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Le prix du gaz ne posera plus de problème pour l’adhésion de l’Algérie à l’OMC. « La question du double prix du gaz soulevée dans le cadre du processus de négociation pour l'accession de l'Algérie à l'Organisation mondiale du commerce (OMC) est réglée », a affirmé ce mardi le directeur des relations avec l'OMC au ministère du Commerce, Mohamed El‑Hadi Belarima.
Intervenant lors d'une conférence sur l'OMC et le système commercial multilatéral, organisée par l'Institut diplomatique et des relations internationales (Idri), ce négociateur a expliqué que la question a été réglée conformément aux dispositions de la loi sur les hydrocarbures promulguée en 2007. Ainsi, l'État préservera le droit de fixer les prix sur le marché interne, après concertation avec les opérateurs économiques. Selon lui, un prix économique qui couvre tous les coûts et qui accorde une marge de bénéfice raisonnable aux opérateurs, sera ainsi fixé après concertation entre les deux parties.
L’Algérie a dû faire des efforts énormes pour que l’OMC consente à l’application du double tarif. L’OMC avait imposé à l’Algérie d’appliquer le prix du gaz à l’international, un tarif qui reviendra cher au citoyen algérien. Après le refus de l’Algérie, les discussions ont été suspendues à plusieurs reprises.
Selon Mohamed El‑Hadi Belarima, d'autres questions dans le cadre des négociations avec le groupe de travail de l'OMC, ont également été réglées, notamment celles ayant trait au régime douanier et à la protection des droits de la propriété intellectuelle.
L'Algérie s’est engagée dans le processus d'intégration au système commercial mondial depuis juin 1987, date du dépôt de la demande officielle d'adhésion au GATT (accord général sur les tarifs et le commerce, ancêtre de l'OMC). Cependant, les négociations n'ont commencé concrètement qu'à partir de la présentation par l'Algérie de son aide‑mémoire du commerce extérieur en juillet 1996, puis de la tenue de la première réunion du groupe de travail en avril 1998. Depuis, elle a répondu à plus de 1 600 questions des membres de l'Organisation et participé à dix rounds de négociations, dont le dernier remonte à janvier 2008.
APS
Intervenant lors d'une conférence sur l'OMC et le système commercial multilatéral, organisée par l'Institut diplomatique et des relations internationales (Idri), ce négociateur a expliqué que la question a été réglée conformément aux dispositions de la loi sur les hydrocarbures promulguée en 2007. Ainsi, l'État préservera le droit de fixer les prix sur le marché interne, après concertation avec les opérateurs économiques. Selon lui, un prix économique qui couvre tous les coûts et qui accorde une marge de bénéfice raisonnable aux opérateurs, sera ainsi fixé après concertation entre les deux parties.
L’Algérie a dû faire des efforts énormes pour que l’OMC consente à l’application du double tarif. L’OMC avait imposé à l’Algérie d’appliquer le prix du gaz à l’international, un tarif qui reviendra cher au citoyen algérien. Après le refus de l’Algérie, les discussions ont été suspendues à plusieurs reprises.
Selon Mohamed El‑Hadi Belarima, d'autres questions dans le cadre des négociations avec le groupe de travail de l'OMC, ont également été réglées, notamment celles ayant trait au régime douanier et à la protection des droits de la propriété intellectuelle.
L'Algérie s’est engagée dans le processus d'intégration au système commercial mondial depuis juin 1987, date du dépôt de la demande officielle d'adhésion au GATT (accord général sur les tarifs et le commerce, ancêtre de l'OMC). Cependant, les négociations n'ont commencé concrètement qu'à partir de la présentation par l'Algérie de son aide‑mémoire du commerce extérieur en juillet 1996, puis de la tenue de la première réunion du groupe de travail en avril 1998. Depuis, elle a répondu à plus de 1 600 questions des membres de l'Organisation et participé à dix rounds de négociations, dont le dernier remonte à janvier 2008.
APS