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Renforcement du transport public Création de nouvelles lignes Etusa
L’entreprise Etusa baigne dans un climat de carence endémique.
L’Etusa va renforcer, au courant de l’année, ses navettes à travers les communes de la capitale. Aussi, il est question selon M. Boutaba, président du syndicat de l’entreprise, de consolider le travail de nuit, et ce, afin de donner aux usagers la possibilité de se faire transporter de nuit, qui plus est, la majorité des transporteurs privés arrêtent le travail à partir d’une certaine heure du soir. «L’Etusa va mettre en service, au courant de l’année, environ 50 nouveaux bus. Ces bus devront assurer le transport des usagers entre le centre-ville et les différentes localités de la capitale, particulièrement les plus éloignées d’entre elles», assure M. Boutaba. D’après le même responsable, il est question de créer de nouvelles dessertes vers les localités de Birtouta, Ruisseau, Zéralda, Chevalley, Douéra, etc.
Par ailleurs, de nouvelles lignes assurant les dessertes vers les hauteurs de la capitale vont être créées. Elles permettront le transport des usagers se rendant à Baba Hassan, Ouled Fayet, Souidania Maalma, Draria et Rouiba, etc. Ces nouvelles lignes assureront le transport des usagers jusqu’à des heures tardives le soir, «nous allons prolonger le travail des navettes jusqu’à minuit», affirme notre interlocuteur. Dans un autre registre, rappelons que la wilaya avait, en 2007, lancé un projet pour la réalisation de trois téléphériques. Depuis la date du lancement, le projet est en souffrance, car aucun des trois téléphériques n’a vu le jour. Il était question lors de l’élaboration du projet de réaliser une première ligne assurant la navette entre la Grande-Poste et Saint-Raphaël sur les hauteurs de la capitale, en passant via l’Aurassi.
La deuxième, entre El Mouradia et la place du 1er Mai. La troisième devait relier Bab Edjedid à Bab Azzoun. Ces trois projets n’ont, jusqu’à l’heure actuelle pas été réalisés. Hormis la première ligne qui connaît un avancement moyen dans les travaux, les autres chantiers sont à l’arrêt. Bien que le téléphérique soit un moyen de transport assez ancien, il n’en reste pas moins qu’il est toujours utile, car non seulement il permet de transporter les usagers avec célérité, mais il donne également de l’attrait au transport. Bien que l’Etusa ait été restructurée à maintes reprises par le passé afin de lui insuffler une nouvelle dynamique, l’entreprise baigne toujours dans un climat de carences endémiques.
Les répercussions de cette situation se traduisent par les éternelles insatisfactions exprimées par les usagers. Aussi, la communication au niveau de l’entreprise laisse à désirer. Nos multiples tentatives pour joindre les responsables de l’Etusa pour de plus amples informations sur le sujet sont restées sans suite. Les responsables de cette entreprise se murent derrière un silence qui en dit long sur leurs réelles prérogatives et, évidemment sur le respect du droit d’informer leurs usagers. Même le simple accusé de réception sur l’ordre de mission devient pour l’administration de l’entreprise une chose tout à fait interdite.
source: El Watan
L’Etusa va renforcer, au courant de l’année, ses navettes à travers les communes de la capitale. Aussi, il est question selon M. Boutaba, président du syndicat de l’entreprise, de consolider le travail de nuit, et ce, afin de donner aux usagers la possibilité de se faire transporter de nuit, qui plus est, la majorité des transporteurs privés arrêtent le travail à partir d’une certaine heure du soir. «L’Etusa va mettre en service, au courant de l’année, environ 50 nouveaux bus. Ces bus devront assurer le transport des usagers entre le centre-ville et les différentes localités de la capitale, particulièrement les plus éloignées d’entre elles», assure M. Boutaba. D’après le même responsable, il est question de créer de nouvelles dessertes vers les localités de Birtouta, Ruisseau, Zéralda, Chevalley, Douéra, etc.
Par ailleurs, de nouvelles lignes assurant les dessertes vers les hauteurs de la capitale vont être créées. Elles permettront le transport des usagers se rendant à Baba Hassan, Ouled Fayet, Souidania Maalma, Draria et Rouiba, etc. Ces nouvelles lignes assureront le transport des usagers jusqu’à des heures tardives le soir, «nous allons prolonger le travail des navettes jusqu’à minuit», affirme notre interlocuteur. Dans un autre registre, rappelons que la wilaya avait, en 2007, lancé un projet pour la réalisation de trois téléphériques. Depuis la date du lancement, le projet est en souffrance, car aucun des trois téléphériques n’a vu le jour. Il était question lors de l’élaboration du projet de réaliser une première ligne assurant la navette entre la Grande-Poste et Saint-Raphaël sur les hauteurs de la capitale, en passant via l’Aurassi.
La deuxième, entre El Mouradia et la place du 1er Mai. La troisième devait relier Bab Edjedid à Bab Azzoun. Ces trois projets n’ont, jusqu’à l’heure actuelle pas été réalisés. Hormis la première ligne qui connaît un avancement moyen dans les travaux, les autres chantiers sont à l’arrêt. Bien que le téléphérique soit un moyen de transport assez ancien, il n’en reste pas moins qu’il est toujours utile, car non seulement il permet de transporter les usagers avec célérité, mais il donne également de l’attrait au transport. Bien que l’Etusa ait été restructurée à maintes reprises par le passé afin de lui insuffler une nouvelle dynamique, l’entreprise baigne toujours dans un climat de carences endémiques.
Les répercussions de cette situation se traduisent par les éternelles insatisfactions exprimées par les usagers. Aussi, la communication au niveau de l’entreprise laisse à désirer. Nos multiples tentatives pour joindre les responsables de l’Etusa pour de plus amples informations sur le sujet sont restées sans suite. Les responsables de cette entreprise se murent derrière un silence qui en dit long sur leurs réelles prérogatives et, évidemment sur le respect du droit d’informer leurs usagers. Même le simple accusé de réception sur l’ordre de mission devient pour l’administration de l’entreprise une chose tout à fait interdite.
source: El Watan