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Les emplois créés sont appelés à devenir durables du moment que ces compagnies étrangères sont tenues de garder leurs contingents de salariés durant toute la période de leurs contrats et leur assurer une formation.
Les sociétés étrangères présentes dans des secteurs économiques clés à Oran ont généré quelque 6 328 emplois, créés depuis le début de l’année 2006, a annoncé Abdelkader Achour, directeur local de l’emploi.
Ces emplois, à valeur ajoutée élevée, ont stimulé l’embauche dans une ville qui enregistre une reprise relative de l'investissement direct étranger. Pourtant, la cote d’Oran, en termes d'accueil des investissements internationaux, remontait à 2003. La tendance s'est réaffirmée en 2004 et s’est accélérée cette année.
Les emplois créés sont appelés à devenir durables du moment que ces compagnies étrangères sont tenues de garder leurs contingents de salariés durant toute la période de leurs contrats et leur assurer une formation par compagnonnage. L’on assiste ainsi à un éclatement de la bulle des IDE à l’ouest du pays. Ce qui s’est traduit par une hausse de l’embauche. Ces chiffres font d’Oran l’un des premiers sites d'investissement des sociétés étrangères.
La formule dite “Emploi salarié initiative locale” (Esil), quant à elle, a pu créer 2 400 postes d’emploi. Des emplois qui ont été subventionnés par l’État qui a mis la main à la poche pour débourser 38,5 millions de DA. Ceci a, du coup, permis une dynamisation du secteur de l’emploi, puisque l’État n’a pas lésiné sur les moyens. Plus de 5 500 emplois au total ont été créés, par le biais des différents dispositifs d’aide à l’embauche, que chapeaute le ministère de l’Emploi et de la Solidarité nationale. La baisse annoncée du chômage, située autour des 15%, doit beaucoup à un créneau qui s’est illustré comme un remarquable gisement d’emplois.
Il s’agit du programme intitulé “travaux d’utilité publique à haute intensité de main-d’œuvre”, TUP et Himo, qui a généré 2 339 emplois intérimaires cette année. Les besoins d’embellissement de la wilaya ont poussé l’État à doubler les effectifs par rapport à l’an dernier, quitte à y mettre près de 144 millions de DA. La Direction de l’emploi fait toutefois savoir que le dispositif dit “contrat pré- emploi”, a vu son quota de 2006 subir une chute de moitié.
Il va falloir donc à la deuxième ville du pays savoir se contenter des 830 postes qui lui sont affectés, cette année, alors qu’elle en a bénéficié de 1 624 postes l’an dernier. C’est parce que, dit-on, “l’État mise, à présent, à privilégier les régions des Hauts-Plateaux, appelées à retenir leurs populations sur place”.
- Liberté
Les sociétés étrangères présentes dans des secteurs économiques clés à Oran ont généré quelque 6 328 emplois, créés depuis le début de l’année 2006, a annoncé Abdelkader Achour, directeur local de l’emploi.
Ces emplois, à valeur ajoutée élevée, ont stimulé l’embauche dans une ville qui enregistre une reprise relative de l'investissement direct étranger. Pourtant, la cote d’Oran, en termes d'accueil des investissements internationaux, remontait à 2003. La tendance s'est réaffirmée en 2004 et s’est accélérée cette année.
Les emplois créés sont appelés à devenir durables du moment que ces compagnies étrangères sont tenues de garder leurs contingents de salariés durant toute la période de leurs contrats et leur assurer une formation par compagnonnage. L’on assiste ainsi à un éclatement de la bulle des IDE à l’ouest du pays. Ce qui s’est traduit par une hausse de l’embauche. Ces chiffres font d’Oran l’un des premiers sites d'investissement des sociétés étrangères.
La formule dite “Emploi salarié initiative locale” (Esil), quant à elle, a pu créer 2 400 postes d’emploi. Des emplois qui ont été subventionnés par l’État qui a mis la main à la poche pour débourser 38,5 millions de DA. Ceci a, du coup, permis une dynamisation du secteur de l’emploi, puisque l’État n’a pas lésiné sur les moyens. Plus de 5 500 emplois au total ont été créés, par le biais des différents dispositifs d’aide à l’embauche, que chapeaute le ministère de l’Emploi et de la Solidarité nationale. La baisse annoncée du chômage, située autour des 15%, doit beaucoup à un créneau qui s’est illustré comme un remarquable gisement d’emplois.
Il s’agit du programme intitulé “travaux d’utilité publique à haute intensité de main-d’œuvre”, TUP et Himo, qui a généré 2 339 emplois intérimaires cette année. Les besoins d’embellissement de la wilaya ont poussé l’État à doubler les effectifs par rapport à l’an dernier, quitte à y mettre près de 144 millions de DA. La Direction de l’emploi fait toutefois savoir que le dispositif dit “contrat pré- emploi”, a vu son quota de 2006 subir une chute de moitié.
Il va falloir donc à la deuxième ville du pays savoir se contenter des 830 postes qui lui sont affectés, cette année, alors qu’elle en a bénéficié de 1 624 postes l’an dernier. C’est parce que, dit-on, “l’État mise, à présent, à privilégier les régions des Hauts-Plateaux, appelées à retenir leurs populations sur place”.
- Liberté
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