exprime notre fierté on le fait avec une certaine suffisance et hargne. Le génie de Cherif Kheddam c’est d’exprimer sa fierté avec douceur et modestie. Une chose qui n’est pas donnée à tout le monde. Il faut être un artiste pour le faire, et Cherif Kheddam est un artiste, et pas n’importe lequel, c’est un grand artiste.
Tout cela, il le fait accompagner de mélodies dignes des plus grands musiciens.
Si je parle de Cherif Kheddam au présent, cela revient au fait que des personnes de sa trempe ne meurent pas.
A Dieu l'artiste !
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