Hamza Kashgari a 23 ans. Jeune journaliste saoudien. Accusé d’apostasie après avoir publié un micro-message adressé au prophète Mahomet. Il risque pour cela la peine de mort. Un simple message, de moins de 140 signes, envoyé sur Twitter qui lui vaut d’encourir la peine de mort pour blasphème.
Il avait cru pouvoir se réfugier en Nouvelle-Zélande avant le procès. Mais il a été arrêté par les autorités de Malaisie lors de son transit à Kuala Lumpur. Après l’avoir mis en détention, les Malaisiens l’ont renvoyé lundi 13 dans son pays natal où il est actuellement détenu.
Hamza, dépassé par l’ampleur de l’affaire, a tenté de supprimer son message mais son compte venait d’être fermé. L’engrenage infernal était lancé. 30 000 internautes lui ont adressé des menaces de mort en moins de 24 heures après les messages.
Hamza Kasghari a été placé en détention dans un endroit tenu secret où il attend d’être fixé sur son sort.
Source: paris match
Il avait cru pouvoir se réfugier en Nouvelle-Zélande avant le procès. Mais il a été arrêté par les autorités de Malaisie lors de son transit à Kuala Lumpur. Après l’avoir mis en détention, les Malaisiens l’ont renvoyé lundi 13 dans son pays natal où il est actuellement détenu.
Hamza, dépassé par l’ampleur de l’affaire, a tenté de supprimer son message mais son compte venait d’être fermé. L’engrenage infernal était lancé. 30 000 internautes lui ont adressé des menaces de mort en moins de 24 heures après les messages.
Hamza Kasghari a été placé en détention dans un endroit tenu secret où il attend d’être fixé sur son sort.
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