L'Algérie n'a pas le droit d'avoir l'arme nucléaire

[nassim]

Comme en témoignent les sanctions et la guerre secrète menée par les terroristes occidentaux contre l'Iran pour l'empêcher de maîtriser la technologie nucléaire, il devient clair que si un jour, l'Algérie décidait de s'investir sérieusement dans la technologie nucléaire y compris s'équiper d'un arsenal nucléaire en guise d'arme de dissuasion pour défendre ses intérêts, elle sera aussi visée par les terroristes occidentaux/israéliens!

Message des terroristes occidentaux au reste du monde: "Nous sommes les maîtres du monde, seuls nous avons le droit de disposer de l'arme nucléaire. Soumettez-vous à nos ordres ou on vous bombarde et on vous élimine."


Pas d'arme nucléaire pour l'Algérie.

[absent]

bonsoir

on a deja eu notre part d'ennuis en fin 70 debut 80...

[Gingerman]

Faut caresser la bete avec le sens du poil, avant de penser a l'arme nucleaire faut developper d'autre secteurs, comme l'education, la recherche, l'economie , l'autosuffisance alimentaire, un meilleur niveau de vie ...etc ... etc.. et le jour de l'arme de dissuation vent tt seul.

[Egomis]

Hum!
hum!..
Un chercheur annonce : «L'Algérie a les moyens de produire son arme atomique»

«L'Algérie a, si elle le veut, les moyens de produire son arme atomique en 36 à 46 mois.» Cette déclaration est de Farid Benyahia, docteur en relations internationales diplomatiques, qui a animé, hier, une conférence-débat au forum du quotidien El Moudjahid sur «l'impact de l'utilisation de la nanotechnologie sur les systèmes d'information et la guerre électronique». Selon lui, l'Algérie dispose de l'infrastructure nécessaire (le réacteur d'Aïn Oussara) bien avant le Pakistan - qui est aujourd'hui une puissance nucléaire - et l'Iran qui cherche à le devenir.

«Ce qui nous manque, c'est la volonté politique», relève-t-il. Les priorités des autorités, «pour le moment», sont d'après lui l'amorce d'un développement économique hors hydrocarbures, l'investissement dans les énergies renouvelables et la sécurité intérieure du pays. M. Benyahia défend l'option du nucléaire en ce sens que les engins atomiques constituent une arme de dissuasion contre toute attaque militaire étrangère directe.

Dans le cas de l'Algérie, «il faut un changement de politique, des finances et des compétences». «Les puissances nucléaires ne se sont jamais fait la guerre», fait-il observer.

Le conférencier fait aussi part d'un débat chez les stratèges de l'armée algérienne sur la nécessité de s'équiper plutôt de matériel léger mais doté de haute technologie plutôt que de continuer à acquérir un arsenal lourd. «L'Algérie est la première puissance de feu à l'échelle africaine», indique-t-il.

L'invité du forum d'El Moudjahid plaide pour un système de défense militaire basé sur l'acquisition des nanotechnologies et l'encouragement de la recherche dans ce domaine en favorisant surtout l'apparition des thinks thanks (laboratoires d'idées) regroupant des experts qui produisent des études et des propositions diverses.

Les nanotechnologies sont au croisement de plusieurs disciplines scientifiques comme l'électronique, la mécanique, la chimie et la biologie ; elles manipulent des objets d'une taille de l'ordre du nanomètre (un milliardième), une unité beaucoup plus petite que le centimètre. «Les responsables algériens manquent de visibilité en matière de nanotechnologies et de guerre électronique», estime M. Benyahia.

Les capacités de l’Iran dans la guerre électronique
Pour illustrer «la guerre électronique» en cours dans le monde, qui est à son avis celle des mathématiciens, des électroniciens et des informaticiens - alors que la Première Guerre mondiale était celle des chimistes et la seconde celle des physiciens, il donne un exemple d'une brûlante actualité vécu au Moyen-Orient.

En effet, les Gardiens de la révolution iranienne ont annoncé, le mercredi 4 décembre, l'interception d'un drone américain RQ-170 Sentinel en mission d'espionnage au-dessus du pays pour le compte de la CIA. Appelé aussi «la bête de Kandahar», ce magnifique bijou électronique a quitté une base militaire en Afghanistan pour une mission de reconnaissance, avant d'être forcé d'atterrir en territoire iranien.

Selon Téhéran, cette prise de guerre a été réalisée par un détournement conduit par des spécialistes de la guerre électronique, à travers une intrusion dans le système de guidage GPS du drone. Les Iraniens révèlent avoir intercepté auparavant six autres drones espions, quatre appartenant aux Israéliens et deux aux Américains.

La Maison-Blanche, reconnaissant cette perte, exige la restitution de la «bête de Kandahar» et parle «d’incident technique» pour expliquer cette mésaventure. Cela n'a pas convaincu les spécialistes qui s'interrogent sur le fait que les Américains n'ont pas prévu un système d'autodestruction en cas d'interception du drone.

Un ancien officier de la CIA, tout en mettant l'accent sur la capacité défensive et de renseignements de l'Iran, a souligné que la perte du drone était une bonne leçon pour Washington pour ne pas sous-estimer la capacité de l'Iran. Selon lui, cette interception avait comme message pour l'armée américaine d'être plus prudente et de savoir que la capacité défensive de l'Iran est beaucoup plus que les autorités américaines s'imaginent.

Cet épisode ne signifie pas que les deux pays se situent au même niveau de développement technologique. «Les Iraniens malgré l'embargo international, sont arrivés à un niveau de décryptage très avancé. Dans le domaine scientifique, tout se vend et tout s'achète avec quelques difficultés à surmonter.

Cela demande un haut niveau de renseignement. Je pense que les Iraniens ont acquis une certaine matière technologique de manière informelle et une autre de manière formelle.

C'est une réalité», explique M. Benyahia. Intervenant lors du débat, l'expert international en économie, Mebarek Malek Serraï, s'est dit surpris d'entendre un ami de longue date, un homme qui a fait campagne à l'est du pays, en 2005, en faveur du référendum sur la paix et la réconciliation nationale, développer un discours en faveur du nucléaire, entendu comme un soutien aux manières fortes dans le règlement des relations internationales.

L'intéressé réplique qu'il souscrit pleinement à l'idéal de la paix mais qu'il y a une réalité sur le terrain qu'il faut voir de face. Sa religion est faite : «Il faut être fort pour imposer la paix.»

D.C.

Source:wikistrike.com

[orrano]

Le reacteur de Oussera n'est qu'un truc experimental pas plus.L'arme nucleaire est pour les grands de ce monde, cette histoire du Pakiston n'est qu'un leurre pour contrer l'Inde.
Il nous faut beaucoup de progrets dans differents secteurs pour y arriver a l'arme nucleaire surtout dans l'autosufisance alimentaire,le progret de l'economie et surtout la finance qui est devenue ces dernieres annees une arme redoutable,l'exemple de l'empire du bloc sovietique comment il a etait desloque malgre son arsenal nucleaire impressionant,sans oublier que l'arme nucleaire veut que tout le peuple doit soutenir cette doctrine de deffense.
Ce qui veut dire certainement avoir un etat fort en democratie et en droit...Les puissances nucleaires occidentales cherchent toujour la petite bete.

[maB2rOc]

Pas d'arme nucléaire pour l'Algérie.

Déjà pour commencer faut remonté un peut le temps , avant la décolonisation en 1956 [début de la décolonisation dont la première et Inde ] les pays ayant développé l'arme nucléaire , Amérique , la Russie , France, Chine se sont mie d'accord pour limité la prohibition de arme atomique .
Pour sa quand les pays colonisé se sont décolonisé les rapaces on voulu garder leur force de dissuasion que pour eux et donc ils ont obligés a signés le contrat de non prolifération en échange de miette d'argent .

Seul deux pays on étaient assez intelligents pour ne pas signés se traités minable , l'Inde et le Pakistan .

Israël on omni de le cité dans la liste vue que eux tous le monde connaient leur situation , un pays qui a une diaspora plus puissante et plus influente que les musulmans réunis de se fait ils contrôle Amérique qui elle contrôle le monde

[Space]

"Nous sommes les maîtres du monde, seuls nous avons le droit de disposer de l'arme nucléaire. Soumettez-vous à nos ordres ou on vous bombarde et on vous élimine."

pour mieux envahirs ces pays , et renforcer leur domination , c'est la loi du plus fort qui domine
quand ils veulent envahir un pays , soit ils avancent le terrorisme comme justificatif , ou les armes nucléaires
je suis pour , que l'algérien en fabrique une ou deux , ils peuvent pas être plus dangereux que les USA ou les sionistes

[absent]

bonjour

Le reacteur de Oussera n'est qu'un truc experimental pas plus

n'empeche que ca ne s'est passe inapercu avec l'occident...pour ne pas parler de chantage...

[sonett]

Une bombe nucléaire pour fêter les 50 ans de l'indépendance, le top ah sidiii

[nassim]

avant de penser a l'arme nucleaire faut developper d'autre secteurs, comme l'education, la recherche, l'economie...

Biensûr. C'est pour cela que je disais "Si un jour l'Algérie...". Il est clair que dans le court terme, l'Algérie a bien d'autre priorités que l'armement nucléaire (éducation, économie, santé...etc), mais d'ici 20 ans, avec la chute annoncée des réserves pétrolières dans le monde et l'instabilité mondiale qui pourrait s'en suivre, l'Algérie devra probablement se doter d'armes de dissuasion (nucléaire...etc) pour se protéger des pays prédateurs.

«L'Algérie a, si elle le veut, les moyens de produire son arme atomique en 36 à 46 mois.»

Farid Benyahia exagère. Au stade actuel de l'industrie nucléaire en Algérie (quasiment inexistante), il faudra compter au moins 10 ans pour mettre en place une industrie nucléaire capable de produire une arme nucléaire algérienne.

[kems]

Celui qui a la bombe est digne de respect
j'espere bien qu'on l'a déjà ...

[nassim]

j'espere bien qu'on l'a déjà ...

C'est évident qu'on ne l'a pas. L'Algérie n'a pas encore l'expertise nécessaire pour fabriquer une arme nucléaire. Pour équiper l'ANP, l'Algérie importe quasiment toutes ses armes, y compris des armes aussi "simples" que des fusils d'assaut. Et pour le moment, il n'y a pas de marché mondial des armes nucléaires. Pour en avoir une, il faut la fabriquer soi même.

[mkh]

Au lieu de courrir après l'arme nucléaire derrière des nations qui ont 70 ans d'avance sur nous, peut-être serait-il préférable de mobiliser les scientifiques sur des armes "anti-nucléaires" qui neutraliseraient les méfaits des armes nucléaires ou sur des systèmes électroniques qui neutraliseraient la logistique nécessaire au lancements de ces armes sataniques!

Qu'Allâh maudisse celui qui a inventé ces armes et ceux qui les ont utilisées!

Nous voilà obligés de faire une course au satanisme pour nous défendre!

[Li-la]

L'algerie ne fait-elle pas partie des pays signataires au "non a l'arme nucleaire"?

[Arbefracom]

Message des terroristes occidentaux au reste du monde: "Nous sommes les maîtres du monde, seuls nous avons le droit de disposer de l'arme nucléaire. Soumettez-vous à nos ordres ou on vous bombarde et on vous élimine."

Franchement on pouvait pas mieux résumer.

L'Occident s'auto-approprie l'arme nucléaire pour dominer le monde et soumettre les autres peuples. Notamment les musulmans.


Comme dit Chavez :

"Qui a envahi des pays et des peuples entiers durant 100 ans et plus ? Qui a lancé des milliers de bombes sur des peuples sans défense ? Y compris des bombes atomiques ! Qui a favorisé des coups d’Etat, des massacres et des génocides ? Qui a utilisé la guerre chimique, la guerre biologique, la guerre bactériologique contre des peuples entiers ? Ce n’est pas nous. Nous autres faisons partie des peuples qui ont été agressés ! Et nous continuons a l’être ! Et ils prétendent nous présenter comme des agresseurs. C'est le monde à l'envers." Hugo Chavez