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Tizra Aissa, 22 mars 2010 (bms)- La région d’Ait Yahia Moussa en Kabylie, a connu ce 19 Mars une vivacité inhabituelle. Une initiative de l’association culturelle «Tharwa N’ Krim Belkacem » avec le soutien de les autorités locales pour la de la journée de la Victoire « Le cesser le feu », et pour se rappeler d’un des fils de la région, Krim Belkacem, le lion des Djibels, qui était le signataire des accords d’Evian, qui ont mis fin à 7 ans de guerre, et il est un des leaders de la révolution algérienne, ce qui ont fait pas seulement l’histoire de l’Algérie, mais l’histoire de toute Tamazgha, ou il était pendant son combat le plus jeunes colonel dans le monde.
Le rendez-vous était donc au musé Krim Belkacem, à Tizra Aissa, et afin de toucher le plus grand nombre de citoyens, et pour que cet événement ne reste pas une occasion ou les anciens se rencontrent, pour se rappeler du passé, mais un espace de rencontre et d’échange entre la nouvelle génération, et ceux qui grâce à eux, l’Algérie est libre aujourd’hui, pour construire ensemble le future, son oublier l’histoire.
Un riche programme a été tracé par les organisateurs. Des photos, des articles de presse et des écrits qui tracent le combat de cet homme, ont été exposés au public, puis une prise de paroles par les organisateurs de l’événement et les autorités locales, et des témoignages par les membres de la famille du martyre et de ses compagnons. Des récits poétiques et des chants par les jeunes filles de la chorale de l’association, ont été aussi au programme de la journée, aussi une remise de prix pour les vainqueurs au tournoi du handball organisé à la mémoire de Krim.
Krim Belkacem est un des têtes pensantes de la guerre de l’indépendance, avant et pendant la guerre et même après l’indépendance jusqu’à ce que on le retrouve étranglé avec sa cravate dans une chambre d’hôtel à Francfort, le 18 octobre 1970.
Madjid SERRAH
Le rendez-vous était donc au musé Krim Belkacem, à Tizra Aissa, et afin de toucher le plus grand nombre de citoyens, et pour que cet événement ne reste pas une occasion ou les anciens se rencontrent, pour se rappeler du passé, mais un espace de rencontre et d’échange entre la nouvelle génération, et ceux qui grâce à eux, l’Algérie est libre aujourd’hui, pour construire ensemble le future, son oublier l’histoire.
Un riche programme a été tracé par les organisateurs. Des photos, des articles de presse et des écrits qui tracent le combat de cet homme, ont été exposés au public, puis une prise de paroles par les organisateurs de l’événement et les autorités locales, et des témoignages par les membres de la famille du martyre et de ses compagnons. Des récits poétiques et des chants par les jeunes filles de la chorale de l’association, ont été aussi au programme de la journée, aussi une remise de prix pour les vainqueurs au tournoi du handball organisé à la mémoire de Krim.
Krim Belkacem est un des têtes pensantes de la guerre de l’indépendance, avant et pendant la guerre et même après l’indépendance jusqu’à ce que on le retrouve étranglé avec sa cravate dans une chambre d’hôtel à Francfort, le 18 octobre 1970.
Madjid SERRAH
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