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Maroc: travailleuses migrantes , la fraise et le baton

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  • Maroc: travailleuses migrantes , la fraise et le baton

    Travailleuses migrantes. La fraise et le bâton



    Le consommateur européen moyen aime généralement manger des fraises espagnoles hors saison. Il ne sait pas forcément que pour cela, quelques milliers d’ouvrières marocaines (5427 en 2010-2011) travaillent à la merci de l’arbitraire de leurs patrons andalous. Une situation que dénonce la Fédération internationale des droits de l’homme (FIDH), dans un rapport consacré à la récolte des fraises dans la province de Huelva, qui interpelle les gouvernements espagnol et marocain. Pour être embauchées (depuis le Maroc), les ouvrières doivent tout d’abord être mères d’enfants en bas âge. Une manière de s’assurer qu’elles ne resteront pas en Espagne au terme de leur contrat – dont la date de fin dépend du bon vouloir des employeurs. Secundo, la réglementation ne leur permet pas de disposer de représentation syndicale. Pour ne rien arranger, une majorité de ces femmes, parfois mal logées, “ne parle pas du tout espagnol”. Elles “se trouvent totalement dépendantes de leur employeur sans lequel elles ne pourront revenir pour une autre saison”. Enfin, il n’existe aucune garantie de salaire minimal et les jours non travaillés (dépendant des aléas climatiques) ne sont pas payés. Clair Rivière


    Telquel
    " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

  • #2
    Makhzen de m....

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    • #3
      Du travail !
      J'en connais qui seraient pret a tout pour ca !

      Et c'est pas un gosse qui va empecher ces femmes de rester en Espagne ou d'aller ailleurs si elles le veulent vraiment

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      • #4
        Pour le gouvernement marocain, tout ce qui compte pour lui ce sont la rentrée en devises, peu importe la dignité de ces femmes qui subissent l'esclavagisme espagnole institutionalisé! Mais d'un autre côté, c'est encore beuacoup plus humain que de les voir transporter des dizaines de kg de plastique chaque joure entre les enclaves espagnoles et le Maroce ( femmes mullets)!

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        • #5
          Et c'est pas un gosse qui va empecher ces femmes de rester en Espagne ou d'aller ailleurs si elles le veulent vraimen
          certes, mais si on arrive á le faire, c'est que c'est triste!

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          • #6
            C'est la mondialisation... quand on aura du petrole et du gaz ..ce seront les espagnoles qui viendront travailler chez nous..lol

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            • #7
              Au moins elles sont courageuses ce femmes et dignes.

              Vous qui à chaque fois que je me connecte ,vous travaillez ?

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              • #8
                C'est la mondialisation... quand on aura du petrole et du gaz ..ce seront les espagnoles qui viendront travailler chez nous..lol
                les tunisiens sont encore plus pauvres que les marocains, ni petrole, ni gaz ni phosphate ni kif
                et pourtant, leurs femmes ne sont pas soumises á ce genre d'esclavagisme!

                Commentaire


                • #9
                  Ceuillir des fraises de l'esclavagisme

                  On comprend pourquoi vous devez importer pour vivre

                  Commentaire


                  • #10
                    C'est la mondialisation... quand on aura du petrole et du gaz ..ce seront les espagnoles qui viendront travailler chez nous..lol
                    Pourtant vous nous rabachez sans cesse sur le developpement du Maroc, les entreprises qui se creent.
                    Si chez nous la majorité des harragas c'est des jeunes en pleine santé (combien de critiques et d'insultes aux autorités algeriennes à ce sujet ), chez vous (je l'apprends par cet article) il y a des milliers de femmes qui le font .
                    " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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                    • #11
                      les tunisiens sont encore plus pauvres que les marocains, ni petrole, ni gaz ni phosphate ni kif
                      et pourtant, leurs femmes ne sont pas soumises á ce genre d'esclavagisme!
                      les tunisiens sont ceux qui ont le meilleur niveau de vie au Maghreb, ils sont 10 millions et vivent mieux que les algeriens et les marocains.

                      les algeriens eux sont les plus pauvres alors qu'ils ont le pays le plus riche.

                      Le Maghreb est plein d'incompréhensions !

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                      • #12
                        Niveau ?

                        Héhé , notre ami " hymothep " comprend la mondialisation par les femmes mulets au royaume enchanté ?
                        A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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                        • #13
                          On comprend pourquoi vous devez importer pour vivre
                          Tu as raison dabachi, on comprend aussi pourquoi vous exportez pour vivre !!!!!
                          " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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                          • #14
                            Ceuillir des fraises de l'esclavagisme
                            non pas du tout, c'est un travail honnête, plus humain que devenir une femme mullet!
                            L'esclavagisme se situe ailleurs:

                            Secundo, la réglementation ne leur permet pas de disposer de représentation syndicale. Pour ne rien arranger, une majorité de ces femmes, parfois mal logées, “ne parle pas du tout espagnol”. Elles “se trouvent totalement dépendantes de leur employeur sans lequel elles ne pourront revenir pour une autre saison”. Enfin, il n’existe aucune garantie de salaire minimal et les jours non travaillés (dépendant des aléas climatiques) ne sont pas payés.

                            Commentaire


                            • #15
                              Pourtant vous nous rabachez sans cesse sur le developpement du Maroc, les entreprises qui se creent.
                              Si chez nous la majorité des harragas c'est des jeunes en pleine santé (combien de critiques et d'insultes aux autorités algeriennes à ce sujet ), chez vous (je l'apprends par cet article) il y a des milliers de femmes qui le font .
                              Les femmes ne sont pas des haragas mais des employés qui vont travailler en Espagne.

                              Ca n'existe peut etre pas chez toi, vu que l'Europe est synonyme de haraga mais au Maroc ca existe, les espagnols voir les francais viennent embaucher des marocains au Maroc.

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