« Y a pas de gonzesses ou si peu dans les hordes de supporters » chantait Renaud. Les choses semblent avoir changé. En Suisse, des femmes hooligans posent d’insolvables problèmes au service de sécurité des stades de football : elles cachent fumigènes et autres pétards, interdits dans les enceintes sportives, dans leurs parties intimes.
Ces supportrices de l’extrême emploient des méthodes proches de celles de certains trafiquants de drogue : elles enveloppent les engins pyrotechniques dans un préservatif, insèré ensuite dans leur vagin.
« Nous avons découvert plusieurs fois des préservatifs qui ont contenu des petits fumigènes dans les toilettes des femmes » a déclaré Christian Python, le responsable de la sécurité du stade de Genève, au Matin.
Difficile de contenir ce trafic, car la sécurité des stades est confiées à des sociétés privées, or seuls les policiers sont habilités à mener des examens corporels plus poussés.
Mais la pratique des hooligans n’est pas dénuée de risque : l’an passé, une supportrice s’est trouvée mal et à du être évacué en urgence vers un hôpital, où les médecins ont retiré des fumigènes de son vagin.
Ces supportrices de l’extrême emploient des méthodes proches de celles de certains trafiquants de drogue : elles enveloppent les engins pyrotechniques dans un préservatif, insèré ensuite dans leur vagin.
« Nous avons découvert plusieurs fois des préservatifs qui ont contenu des petits fumigènes dans les toilettes des femmes » a déclaré Christian Python, le responsable de la sécurité du stade de Genève, au Matin.
Difficile de contenir ce trafic, car la sécurité des stades est confiées à des sociétés privées, or seuls les policiers sont habilités à mener des examens corporels plus poussés.
Mais la pratique des hooligans n’est pas dénuée de risque : l’an passé, une supportrice s’est trouvée mal et à du être évacué en urgence vers un hôpital, où les médecins ont retiré des fumigènes de son vagin.
source: 20minutes
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