Sous la glace de la vie
Sous la grêle fuyante,
Sous son manteau blanc
La nature bruyante
Dans un bain de sang,
S’époumone un dictionnaire
Aux définitions de la vie
Comptant en millénaire
Les souvenirs ternis
Au premier chapitre,
Iceberg d’encyclopédie
On rédige en épîtres,
Cette vaste comédie
Le givre sur les fenêtres
Et aussi sur les yeux
En instant a fait renaitre
Une ribambelle de vœux
Etoile de mer au passage
De ceux qui disent adieux
Emportant leurs messages
Aux portes des cieux ;
Sorbet de sodium,
Désaltère les océans,
Sur les places d’un podium
Le Dieu Cormoran
Souffle sur tes doigts,
Engourdi par l’hiver
Arrangé et bien droit
Les guirlandes de lierre
Apprécie cette liqueur glacée
Ce substrat de l’été
Annonce la mort des printemps
Aux clepsydres du temps.
Accorde toi donc,
Les faveurs d’une femme
Sa beauté sera quelconque
Pourvu que surgisse la flamme
L’étincelle perdue dans l’iris
Etoilé d’une chevelure bouclée
Au détour de sa cuisse
Faire fondre l’éternité…
Chaarar,
Sous la grêle fuyante,
Sous son manteau blanc
La nature bruyante
Dans un bain de sang,
S’époumone un dictionnaire
Aux définitions de la vie
Comptant en millénaire
Les souvenirs ternis
Au premier chapitre,
Iceberg d’encyclopédie
On rédige en épîtres,
Cette vaste comédie
Le givre sur les fenêtres
Et aussi sur les yeux
En instant a fait renaitre
Une ribambelle de vœux
Etoile de mer au passage
De ceux qui disent adieux
Emportant leurs messages
Aux portes des cieux ;
Sorbet de sodium,
Désaltère les océans,
Sur les places d’un podium
Le Dieu Cormoran
Souffle sur tes doigts,
Engourdi par l’hiver
Arrangé et bien droit
Les guirlandes de lierre
Apprécie cette liqueur glacée
Ce substrat de l’été
Annonce la mort des printemps
Aux clepsydres du temps.
Accorde toi donc,
Les faveurs d’une femme
Sa beauté sera quelconque
Pourvu que surgisse la flamme
L’étincelle perdue dans l’iris
Etoilé d’une chevelure bouclée
Au détour de sa cuisse
Faire fondre l’éternité…
Chaarar,
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