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General Motors lancera officiellement demain, 13 juin, la construction de sa première usine en Russie, un investissement de plus de 100 millions de dollars, qui doit lui permettre de se renforcer sur un marché automobile en forte croissance.
Une source proche du projet a expliqué que l’usine aurait une capacité annuelle de production d’environ 25 000 véhicules.
Le P-DG de General Motors, Rick Wagoner, assistera à la pose de la première pierre sur le site retenu, près de Saint-Pétersbourg. GM est pour l’instant présent en Russie par le biais d’une coentreprise, avec le groupe local AvtoVaz, qui produit le 4x4 Niva et la berline Viva de Chevrolet. Un autre groupe russe, Avtotor, assemble parallèlement, sous licence, certains modèles du groupe américain dans l’enclave russe de Kaliningrad. Ces deux accords ne sont pas remis en cause par la construction de la nouvelle usine, a précisé la source proche du projet. «Certains ont spé***é sur le fait que cela se substituerait à des activités que nous avons déjà en Russie.
Ce n’est pas le cas», a-t-elle dit.
Les ventes de voitures étrangères sur le marché russe ont augmenté de 60% l’an dernier, à 563 400 véhicules. Selon Ernst & Young, le marché total a progressé de 14,4 %, à 1,84 million d’unités.
Ford Motor et Renault disposent déjà d’usines en Russie, et Toyota Motor a lancé l’an dernier la construction d’un vaste site de production près de Saint-Pétersbourg. De son côté Volkswagen a annoncé le mois dernier avoir signé un accord pour la construction d’une usine d’assemblage dans la région de Kalouga, un projet de 370 millions d’euros. Nissan Motor a, pour sa part, annoncé son intention d’investir 200 millions de dollars sur le marché russe. Enfin, PSA Peugeot Citroën a déclaré, mardi envisager d’investir dans une usine en Russie. Le quotidien Kommersant a évoqué un montant de 200 millions de dollars et une capacité de 50 000 véhicules par an, mais le groupe français a refusé de confirmer ces chiffres.
- La Tribune
Une source proche du projet a expliqué que l’usine aurait une capacité annuelle de production d’environ 25 000 véhicules.
Le P-DG de General Motors, Rick Wagoner, assistera à la pose de la première pierre sur le site retenu, près de Saint-Pétersbourg. GM est pour l’instant présent en Russie par le biais d’une coentreprise, avec le groupe local AvtoVaz, qui produit le 4x4 Niva et la berline Viva de Chevrolet. Un autre groupe russe, Avtotor, assemble parallèlement, sous licence, certains modèles du groupe américain dans l’enclave russe de Kaliningrad. Ces deux accords ne sont pas remis en cause par la construction de la nouvelle usine, a précisé la source proche du projet. «Certains ont spé***é sur le fait que cela se substituerait à des activités que nous avons déjà en Russie.
Ce n’est pas le cas», a-t-elle dit.
Les ventes de voitures étrangères sur le marché russe ont augmenté de 60% l’an dernier, à 563 400 véhicules. Selon Ernst & Young, le marché total a progressé de 14,4 %, à 1,84 million d’unités.
Ford Motor et Renault disposent déjà d’usines en Russie, et Toyota Motor a lancé l’an dernier la construction d’un vaste site de production près de Saint-Pétersbourg. De son côté Volkswagen a annoncé le mois dernier avoir signé un accord pour la construction d’une usine d’assemblage dans la région de Kalouga, un projet de 370 millions d’euros. Nissan Motor a, pour sa part, annoncé son intention d’investir 200 millions de dollars sur le marché russe. Enfin, PSA Peugeot Citroën a déclaré, mardi envisager d’investir dans une usine en Russie. Le quotidien Kommersant a évoqué un montant de 200 millions de dollars et une capacité de 50 000 véhicules par an, mais le groupe français a refusé de confirmer ces chiffres.
- La Tribune