Usé par le pouvoir, affaiblit par la maladie, peut-être davantage soucieux de rentrer dans l'Histoire, Le président algérien a évoqué devant des cadres de l’Etat, en janvier 2012, la perspective de son départ au terme d’une élection présidentielle anticipée. C'est ce que le site d'information DAN (Dernières Nouvelles d'Algérie) a révélé aujourd'hui. Mercredi 4 janvier 2012 au siège de la présidence, Bouteflika a convoqué dans son bureau Abdelaziz Belkhadem, SG du FLN (Front de libération nationale) ainsi que le président du Sénat, Abdelkader Bensalah.
A ses deux convives, Bouteflika a expliqué que son éventuel départ interviendrait une fois son processus de réformes politiques parachevé. A savoir, la mise en place d’une nouvelle assemblée nationale en mai 2012, puis la tenue d’un nouveau référendum portant sur la révision de la loi fondamentale déjà amendée en novembre 2008 pour lui permettre de briguer un troisième mandat.
Un ministre de haut rang confessait récemment à un responsable du FLN le désir du chef de l’Etat de passer la main avant 2014. « Le président compte partir après les législatives, une fois qu’il aura achevé le train de réformes qu’il a initié depuis février 2011...», expliquait ce ministre lors d'une rencontre qui s'est tenue dans une villa sur les hauteurs d'Alger. Bouteflika ne voyage presque plus à l’étranger, les Conseils des ministres sont de plus en plus espacés, ses sorties sur le terrain sont rares et quand elles sont programmées, elles sont minutieusement organisées de telle sorte que l’agenda du chef de l’Etat soit allégé au maximum.
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A ses deux convives, Bouteflika a expliqué que son éventuel départ interviendrait une fois son processus de réformes politiques parachevé. A savoir, la mise en place d’une nouvelle assemblée nationale en mai 2012, puis la tenue d’un nouveau référendum portant sur la révision de la loi fondamentale déjà amendée en novembre 2008 pour lui permettre de briguer un troisième mandat.
Un ministre de haut rang confessait récemment à un responsable du FLN le désir du chef de l’Etat de passer la main avant 2014. « Le président compte partir après les législatives, une fois qu’il aura achevé le train de réformes qu’il a initié depuis février 2011...», expliquait ce ministre lors d'une rencontre qui s'est tenue dans une villa sur les hauteurs d'Alger. Bouteflika ne voyage presque plus à l’étranger, les Conseils des ministres sont de plus en plus espacés, ses sorties sur le terrain sont rares et quand elles sont programmées, elles sont minutieusement organisées de telle sorte que l’agenda du chef de l’Etat soit allégé au maximum.
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