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invité de l’université de Constantine, Nacer Mehal défend le nouveau code de l’information

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  • invité de l’université de Constantine, Nacer Mehal défend le nouveau code de l’information

    Le ministre de la Communication, Nacer Mehal, était hier à Constantine pour une visite de deux jours, où il a été invité à l’université Mentouri, pour une conférence-débat portant sur le nouveau code de l’information. Détaillant point par point son projet de loi, avant d’évoquer la situation socioprofessionnelle des journalistes, il dira qu’il est “fier de la liberté d’expression dans notre pays. Je peux même dire que des pays étrangers sont jaloux. Lorsque j’ai rencontré le caricaturiste Plantu, il y a un mois, il m’a clairement dit qu’il y avait certaines caricatures de Dilem du quotidien Liberté, qui ne peuvent pas passer dans son journal Le Monde, en France. Ce qui est négatif, par contre, c’est qu’une certaine presse manque de professionnalisme. Il y a aussi des dérives qui peuvent être corrigées grâce au nouveau code de l’information. J’ai dénoncé en 2010, ici même à Constantine, le trabendisme, mais malheureusement, il sévit toujours. Certains titres profitent toujours de leurs journalistes”, dira le ministre.
    Nacer Mehal a déclaré, par ailleurs, que les cahiers des charges concernant les dossiers de l’audiovisuel étaient actuellement étudiés par l’Autorité de régulation de l’audiovisuel, soulignant toutefois qu’il espère que “l’argent n’inonde pas ce secteur à la Berlusconi”. Défendant son nouveau code de l’information, le ministre a tenu à répondre à ceux qui le voient comme une menace sur les libertés. “Cette loi n’a rien de liberticide. Sinon, comment expliquer que c’est Me Miloud Brahimi, premier responsable de la Ligue algérienne des droits de l’Homme, qui a participé à sa révision. Cet avocat est connu pour être un défenseur des libertés.” Et d’ajouter : “Nous avons renforcé les libertés, les peines de prison ont été supprimées. Mais, je le dis franchement, j’ai parcouru le monde entier et j’avoue que certains dépassent les limites. Des articles de presse ont séparé des familles entières. Un fils de ministre est en prison et alors ? Je ne vois pas pourquoi l’information fait la une de certains journaux. C’est à la justice de trancher”, dit-il.
    Répondant à une question sur la publicité et la communication, M. Mehal expliquera que le temps est venu pour faire le ménage, vu l’anarchie et le nombre élevé de boîtes de communication estimées, selon lui, à 3 000.

    Liberté
    la curiosité est un vilain défaut.

  • #2
    dés que l'on parle de code , l'expérience l'a prouvé, pour les médecins et les avocats, tout le monde se sent menacé et n'en veut pas

    l'harmonisation de la profession et le respect d'une éthique sont nécessaires. Elles passent par des énoncés clairs de ce qu'il convient, en professionnek de respecter, un code de déontologie.

    aux journalistes de dicuter ce réglement intérieur avec MEHAL qui est des leurs et qui a prouvé qu'il est plutôt un bon.

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