Mohamed Zaaf, journaliste au quotidien algérien Le Jeune Indépendant, est décédé mardi 31 janvier d’une crise cardiaque à l’hôpital Mustapha Bacha d’Alger.
Le journaliste a été pris de malaise non loin de la Maison de la Presse, dans le quartier du 1er mai, où sont concentrées de nombreuses publications.
Evacué vers l’hôpital, il est décédé peu de temps après.
Le journaliste, âgé de 66 ans, avait exercé pendant de longues années à l’agence italienne Ansa ainsi qu'à l'AFP avant de rejoindre la rédaction du Jeune indépendant, fondé en 1990
Originaire de Médéa, mais ayant vécu à Alger, il avait été arrêté par les services de sécurité au cours des années 1990 avant d’être incarcéré pendant deux ans officiellement pur soutien au terrorisme.
« Il a été incarcéré pendant deux ans (officiellement pour soutient au terrorisme) de 1994 à 1996 (ou 1995 à 1997), témoigne Chafik Abdi, fondateur et ancien directeur du Jeune indépendant. Il y a deux versions. La première : un attentat a visé un policier devant sa bâtisse à la Casbah, il a été accusé de soutenir les terroristes (connaissant les tueurs). Torturé, sa voituré, argent (devises et dinars, il été agencier), bijoux de sa femme,... tout a été volé par des policiers. Il fallait bien lui coller quelque chose...Deuxième version, son incarcération est en relation avec les Accords de Saint Egédio ».
Le défunt sera inhumé mercredi au cimetière El Kettar (Porte supérieure, attenante à l’escalier public menant vers Bab El Oued), après la prière du Dohr.
La levée du corps se fera du domicile familial, sis au 6, Rue de l’Intendance, Basse casbah, à proximité de l’ancienne daïra de Bab El Oued.
DNA
Le journaliste a été pris de malaise non loin de la Maison de la Presse, dans le quartier du 1er mai, où sont concentrées de nombreuses publications.
Evacué vers l’hôpital, il est décédé peu de temps après.
Le journaliste, âgé de 66 ans, avait exercé pendant de longues années à l’agence italienne Ansa ainsi qu'à l'AFP avant de rejoindre la rédaction du Jeune indépendant, fondé en 1990
Originaire de Médéa, mais ayant vécu à Alger, il avait été arrêté par les services de sécurité au cours des années 1990 avant d’être incarcéré pendant deux ans officiellement pur soutien au terrorisme.
« Il a été incarcéré pendant deux ans (officiellement pour soutient au terrorisme) de 1994 à 1996 (ou 1995 à 1997), témoigne Chafik Abdi, fondateur et ancien directeur du Jeune indépendant. Il y a deux versions. La première : un attentat a visé un policier devant sa bâtisse à la Casbah, il a été accusé de soutenir les terroristes (connaissant les tueurs). Torturé, sa voituré, argent (devises et dinars, il été agencier), bijoux de sa femme,... tout a été volé par des policiers. Il fallait bien lui coller quelque chose...Deuxième version, son incarcération est en relation avec les Accords de Saint Egédio ».
Le défunt sera inhumé mercredi au cimetière El Kettar (Porte supérieure, attenante à l’escalier public menant vers Bab El Oued), après la prière du Dohr.
La levée du corps se fera du domicile familial, sis au 6, Rue de l’Intendance, Basse casbah, à proximité de l’ancienne daïra de Bab El Oued.
DNA
Commentaire