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Selon un tour d'horizon, on peut supposer que le FFS participera aux legislatives

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  • Selon un tour d'horizon, on peut supposer que le FFS participera aux legislatives

    Je n'ai pas le temps de poster les liens mais il semblerait que le FFS s'achemine vers une participation

    La decision officielle est prevue le 2 Mars. . Ils vont , je pense , expliciter les raisons de leur participation

  • #2
    Ce pouvoir arrivera toujours à attirer "ses victimes" dans le piège, elles finiront avec les mains vides et crieront toujours au complot.
    Pas à la tique ..

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    • #3
      J'aurais voté FFS si Karim Tabou était toujours à la tète du parti ,je ne sais pourquoi mettre un vieux de la vielle à la place d'un jeune,,c'est aberrant,le tendance est au renouveau ,même Dda l'Hocine doit se retirer ,place aux jeunes !
      «Ceux qui rendent une révolution pacifique impossible rendront une révolution violente inévitable.» JFK

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      • #4
        Le FFS en décidera le 2 mars

        C'est donc vendredi 2 mars que le FFS tranchera quant à sa participation aux législatives de mai 2012 ou leur boycott, et ce à l'issue de la réunion «décisive» du conseil national extraordinaire, consacré exclusivement à l'échéance électorale devenue un vrai dilemme pour le parti d'Aït Ahmed, longtemps absent à l'Assemblée.

        Le président du parti explique ce dilemme lors de son message, à l'occasion de la convention nationale, par une «contrainte» liée à l'état de délabrement du pays. «Nous sommes arrivés à un moment où les consciences elles-mêmes sont soumises à une pression intolérable en vue de leur détournement», constate Aït Ahmed qui qualifie la convention du parti d'«aboutissement», de «commencement» où…de «recommencement».

        Le FFS a eu déjà à siéger à l'APN avant de prôner la politique de la chaise vide qui semble, cette fois-ci, «mise de côté» par la direction du parti malgré les tergiversations de la base opposée, selon une source, à une participation du moment que «rien n'a changé par rapport à 2007». «Aucun boycott ne peut assurer qu'il constitue une alternative efficace à la participation», a fait remarquer le président du FFS qui nuance, toutefois, maintenant ainsi un «faux» suspense, pour nombre d'observateurs, quant à la décision finale du parti qui aurait déjà été dictée.

        «Il est bien peu probable que les prochaines élections soient des élections ouvertes. En fait, et sans précautions inutiles, les prochaines élections n'ont aucune chance d'être des élections ouvertes.» Si d'aucuns estiment, notamment dans le camp des partisans du boycott, que, encore une fois, la politique des quotas sera de mise et que l'issue du scrutin est jouée d'avance, au FFS, on maintient le suspense sur la participation ou le boycott de l'élection législative qui «ne constituait qu'un aspect subsidiaire d'une problématique fondamentale et beaucoup plus large»,

        expliquait de son côté Ali Laskri, premier secrétaire du parti, pour qui «une éventuelle participation à ces élections n'implique, en aucun cas, un consensus sur les règles du jeu politique tel qu'il se joue actuellement». Une façon pour lui de démentir l'information qui a circulé ces derniers temps, selon laquelle Aït Ahmed aurait séjourné au pays et «négocié» le quota du FFS aux prochaines législatives. Alors participera, participera pas ?

        A en croire certaines indiscrétions au sein du FFS, c'est l'option de la participation qui sera retenue demain, plusieurs membres du conseil national auraient clairement affiché leur choix pour cette option «qui renforcerait les rangs du parti», car ne pas participer, est-il souligné dans le rapport de la commission de stratégie politique, «exposerait le parti à des critiques du pouvoir, sans possibilité d'y répondre» et concourrait à la «marginalisation du parti sur la scène politique».

        Saïd Mekla
        source Le temps d'Algerie
        .

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        • #5
          ''Le FFS met le cap sur les législatives'' Source La Dépèche de Kabylie

          Le Conseil National du Front des Forces Socialistes (FFS) se réunira, le 2 mars prochain, en session extraordinaire, au siège national du parti à Alger, a indiqué hier un communiqué de cette formation politique, signé par son premier secrétaire, Ali Laskri.

          Au menu de la réunion, les prochaines élections législatives prévues le 10 mai prochain. Le FFS fait durer le suspense quant à sa participation aux prochaines élections législatives, d'autant plus que la direction nationale du parti, lors d'une réunion tenue avant hier à son siège national, a décidé de convoquer une session extraordinaire du Conseil National pour vendredi prochain. Un conseil qui devra trancher la question de la participation ou non du parti aux prochaines législatives. Une décision qui était attendue pour la dernière convention de la formation. Ce report inattendu n’a, d’ailleurs, fait qu’exaspérer les militants de base, et même l'opinion, pour lesquels l'engagement du parti d'Ait Ahmed n'est qu'un secret de polichinelle, au vu tout d'abord de l'argumentaire préparé par la commission de stratégie politique, désignée, faut-il le rappeler, par le nouveau secrétariat national, en vue de l'exposer à la base pour un débat et qui plaidait pour la participation. En outre, la tenue de la Convention Nationale, le week-end dernier, a confirmé le choix de la participation, mais sans pour autant se prononcer, ou au moins sortir avec une synthèse à même d’éclairer les militants, très partagés sur l'implication du parti dans la prochaine échéance électorale. Même l'intervention de Ali Laskri est pleine d’équivoques, surtout lorsqu’il dira que « quelle que soit l'option retenue, notre responsabilité est engagée », mais sans expliquer par rapport à quoi. Le message d’Ait Ahmed, lu aux délégués au cours de la convention, ne dit pas franchement que le FFS ira aux élections, toutefois, il ouvre une parenthèse en déclarant que" aucun boycott ne peut assurer une alternative efficace à la participation ". Ce signe donné par le président du parti, la composante du secrétariat national, notamment certains revenants et le retour de Djedaï, Samir Bouakouir et d'autres cadres, ainsi que la multiplication des réunions à la direction et au niveau des fédérations, sont interprétés comme les signes d'une participation certaine aux législatives. On peut ajouter à ce constat, le penchant des membres du Conseil National à la participation après avoir fait partie, en majorité, des cadres qui faisaient allégeance au premier secrétaire sortant. Ce dernier, à savoir Karim Tabbou, s’inscrirait lui dans une autre démarche, celle du boycott, car « étant convaincu que la base militante du FFS ne veut pas cautionner un scrutin dont les résultats sont faussés d'avance, » ce qui augure, peut-être, d'un possible démembrement du parti.

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