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L’émissaire de l’ONU et de la Ligue arabe pour la Syrie, Kofi Annan, a estimé qu’une "seule mission de médiation, acceptée par toutes les parties, suffira pour régler la crise syrienne".
"Si nous voulons réaliser un succès, il est extrêmement important que tout le monde doit accepter une seule mission de médiation" pour résoudre la crise en Syrie, a déclaré M. Annan à la presse, à l’issue d’une rencontre mercredi soir avec le secrétaire général de l’ONU Ban Ki-moon tenue au siège des Nations unies à New York.
"Quand on a plus d’une médiation, certains mènent des actions pour leurs intérêts personnels, donc c’est là qu’on doit avoir uniquement une seule médiation qui représentera la voix de la communauté internationale", a-t-il insisté.
L’ex-secrétaire général de l’ONU a souligné également la nécessité d"’unifier les efforts et de travailler ensemble avec toutes les parties", faisant savoir qu’il avait l’intention de mener de "larges consultations avec les parties concernées par la crise syrienne". "Je pense que je suis dans la bonne voie", a-t-il dit.
Au cours de la rencontre de mercredi soir avec M. Annan, M. Ban a averti contre l’aggravation de la situation en Syrie, appelant à nouveau à l’arrêt immédiat des violences dans ce pays qui fait face depuis la mi-mars dernier à un mouvement de contestation sans précédant.
Les Nations unies veillent à "ce que les violences cessent en Syrie afin d’oeuvrer pour une solution pacifique et satisfaisante pour toutes les parties du peuple syrien", a insisté le chef de l’ONU.
Ce dernier a ajouté avoir demandé à M. Annan de se rendre au Caire pour rencontrer le secrétaire général de la Ligue arabe (Nabil Al-Arabi) avant d’entamer une première visite en Syrie au début de la semaine prochaine, appelant les différentes parties "à consentir plus d’efforts pour réussir la mission" de M. Annan, nommé jeudi dernier émissaire conjoint des Nations unies et de la Ligue arabe pour la Syrie.
Damas a demandé mercredi au chef de l’ONU de lui fournir des "précisions" sur l’objectif de la mission de son émissaire.
APS
"Si nous voulons réaliser un succès, il est extrêmement important que tout le monde doit accepter une seule mission de médiation" pour résoudre la crise en Syrie, a déclaré M. Annan à la presse, à l’issue d’une rencontre mercredi soir avec le secrétaire général de l’ONU Ban Ki-moon tenue au siège des Nations unies à New York.
"Quand on a plus d’une médiation, certains mènent des actions pour leurs intérêts personnels, donc c’est là qu’on doit avoir uniquement une seule médiation qui représentera la voix de la communauté internationale", a-t-il insisté.
L’ex-secrétaire général de l’ONU a souligné également la nécessité d"’unifier les efforts et de travailler ensemble avec toutes les parties", faisant savoir qu’il avait l’intention de mener de "larges consultations avec les parties concernées par la crise syrienne". "Je pense que je suis dans la bonne voie", a-t-il dit.
Au cours de la rencontre de mercredi soir avec M. Annan, M. Ban a averti contre l’aggravation de la situation en Syrie, appelant à nouveau à l’arrêt immédiat des violences dans ce pays qui fait face depuis la mi-mars dernier à un mouvement de contestation sans précédant.
Les Nations unies veillent à "ce que les violences cessent en Syrie afin d’oeuvrer pour une solution pacifique et satisfaisante pour toutes les parties du peuple syrien", a insisté le chef de l’ONU.
Ce dernier a ajouté avoir demandé à M. Annan de se rendre au Caire pour rencontrer le secrétaire général de la Ligue arabe (Nabil Al-Arabi) avant d’entamer une première visite en Syrie au début de la semaine prochaine, appelant les différentes parties "à consentir plus d’efforts pour réussir la mission" de M. Annan, nommé jeudi dernier émissaire conjoint des Nations unies et de la Ligue arabe pour la Syrie.
Damas a demandé mercredi au chef de l’ONU de lui fournir des "précisions" sur l’objectif de la mission de son émissaire.
APS
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