Je sais que tu veilles sur moi,
Et je ne t'en remercierai jamais assez, crois-moi.
Mais aujourd'hui, pas le moral,
Poème tracé avec assez de mal.
D'ailleurs poème est un nom bizarre à cet écrit.
C'est plutôt une colère, un grand cri.
Des gens mal élevés nous ont piqué
Des poèmes que l'on avait fait.
Plagiat, ca me dégoûte d'écrire comme ça.
Devant la preuve, cette ordure réagit elle n'a pas.
J'ai le coeur serré, de savoir que mes poèmes s'en vont à tout va.
Surtout un, un pour mon amour, ma poupée,
Même le prénom n'a pas été changé.
C'est un crime de lèse-majesté.
Dans un même livre du net, cinq écrits de moi,
Dans ce même livre du net, douze de mes amis à moi.
Malgré les menaces il reste froid,
Cela m'agace et je n'ai plus envie d'écrire moi.
J'ai la colère qui monte doucement en moi.
Si tu peux faire quelque chose, ce serait de bon aloi.
Déjà je ne dors pas,
Mais là, c'est l'insomnie à tout va.
Comme j'aimerais la douceur que je t'avait décrite,
Mes mains sur le clavier, je médite.
Quelle sanction viendra de moi ?
Je peux le piégé, avec mon éditeur, j'ai des droits.
Mais je ne veux pas, je ne suis pas comme ça.
Je ne demande qu'une chose, ce plagieur,
Qu'il enlève mes poèmes, avant l'heure
Que je lui ai fixée, ce soir quand la brune sera tombée, malheur.
Je t'en prie, protège ma poupée,
Qui est toujours dans les contes de fées.
Morganne
Et je ne t'en remercierai jamais assez, crois-moi.
Mais aujourd'hui, pas le moral,
Poème tracé avec assez de mal.
D'ailleurs poème est un nom bizarre à cet écrit.
C'est plutôt une colère, un grand cri.
Des gens mal élevés nous ont piqué
Des poèmes que l'on avait fait.
Plagiat, ca me dégoûte d'écrire comme ça.
Devant la preuve, cette ordure réagit elle n'a pas.
J'ai le coeur serré, de savoir que mes poèmes s'en vont à tout va.
Surtout un, un pour mon amour, ma poupée,
Même le prénom n'a pas été changé.
C'est un crime de lèse-majesté.
Dans un même livre du net, cinq écrits de moi,
Dans ce même livre du net, douze de mes amis à moi.
Malgré les menaces il reste froid,
Cela m'agace et je n'ai plus envie d'écrire moi.
J'ai la colère qui monte doucement en moi.
Si tu peux faire quelque chose, ce serait de bon aloi.
Déjà je ne dors pas,
Mais là, c'est l'insomnie à tout va.
Comme j'aimerais la douceur que je t'avait décrite,
Mes mains sur le clavier, je médite.
Quelle sanction viendra de moi ?
Je peux le piégé, avec mon éditeur, j'ai des droits.
Mais je ne veux pas, je ne suis pas comme ça.
Je ne demande qu'une chose, ce plagieur,
Qu'il enlève mes poèmes, avant l'heure
Que je lui ai fixée, ce soir quand la brune sera tombée, malheur.
Je t'en prie, protège ma poupée,
Qui est toujours dans les contes de fées.
Morganne
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