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Il serait un repenti, bénéficiaire des dispositions portant application de la charte pour la paix et la réconciliation nationale !!!!
Les investigations enclenchées par les services de sécurité, quelques heures seulement après l’attentat terroriste perpétré en plein centre-ville de Boumerdès le 30 mai dernier à l’aide d’un colis piégé n’ont pas tardé à livrer leurs résultats. Selon des sources fiables, la personne à l’origine de cet acte criminel aurait été arrêtée par les services de sécurité, quelques jours seulement après «une vaste opération de recherche engagée, tant au niveau du chef-lieu de wilaya qu’au niveau de sa périphérie».
Ainsi, les mêmes sources indiquent que l’auteur du crime serait connu des services de sécurité, ce qui n’a pas tardé à le mettre hors d’état de nuire. D’ailleurs, on laisse croire que le mis en cause dans cette affaire serait un repenti, d’où la question de savoir si ce dernier est un des bénéficiaires des dispositions portant application de la charte pour la paix et la réconciliation nationale. Autres questions : le repenti fait-il toujours partie de la nébuleuse terroriste du GSPC activant dans la région, même s’il s’est rendu aux autorités ? Ou, encore, at- il accompli l’attentat sous la menace des terroristes se trouvant dans les maquis, sachant que ces derniers sont, depuis quelques jours, sous pression suite à la vaste opération de ratissage baptisée «l’Araignée» enclenchée par les forces de l’ANP. A ce propos, des sources sécuritaires avancent un bilan de cinq terroristes éliminés, à savoir quatre dans la localité de Bouzegza surplombant Keddara à l’ouest de Boumerdès et un autre terroriste identifié comme étant l’“émir” de la section de Sahel Bouberak. Ce dernier, la trentaine passée, serait très proche de l’“émir” de katibet El Ansar que dirige le sanguinaire Saâdaoui Abd El Hamid, dit Abou El Yaythem. A en croire des sources sécuritaires, les terroristes du GSPC activant dans la région sont répartis en plusieurs groupes dépassant rarement la vingtaine. C’est à Thenia, indique-t-on, que le plus important et le plus dangereux des groupes est installé. Il est dirigé par le sinistre Saâdaoui et évolue entre les localités de Zemmouri, Bordj- Menaïel, Baghlia et Lakhdaria. Le groupe de Dellys, quant à lui, serait composé d’une dizaine de terroristes alors que celui de Baghlia en compterait autant et tous identifiés par les services de sécurité. Sur un autre plan, il est important de noter, qu’outre la pression sécuritaire, les chefs du GSPC activant dans la localité de Boumerdès assistent impuissamment, à en croire des sources crédibles, aux redditions de leurs éléments, pour bénéficier des dispositions portant application de la charte pour la paix et la réconciliation nationale. A ce sujet, il est important de signaler qu’au niveau de la wilaya de Boumerdès, considérée comme un des fiefs du GSPC, il a été enregistré, tout récemment, la reddition de 284 terroristes. Ces derniers se sont rendus à la justice pour bénéficier des dispositions de la charte pour la paix et la réconciliation nationale, avait indiqué dernièrement le procureur général de la cour de Boumerdès, M. Medjrab Douadi, lors d’une rencontre avec la presse. Selon la même source, 125 terroristes, détenus dans différents centres pénitentiaires, ont été libérés toujours dans le cadre de la charte. Au total, ce sont 409 repentis et détenus graciés qui ont rejoint leur domicile familial dans la seule région de Boumerdès.
- Le Soir d'Algerie
Les investigations enclenchées par les services de sécurité, quelques heures seulement après l’attentat terroriste perpétré en plein centre-ville de Boumerdès le 30 mai dernier à l’aide d’un colis piégé n’ont pas tardé à livrer leurs résultats. Selon des sources fiables, la personne à l’origine de cet acte criminel aurait été arrêtée par les services de sécurité, quelques jours seulement après «une vaste opération de recherche engagée, tant au niveau du chef-lieu de wilaya qu’au niveau de sa périphérie».
Ainsi, les mêmes sources indiquent que l’auteur du crime serait connu des services de sécurité, ce qui n’a pas tardé à le mettre hors d’état de nuire. D’ailleurs, on laisse croire que le mis en cause dans cette affaire serait un repenti, d’où la question de savoir si ce dernier est un des bénéficiaires des dispositions portant application de la charte pour la paix et la réconciliation nationale. Autres questions : le repenti fait-il toujours partie de la nébuleuse terroriste du GSPC activant dans la région, même s’il s’est rendu aux autorités ? Ou, encore, at- il accompli l’attentat sous la menace des terroristes se trouvant dans les maquis, sachant que ces derniers sont, depuis quelques jours, sous pression suite à la vaste opération de ratissage baptisée «l’Araignée» enclenchée par les forces de l’ANP. A ce propos, des sources sécuritaires avancent un bilan de cinq terroristes éliminés, à savoir quatre dans la localité de Bouzegza surplombant Keddara à l’ouest de Boumerdès et un autre terroriste identifié comme étant l’“émir” de la section de Sahel Bouberak. Ce dernier, la trentaine passée, serait très proche de l’“émir” de katibet El Ansar que dirige le sanguinaire Saâdaoui Abd El Hamid, dit Abou El Yaythem. A en croire des sources sécuritaires, les terroristes du GSPC activant dans la région sont répartis en plusieurs groupes dépassant rarement la vingtaine. C’est à Thenia, indique-t-on, que le plus important et le plus dangereux des groupes est installé. Il est dirigé par le sinistre Saâdaoui et évolue entre les localités de Zemmouri, Bordj- Menaïel, Baghlia et Lakhdaria. Le groupe de Dellys, quant à lui, serait composé d’une dizaine de terroristes alors que celui de Baghlia en compterait autant et tous identifiés par les services de sécurité. Sur un autre plan, il est important de noter, qu’outre la pression sécuritaire, les chefs du GSPC activant dans la localité de Boumerdès assistent impuissamment, à en croire des sources crédibles, aux redditions de leurs éléments, pour bénéficier des dispositions portant application de la charte pour la paix et la réconciliation nationale. A ce sujet, il est important de signaler qu’au niveau de la wilaya de Boumerdès, considérée comme un des fiefs du GSPC, il a été enregistré, tout récemment, la reddition de 284 terroristes. Ces derniers se sont rendus à la justice pour bénéficier des dispositions de la charte pour la paix et la réconciliation nationale, avait indiqué dernièrement le procureur général de la cour de Boumerdès, M. Medjrab Douadi, lors d’une rencontre avec la presse. Selon la même source, 125 terroristes, détenus dans différents centres pénitentiaires, ont été libérés toujours dans le cadre de la charte. Au total, ce sont 409 repentis et détenus graciés qui ont rejoint leur domicile familial dans la seule région de Boumerdès.
- Le Soir d'Algerie
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