Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Le ministre du Commerce l’a annoncé à Tlemcen Un statut particulier pour les wilayas frontalières

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Le ministre du Commerce l’a annoncé à Tlemcen Un statut particulier pour les wilayas frontalières

    M. Benbada a indiqué que “douze wilayas frontalières seront régies par un texte particulier, notamment en ce qui concerne les conditions de délivrance des registres du commerce de gros, à charge des autorités locales d’en assurer le contrôle rigoureux sur le terrain”.

    En visite de travail jeudi dans la wilaya de Tlemcen, le ministre du Commerce, Mustapha Benbada, a déclaré à propos du phénomène de la contrebande “que celui-ci, de par son ampleur, demeure difficile à éradiquer d’où la nécessité d’appliquer rigoureusement les textes de loi relatifs à la protection de l’économie nationale comme la limitation de la durée du registre du commerce afin de séparer le bon grain de l’ivraie, c’est-à-dire distinguer les véritables opérateurs économiques des commerçants fictifs”.
    Le ministre a pris pour exemple la commune frontalière de Souani lors de son déplacement à Maghnia, déclarant qu’il y a été recensé un total de 161 commerçants grossistes pour 191 détaillants. C’est, a-t-il dit, “une situation tout à fait anachronique qui nous interpelle pour agir efficacement et rigoureusement afin d’annihiler cet état de fait flagrant”. Il a, dans le même contexte, indiqué que de nombreuses mesures étaient envisagées par l’État pour réduire les conséquences néfastes de la contrebande qui affecte l’économie du pays, empoisonne l’existence de la population et, par ricochet, de celle des institutions en place, citant à cet effet “le décret exécutif portant modalités et conditions de création d’espaces commerciaux et la loi relative à la gestion des marchés de gros des fruits et légumes qui vont être réactivés”, ajoutant que “douze wilayas frontalières dont Tlemcen, eu égard à leur position géographique stratégique, seront régies par un texte particulier, notamment en ce qui concerne les conditions de délivrance des registres du commerce de gros, à charge des autorités locales d’en assurer le contrôle rigoureux sur le terrain”. Lors d’une rencontre avec les autorités locales et les opérateurs économiques de la région,
    M. Benbada a jeté un pavé dans la mare des communes qui “n’ont pas prévu l’aménagement d’espaces commerciaux dans les cités d’habitat, ce qui a grandement favorisé l’éclosion, comme des champignons, de commerces informels et parasitaires”, notant au passage “les efforts louables de l’État qui a inscrit au titre du premier plan quinquennal une enveloppe financière de l’ordre de près de 6 milliards de dinars afin de créer des infrastructures pour abriter des marchés de gros, effort financier qui va atteindre les 10 milliards de dinars pour le second plan quinquennal”.
    Autre volet évoqué par le ministre du Commerce, celui du contrôle dont les institutions décentralisées sont souvent pointées du doigt pour son insuffisance et souvent son inefficacité, il a spontanément affirmé que “le nombre de contrôleurs, qui était de 3 000, puis de 7 000, va passer à 14 000, soit plus du triple de ce qu’il était et celui des inspections territoriales actuellement au nombre de 59 va être augmenté d’une centaine supplémentaire pour être porté à 159 à travers le pays”. M. Benbada a mis à profit son déplacement à Tlemcen pour inaugurer un centre commercial de 54 stands affectés à des jeunes qui ont occupé pendant des années à titre informel la place cheikh Bachir-Ibrahimi (aménagée depuis en place publique), puis le nouveau marché de gros de la localité de Abou Tachfine ainsi que 82 locaux réalisés dans la commune de Mansourah au titre du programme spécial lancé par le chef de l’État appelé communément “100 locaux par commune”.
    À Maghnia, où il s’est, par la suite, rendu avant de regagner Alger, le ministre du Commerce a visité sur place le centre de contrôle de marchandises qui va regrouper les services des douanes, de la gendarmerie et de la Sûreté nationale ainsi que le futur centre commercial (98 locaux) destiné aux jeunes chômeurs de la région.

    Libeté
    la curiosité est un vilain défaut.

  • #2
    le FBI americain controle les frontières et protege les états unis contre
    la contrefaçon en protegeant les créateurs et proteger leurs interet

    ici au lieu de renforcer la gendarmerie par un systeme efficace de suer*vice de renseignement et de collecte d'informations
    notre misnistre se base sur les inspecteurs administratifs ...
    l'administration n'a aucun droit dans la protection ni des frontières ni des la contrefaçons c'esyt le role d'un service qui appartient a la justice c'est
    la gendarmerie nationale

    on se demande que vient ici faire l'administration..elle délivre les registres de commerce et elle se tait

    ok monsieur ministro d'el commerço

    Commentaire


    • #3
      la gendarmerie doit se redéployer pour que le service de la collecte d'information soit installé...on n'a plus besoin d'autres service....
      ce service doit etre ouvert publique..il n ' ya rien de secret...la gendarmerie doit dans les besoins de l'enquete recruter des commerçants pour infiltration...une fois l'operation terminé...elle publie ses rapports..le role de la gendarmerie c'est comme le FBI proteger les interets des natioonaux ici en algerie...pas une mouche qui bouge


      la collecte des informations (suivie et traçage des interets algerien a l'étranger et protection et soutient de nos expatrié a l'etranger doit etre sous l'egide du ministère des affaires étrangères)....la gendarmerie n'a aucun droit d'agir a l'etranger...

      l'administraion ou elle va s'occuper a acheter des rames de papiers et manger dans le budget du fonctionnement en attendant que la gendaremrie fasse une opération au carcher pour netoyer cette mazbala

      Commentaire


      • #4
        Le ministre du Commerce l’a annoncé à Tlemcen Un statut particulier pour les wilayas frontalières
        Elles vont devenir des zones franches.
        Mr NOUBAT

        Commentaire


        • #5
          la commune frontalière de Souani lors de son déplacement à Maghnia, déclarant qu’il y a été recensé un total de161 commerçants grossistes pour 191 détaillants.
          161 grossistes pour 191 détaillants d'une toute petite commune ???!

          J'hallucine !

          Commentaire


          • #6
            INCOMPETENTS.
            Si tu veux lutter contre la contrebande, il faut avoir un état de droit tout simplement.

            Commentaire


            • #7
              le ministre ne raisonne qu'en fonction du trabendo et des halabas

              les wilayas des frontières ont besoin d'encouragements pour que les jeunes s'y installent, genre les facilités accordées par les USA aux colons qui partaient occuper le WEST

              Commentaire

              Chargement...
              X