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DEBKAfile Special Report February 27, 2012,
Russia-Iran Syria Lebanon radar & surveillance
Russian electronic station on Jabal Al Harrah
The Russians have upgraded their Jabal Al Harrah electronic and surveillance station south of Damascus opposite Israel’s Sea of Galilee, adding resources especially tailored to give Tehran early warning of an oncoming US or Israeli attack, DEBKAfile’s US military sources report.
Before it was boosted by extra advanced technology and manpower, the station covered civilian and military movements in northern Israel up to Tel Aviv, northern Jordan and western Iraq. Today, its range extends to all parts of Israel and Jordan, the Gulf of Aqaba and northern Saudi Arabia.
Part two of Moscow’s project for extending the range of its Middle East ears and eyes consisted of upgrading the Russian-equipped Syrian radar stationed on Lebanon’s Mount Sannine and connecting it to the Jabal Al Harrah facility in Syria. Russian technicians have completed this project too. Russia is now able to additionally track US and Israeli naval and aerial movements in the Eastern Mediterranean up to and including Cyprus and Greece.
According to our sources, the Russian aircraft carrier Admiral Kutznetsov’s stay at the Syrian port of Tartus through most of January and up to mid-February had the special mission of keeping an eye out for any Israeli preparations for attacking Iran, Syria or Hizballah. It filled the gap left by the Russian station south of Damascus which was fully occupied with feeding data on Syrian opposition movements to Bashar Assad and watching out for signs of foreign intervention, military or covert, against his regime.
The Russian vessel meanwhile followed increased traffic of US drone over Syria keeping track of the Syrian arsenal of missiles with chemical, biological and nerve gas warheads.
Washington disclosed on Feb. 25 that the US State Department had sent out warnings to six countries, Israel, Turkey, Lebanon, Saudi Arabia, Jordan and Iraq, to beware of these deadly weapons. It was not clear whether the warning referred to a possible Assad regime’s decision to use WMD against those nations or the danger of their transfer to terrorists embedded within those countries.
Moscow decided to boost its radar tracking and surveillance reach for Iran’s benefit in response to a complaint from Tehran that it could not longer count on Russia for a real-time alert on an incoming US or Israeli military strike, because those resources were stretched to the limit in support of the Assad regime.
After expanding and upgrading their range to meet Iranian needs by interconnecting the two stations and adding extra Russian manpower, Moscow ordered the Admiral Kutznetsov to depart Tartus on Feb. 13 and sail to home port at Severomorsk on the Kola Peninsula. The Russian stations in Syria and Lebanon were by then ready for their expanded missions.
Traduction Google
Mises à jour électronique à la station de la Russie, garde l'Iran des Etats-Unis / Israël attaque basé en Syrie
DEBKA fichier Rapport spécial Février 27, 2012, la Russie et l'Iran la Syrie au Liban station radar de surveillance Russie
et station électronique de Jabal Al Harrah
Les Russes ont amélioré leur Jabal Al Harrah électronique et la surveillance station sud de Damas face de la mer d'Israël de la Galilée, l'ajout de ressources spécialement adaptées pour donner Téhéran d'alerte précoce d'une attaque venant en sens inverse des États-Unis ou d'Israël, DEBKA fichier d 'Un rapport américain sources militaires.
Avant, il était stimulée par la technologie de pointe supplémentaire et la main-d'œuvre, la station couverte mouvements civils et militaires dans le nord d'Israël jusqu'à Tel-Aviv, nord de la Jordanie et ouest de l'Irak. Aujourd'hui, sa gamme s'étend à toutes les parties d'Israël et la Jordanie, le golfe d'Aqaba et nord de l'Arabie saoudite.
La deuxième partie de MoscouProjet pour l 'extension de la gamme de ses oreilles Moyen-Orient et les yeux se composait de mise à niveau du radar russe équipée syrienne stationnée sur LibanL ' Monter Sannine et sa connexion à l'installation de Jabal Al Harrah dans Syrie. Techniciens russes ont réalisé ce projet aussi. La Russie est maintenant en mesure de suivre également les mouvements américains et israéliens navales et aériennes dans la Méditerranée orientale jusqu'à et y compris Chypre et la Grèce.
Selon nos sources, la Russie porte-avions Admiral Kutznetsov de rester dans le port syrien de Tartous en plus de Janvier et jusqu'à la mi-Février avait la mission spéciale de garder un œil sur les préparatifs israéliens pour attaquer l'Iran, la Syrie ou le Hezbollah. Il a rempli le vide laissé par le sud station russe de Damas qui a été pleinement occupé par l'alimentation de données sur les mouvements d'opposition syriens à Bashar al-Assad et guetter les signes de l'intervention étrangère, les militaires ou clandestines, contre son régime.
Le navire russe quant à lui suivi l'augmentation du trafic de drone américain sur la Syrie garder la trace de l'arsenal syrien de missiles à ogives de gaz chimiques, biologiques et du nerf.
Washington divulgués le 25 février que le Département d'Etat américain avait envoyé des avertissements à six pays, Israël, Turquie, Liban, Arabie Saoudite, la Jordanie et l'Irak, de se méfier de ces armes meurtrières. Il n'était pas clair si l'avertissement visé à la décision d'un éventuel régime d'Assad d'utiliser des ADM contre ces nations ou le danger de leur transfert à des terroristes embarqués dans ces pays.
Moscou a décidé de renforcer son suivi radar et la portée de surveillance pour le bénéfice de l'Iran en réponse à une plainte de la part de Téhéran qu'il ne pouvait plus compter sur la Russie pour une alerte en temps réel sur un appel entrant aux États-Unis ou Israël attaque militaire, parce que ces ressources ont été étirés à l' limiter à l'appui du régime Assad.
Après agrandissant et en modernisant sa gamme pour répondre aux besoins iraniens en interconnectant les deux stations et en ajoutant la main-d'œuvre supplémentaire Russie, Moscou a ordonné l'Kutznetsov amiral de s'écarter de Tartous, le 13 février et voile au port d'attache à Severomorsk sur la péninsule de Kola. Les stations russes en Syrie et au Liban étaient alors prêts pour leurs missions élargies.