Au cours de la réunion de son parti ce 15 à ORAN, le chef du gouvernement des janviéristes s’en est pris aux Français , après avoir couvert le délinquant AVENTS-SANOFI et reproché à ERDOGAN d’utiliser comme fonds de commerce l’histoire de l’Algérie.
Soupçonné d’être le richissime complice des DAF qui maintiennent l’Algérie au service de FAFA , notre PM, faute d’insister sur l’indispensable repentance pour continuer tout échange avec l’ancien colonisateur, revient sur le cas des Français d’origine algérienne, anciens auxiliaires de l’armée coloniale et depuis rapatriés chez eux.
Toujours citoyens de seconde zone et proie facile des haineux, le courageux OUYAHYA les traitent de traitres et se glorifie lui d’appartenir à la famille des martyrs.
Dans sa diatribe, il ressasse la prétendue atteinte aux valeurs de la Révolution Algérie portée par la loi qui pénalise l’injure et atteinte à la dignité des auxiliaires de l’armée française
Fort de son ingérence, notre homme se rend condamnable par les lois qu’ils dénoncent de façon peu diplomatique. Ecarté du pouvoir et sans passeport diplomatique, rendu pour toucher les dividendes de ses affaires à Paris , sur plainte des Associations des Français d’Algérie, il se ferait arrêter et aurait à répondre d’injure aux soldats de la République.
Soupçonné d’être le richissime complice des DAF qui maintiennent l’Algérie au service de FAFA , notre PM, faute d’insister sur l’indispensable repentance pour continuer tout échange avec l’ancien colonisateur, revient sur le cas des Français d’origine algérienne, anciens auxiliaires de l’armée coloniale et depuis rapatriés chez eux.
Toujours citoyens de seconde zone et proie facile des haineux, le courageux OUYAHYA les traitent de traitres et se glorifie lui d’appartenir à la famille des martyrs.
Dans sa diatribe, il ressasse la prétendue atteinte aux valeurs de la Révolution Algérie portée par la loi qui pénalise l’injure et atteinte à la dignité des auxiliaires de l’armée française
Fort de son ingérence, notre homme se rend condamnable par les lois qu’ils dénoncent de façon peu diplomatique. Ecarté du pouvoir et sans passeport diplomatique, rendu pour toucher les dividendes de ses affaires à Paris , sur plainte des Associations des Français d’Algérie, il se ferait arrêter et aurait à répondre d’injure aux soldats de la République.
Commentaire