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Il a ttes les chances en ce qui le concerne...il manque d'encouragement et de prise en charge financière...sponsor!!!
Vraiment dommage…
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Après le report du gala pour le titre de champion d’Afrique de boxe professionnelle qui devait se tenir à Boumerdès le 1er juin dernier, le promoteur et organisateur Sofiane Aliane a rencontré les journalistes, hier, à la maison de la presse Tahar Djaout.
Au programme de ce gala, le jeune Boudmaren Brahim qui devait livrer un combat au champion en titre, le burkinabé Sikoto. Ce report est dû à diverses raisons notamment, l’absence de sponsor.
Le promoteur qui était accompagné de l’entraîneur Omar Kaddour, du président de la ligue de Boumerdès et des boxeurs Boudmaren et Kalem a tenu à signaler qu’il a eu l’appui du ministre de la jeunesse et des sports Yahia Guidoum et de la directrice de la DJS de Boumerdès.
Seulement, le report était inévitable à cause de l’absence de sponsor. L’équipe organisatrice qui ne manque pas du tout d’énergie est décidée à organiser ce championnat d’Afrique au début du mois de juillet. M. Aliane a noté que le ministre a tout fait pour les encourager et leur a déjà offert la possibilité d’un stage pour le futur champion. Côté sponsor, il y a des promesses mais rien de concret pour le moment.
Il faut noter que Brahim Boudmaren a de fortes chances de gagner le titre de champion d’Afrique car il a déjà battu un champion africain et un canadien de niveau mondial, lors du gala de Constantine qui a été très bien organisé.
Le boxeur Kalem avait également montré ses capacités en battant le camerounais. L’ entraîneur Kaddour, qui a dirigé l’équipe nationale depuis 1981 et qui a formé des générations de champions, voit en Boudmaren et Kalem de futurs champions d’Afrique et peut être du monde. Le palmarès de Boudmaren est très prometteur car ce jeune n’a perdu aucun combat sur les 17 qu’il a livrés en professionnel.
Il faut signaler également que durant sa carrière, il est monté 106 fois sur le ring sans jamais perdre de partie. Donc, on se demande comment à ce jour aucune entreprise privée ou nationale n’a agi pour profiter des possibilités que va offrir ce futur champion du monde.
Alors que le ministre de la jeunesse et des sports a donné des directives pour l’encouragement de la boxe professionnelle, il est indispensable que d’autres parties agissent pour la réussite du championnat d’Afrique qui ouvrira ses portes à une pépinière de jeunes boxeurs prêts à porter haut l’emblème national et remplacer les Ould makhloufi, hammani et soltani.
Par ailleurs, M. Kaddour a noté que pour avoir un Ould Mekhloufi ou un Benguesmia, il faut attendre 4 à 5 ans, alors il ne faut pas rater ces occasions.
Il a signalé comme exemple le cas de Bahari qui a raté une grande carrière à cause du manque de suivi.
D’autres grands boxeurs à l’image de Belhouari ont également raté une carrière de professionnel.
Pour qu’il n’y ait plus de ratage, toutes les parties doivent agir et les sponsors doivent profiter de cette opportunité qui est la meilleure publicité.
La nouvelle Republique
Vraiment dommage…
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Après le report du gala pour le titre de champion d’Afrique de boxe professionnelle qui devait se tenir à Boumerdès le 1er juin dernier, le promoteur et organisateur Sofiane Aliane a rencontré les journalistes, hier, à la maison de la presse Tahar Djaout.
Au programme de ce gala, le jeune Boudmaren Brahim qui devait livrer un combat au champion en titre, le burkinabé Sikoto. Ce report est dû à diverses raisons notamment, l’absence de sponsor.
Le promoteur qui était accompagné de l’entraîneur Omar Kaddour, du président de la ligue de Boumerdès et des boxeurs Boudmaren et Kalem a tenu à signaler qu’il a eu l’appui du ministre de la jeunesse et des sports Yahia Guidoum et de la directrice de la DJS de Boumerdès.
Seulement, le report était inévitable à cause de l’absence de sponsor. L’équipe organisatrice qui ne manque pas du tout d’énergie est décidée à organiser ce championnat d’Afrique au début du mois de juillet. M. Aliane a noté que le ministre a tout fait pour les encourager et leur a déjà offert la possibilité d’un stage pour le futur champion. Côté sponsor, il y a des promesses mais rien de concret pour le moment.
Il faut noter que Brahim Boudmaren a de fortes chances de gagner le titre de champion d’Afrique car il a déjà battu un champion africain et un canadien de niveau mondial, lors du gala de Constantine qui a été très bien organisé.
Le boxeur Kalem avait également montré ses capacités en battant le camerounais. L’ entraîneur Kaddour, qui a dirigé l’équipe nationale depuis 1981 et qui a formé des générations de champions, voit en Boudmaren et Kalem de futurs champions d’Afrique et peut être du monde. Le palmarès de Boudmaren est très prometteur car ce jeune n’a perdu aucun combat sur les 17 qu’il a livrés en professionnel.
Il faut signaler également que durant sa carrière, il est monté 106 fois sur le ring sans jamais perdre de partie. Donc, on se demande comment à ce jour aucune entreprise privée ou nationale n’a agi pour profiter des possibilités que va offrir ce futur champion du monde.
Alors que le ministre de la jeunesse et des sports a donné des directives pour l’encouragement de la boxe professionnelle, il est indispensable que d’autres parties agissent pour la réussite du championnat d’Afrique qui ouvrira ses portes à une pépinière de jeunes boxeurs prêts à porter haut l’emblème national et remplacer les Ould makhloufi, hammani et soltani.
Par ailleurs, M. Kaddour a noté que pour avoir un Ould Mekhloufi ou un Benguesmia, il faut attendre 4 à 5 ans, alors il ne faut pas rater ces occasions.
Il a signalé comme exemple le cas de Bahari qui a raté une grande carrière à cause du manque de suivi.
D’autres grands boxeurs à l’image de Belhouari ont également raté une carrière de professionnel.
Pour qu’il n’y ait plus de ratage, toutes les parties doivent agir et les sponsors doivent profiter de cette opportunité qui est la meilleure publicité.
La nouvelle Republique
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