L’Algérie a effectué sa première étude de faisabilité sur la réouverture des frontières avec le Maroc, en vertu de rapports demandés par le premier ministre. M.Ahmed Ouyahia, prenant en considération l’ampleur et les formes de trafic sur les frontières terrestres fermées.
Dans un rapport qui a atterri sur le bureau d’Ahmed Ouyahia, le mois dernier, on a fait état des efforts des brigades de lutte contre le trafic et la qualité de marchandises trafiquée ainsi que le mouvement des personnes et l’impact de la crise Libyenne sur la sécurité des frontières. Dans ledit rapport que le premier ministre, M. Ahmed Ouyahia a demandé au wali de Tlemcen, sur les frontières algéro-marocaines, qui s’étendent sur 170km, une image sombre a été donnée, notamment sur les réseaux de trafic de drogues et d’armes. On a, notamment fait état dans ledit rapport que la crise en Libye aura forcément des répercussions sur la sécurité dans la région en entier. Pis encore, le wali regrette dans son rapport, l’exploitation par les barons de trafic, des jeunes dans des opérations dangereuses, notamment d’essence. Le rédacteur de ce rapport a, notamment, énuméré quelles sont les marchandises trafiquées vers le Maroc, citant en premier lieu, les têtes de bétail, l’essence, les matériaux de construction, les produits pharmaceutiques, les produits cosmétiques et l’électroménagers. En plus de tous ces produits, d’autres dangereux figurent sur la liste, notamment, les drogues et les boissons alcoolisées, les grains, les hallucinogènes, le tabac, les voitures, les téléphones portables, les fruits et légumes. Le rapport fait également état du phénomène de l’émigration clandestine des africains, de différentes nationalités, chassés par les autorités marocaines vers l’Algérie et même les ressortissants marocains. Le rapport qui remonte jusqu’à 2005, fait également état d’expulsion de plus d 734 émigrés clandestin, de 14 nationalités, et qui a été effectuée avec succès. Le wali note également que ses services ont mis en garde les hautes autorités du pays de la nécessité de mettre en place une stratégie pour la protection de nos frontières de ce phénomène dangereux nécessitant une coordination parfaite entre les différents services, dans le cadre de la lutte contre le trafic.
Par ailleurs, dans ledit rapport, il a été fait état également du travail de la commission de lutte contre le trafic, depuis sa création en 2006.
EL KHABAR
Dans un rapport qui a atterri sur le bureau d’Ahmed Ouyahia, le mois dernier, on a fait état des efforts des brigades de lutte contre le trafic et la qualité de marchandises trafiquée ainsi que le mouvement des personnes et l’impact de la crise Libyenne sur la sécurité des frontières. Dans ledit rapport que le premier ministre, M. Ahmed Ouyahia a demandé au wali de Tlemcen, sur les frontières algéro-marocaines, qui s’étendent sur 170km, une image sombre a été donnée, notamment sur les réseaux de trafic de drogues et d’armes. On a, notamment fait état dans ledit rapport que la crise en Libye aura forcément des répercussions sur la sécurité dans la région en entier. Pis encore, le wali regrette dans son rapport, l’exploitation par les barons de trafic, des jeunes dans des opérations dangereuses, notamment d’essence. Le rédacteur de ce rapport a, notamment, énuméré quelles sont les marchandises trafiquées vers le Maroc, citant en premier lieu, les têtes de bétail, l’essence, les matériaux de construction, les produits pharmaceutiques, les produits cosmétiques et l’électroménagers. En plus de tous ces produits, d’autres dangereux figurent sur la liste, notamment, les drogues et les boissons alcoolisées, les grains, les hallucinogènes, le tabac, les voitures, les téléphones portables, les fruits et légumes. Le rapport fait également état du phénomène de l’émigration clandestine des africains, de différentes nationalités, chassés par les autorités marocaines vers l’Algérie et même les ressortissants marocains. Le rapport qui remonte jusqu’à 2005, fait également état d’expulsion de plus d 734 émigrés clandestin, de 14 nationalités, et qui a été effectuée avec succès. Le wali note également que ses services ont mis en garde les hautes autorités du pays de la nécessité de mettre en place une stratégie pour la protection de nos frontières de ce phénomène dangereux nécessitant une coordination parfaite entre les différents services, dans le cadre de la lutte contre le trafic.
Par ailleurs, dans ledit rapport, il a été fait état également du travail de la commission de lutte contre le trafic, depuis sa création en 2006.
EL KHABAR
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