Les forces du gouvernement libyen interviendront si les affrontements entre tribus rivales ne cessent pas dans le sud-est du pays, a annoncé lundi le chef d'état-major des forces armées, Yousef al Mangouch.
Des heurts ont éclaté il y a une dizaine de jours dans l'oasis de Koufra et se poursuivent à l'heure actuelle, faisant des dizaines de morts, selon les tribus concernées.
Des éléments armés issus de la tribu zwai se sont opposés à des combattants toubous commandés par Isa Abdel Majid, accusé d'avoir attaqué Koufra avec l'aide de mercenaires venus du Tchad d'après un responsable de la sécurité des Zwai.
Les Toubous affirment pour leur part avoir été l'objet d'une attaque.
Le patron de l'armée libyenne a déclaré à Reuters qu'un accord avait été négocié dimanche entre les deux camps. Mais de nouveaux affrontements, encore plus intenses, ont éclaté le lendemain, faisant des victimes.
"Le ministère de la Défense et l'armée préviennent que si les combats ne cessent pas, une intervention militaire décisive sera lancée pour arrêter ces violences", a-t-il dit.
Pour le moment, les forces militaires présentes dans le secteur ne sont pas intervenues, a-t-il précisé tout en niant une quelconque présence étrangère armée.
Dans un SMS à Reuters, un responsable de la sécurité zwai, Abdelari Idriss, a affirme que "de très nombreuses personnes" étaient en train de quitter Koufra pour gagner d'autres localités - une information impossible pour le moment à confirmer de source indépendante ou auprès des Toubous.
Les miliciens de la tribu zwai accusent les combattants toubous de vouloir s'emparer de l'oasis avec l'appui de mercenaires venus du Tchad voisin, ce que les intéressés nient fermement. (Reuters)
PS: des libyens manifestent devant l'Hôtel Tebessi ( minstére de la défense) á Tripoli contre l'hésitation de cette fameuse armée de ne pas intervenir dans le sud libyen:
Des heurts ont éclaté il y a une dizaine de jours dans l'oasis de Koufra et se poursuivent à l'heure actuelle, faisant des dizaines de morts, selon les tribus concernées.
Des éléments armés issus de la tribu zwai se sont opposés à des combattants toubous commandés par Isa Abdel Majid, accusé d'avoir attaqué Koufra avec l'aide de mercenaires venus du Tchad d'après un responsable de la sécurité des Zwai.
Les Toubous affirment pour leur part avoir été l'objet d'une attaque.
Le patron de l'armée libyenne a déclaré à Reuters qu'un accord avait été négocié dimanche entre les deux camps. Mais de nouveaux affrontements, encore plus intenses, ont éclaté le lendemain, faisant des victimes.
"Le ministère de la Défense et l'armée préviennent que si les combats ne cessent pas, une intervention militaire décisive sera lancée pour arrêter ces violences", a-t-il dit.
Pour le moment, les forces militaires présentes dans le secteur ne sont pas intervenues, a-t-il précisé tout en niant une quelconque présence étrangère armée.
Dans un SMS à Reuters, un responsable de la sécurité zwai, Abdelari Idriss, a affirme que "de très nombreuses personnes" étaient en train de quitter Koufra pour gagner d'autres localités - une information impossible pour le moment à confirmer de source indépendante ou auprès des Toubous.
Les miliciens de la tribu zwai accusent les combattants toubous de vouloir s'emparer de l'oasis avec l'appui de mercenaires venus du Tchad voisin, ce que les intéressés nient fermement. (Reuters)
PS: des libyens manifestent devant l'Hôtel Tebessi ( minstére de la défense) á Tripoli contre l'hésitation de cette fameuse armée de ne pas intervenir dans le sud libyen:
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