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Une équipe de recherche de "Nippon Telegraph and Telephone Corp" (NTT) dirigée par M. Yoshitaka Taniyasu a développé une diode électro-luminescente (LED) émettant de la lumiere ultraviolette de 210nm.
Il s'agit de la plus petite longeur d’onde ultraviolette émise à ce jour par une LED. :
LED rouge verte et bleue
Celle-ci est constituée de nitrure d'aluminium, un materiau dont le dopage est problématique, comme c'est le cas de tous les semi-conducteurs à large bande interdite. Pour résoudre ce problème, une nouvelle méthode de cristallisation du nitrure d'aluminium a été développée, afin de réduire considérablement le nbre de défauts dans le cristal, ce qui a permis de mieux contrôler le dopage. Ce dernier a ensuite été réalisé grâce à l'ajout d'atome de magnésium et de silicium.
La puissance de cette LED doit encore être améliorée, celle-ci n'étant pour l'instant que de 0,02 microwatts (contre de 1 à 10 milliwatts pour les LED traditionnelles). De plus, la tension nécessaire à son fonctionnement, actuellement de 25V, doit être réduite.
Cette longueur d'onde ouvre de nouveaux champs d'applications pour les LED. En effet, une telle lumière ultraviolette est capable de détruire certaines substances chimiques dangereuses telles que les toxines et les biphényls chlorés. La nouvelle LED pourrait donc être utilisée dans la recherche biomédicale et la purification d'eau. Cette découverte a fait l'objet d'un article dans l'édition du 18 mai 2006 du magazine Nature UK.
- Source: Cette information est un extrait du BE Japon
Il s'agit de la plus petite longeur d’onde ultraviolette émise à ce jour par une LED. :
LED rouge verte et bleue
Celle-ci est constituée de nitrure d'aluminium, un materiau dont le dopage est problématique, comme c'est le cas de tous les semi-conducteurs à large bande interdite. Pour résoudre ce problème, une nouvelle méthode de cristallisation du nitrure d'aluminium a été développée, afin de réduire considérablement le nbre de défauts dans le cristal, ce qui a permis de mieux contrôler le dopage. Ce dernier a ensuite été réalisé grâce à l'ajout d'atome de magnésium et de silicium.
La puissance de cette LED doit encore être améliorée, celle-ci n'étant pour l'instant que de 0,02 microwatts (contre de 1 à 10 milliwatts pour les LED traditionnelles). De plus, la tension nécessaire à son fonctionnement, actuellement de 25V, doit être réduite.
Cette longueur d'onde ouvre de nouveaux champs d'applications pour les LED. En effet, une telle lumière ultraviolette est capable de détruire certaines substances chimiques dangereuses telles que les toxines et les biphényls chlorés. La nouvelle LED pourrait donc être utilisée dans la recherche biomédicale et la purification d'eau. Cette découverte a fait l'objet d'un article dans l'édition du 18 mai 2006 du magazine Nature UK.
- Source: Cette information est un extrait du BE Japon
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