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L’été, ces insectes dangereux…deviennent plus menasant….mais, Au lieu d’engager des actions de désinsectisation, de dératisation et d’abattage des chats et chiens errants, l’APC s’est contentée de dégager un budget consacrant 40 DA à chaque personne réussissant à capturer un scorpion.
Le quartier Echouf, situé au chef-lieu de la commune de Berriane, est un lotissement créé au début des années 1980.
26 années plus tard, il continue à souffrir de problèmes liés à la viabilisation et à l’aménagement urbain. Ledit quartier est construit sur un vaste terrain rocheux, dont le relief est accidenté. Il est traversé par des sentiers ayant causé des difficultés d’accès aux moyens de locomotion. Cet état de fait pénalise terriblement les riverains qui rencontrent énormément de problèmes dans le transfert en urgence des malades vers l’hôpital le plus proche, distant d’environ 2 km. L’état des lieux favorise la multiplication des scorpions en ces périodes de canicule. D’où l’enregistrement par la localité d’un taux très élevé en matière de morsures de scorpion.
À noter qu’au lieu d’engager des actions de désinsectisation, de dératisation et d’abattage des chats et chiens errants, l’APC s’est contentée de dégager un budget consacrant 40 DA à chaque personne réussissant à capturer un scorpion. Pour M. Boubekeur, “l’exécutif communal a opté pour une fausse solution contre un vrai problème. Il est temps de réhabiliter les contrats-programmes qui consistaient à mettre à la disposition des citoyens, sous forme de dons, de matériaux de construction leur permettant de cimenter ces sentiers”. À longueur d’année, les habitants dudit quartier sont exposés au risque de maladies à transmission hydrique engendrées par le très mauvais état du réseau des eaux usées, déversées souvent sur la RN1 qui traverse le chef-lieu de la commune de Berriane.
Face à ce problème de santé publique, les habitants de ce quartier n’ont pas caché leur détresse en réclamant l’intervention des autorités compétentes, notamment par la réactivation de la commission d’hygiène de l’APC, présidée pourtant par un élu de l’APW, en sa qualité de technicien de la santé, commission qui a brillé par son absence sur le terrain.
Les amas d’ordures ménagères qui jonchent les différents coins des sentiers constituent une source d’odeurs nauséabondes et des lieux de prédilection chats et chiens errants, source de la leishmaniose qui a affecté plusieurs personnes ces derniers mois. Par ailleurs, lors de notre passage dans le quartier Echouf, nous avons constaté le manque de l’éclairage public. Ce qui explique, en partie, la recrudescence de l’insécurité et des vols.
À ce titre, nous avons appris, de sources sûres, que l’APC de Berriane est, à ce jour, dépourvue de camion-nacelle. Pour parvenir à remplacer les lampes grillées, l’exécutif communal fait appel à l’APC de Bounoura.
- Liberté
Le quartier Echouf, situé au chef-lieu de la commune de Berriane, est un lotissement créé au début des années 1980.
26 années plus tard, il continue à souffrir de problèmes liés à la viabilisation et à l’aménagement urbain. Ledit quartier est construit sur un vaste terrain rocheux, dont le relief est accidenté. Il est traversé par des sentiers ayant causé des difficultés d’accès aux moyens de locomotion. Cet état de fait pénalise terriblement les riverains qui rencontrent énormément de problèmes dans le transfert en urgence des malades vers l’hôpital le plus proche, distant d’environ 2 km. L’état des lieux favorise la multiplication des scorpions en ces périodes de canicule. D’où l’enregistrement par la localité d’un taux très élevé en matière de morsures de scorpion.
À noter qu’au lieu d’engager des actions de désinsectisation, de dératisation et d’abattage des chats et chiens errants, l’APC s’est contentée de dégager un budget consacrant 40 DA à chaque personne réussissant à capturer un scorpion. Pour M. Boubekeur, “l’exécutif communal a opté pour une fausse solution contre un vrai problème. Il est temps de réhabiliter les contrats-programmes qui consistaient à mettre à la disposition des citoyens, sous forme de dons, de matériaux de construction leur permettant de cimenter ces sentiers”. À longueur d’année, les habitants dudit quartier sont exposés au risque de maladies à transmission hydrique engendrées par le très mauvais état du réseau des eaux usées, déversées souvent sur la RN1 qui traverse le chef-lieu de la commune de Berriane.
Face à ce problème de santé publique, les habitants de ce quartier n’ont pas caché leur détresse en réclamant l’intervention des autorités compétentes, notamment par la réactivation de la commission d’hygiène de l’APC, présidée pourtant par un élu de l’APW, en sa qualité de technicien de la santé, commission qui a brillé par son absence sur le terrain.
Les amas d’ordures ménagères qui jonchent les différents coins des sentiers constituent une source d’odeurs nauséabondes et des lieux de prédilection chats et chiens errants, source de la leishmaniose qui a affecté plusieurs personnes ces derniers mois. Par ailleurs, lors de notre passage dans le quartier Echouf, nous avons constaté le manque de l’éclairage public. Ce qui explique, en partie, la recrudescence de l’insécurité et des vols.
À ce titre, nous avons appris, de sources sûres, que l’APC de Berriane est, à ce jour, dépourvue de camion-nacelle. Pour parvenir à remplacer les lampes grillées, l’exécutif communal fait appel à l’APC de Bounoura.
- Liberté
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