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Entretien avec M. Stephan Kurzawski, vice-président de «Messe Frankfurt», la plus grande société allemande spécialisée dans l’organisation des foires internationales : «Je suis impressionné par l’Algérie»
La Tribune : C’est votre première visite en Algérie, quelles sont vos impressions, d’abord sur le pays, et ensuite sur la Foire internationale d’Alger à laquelle prennent part d’importantes entreprises allemandes ?
M. Kurzawski : Je suis réellement impressionné, d’une part par le pays, et par ailleurs par la Foire d’Alger qui semble être un très grand événement économique. Malgré toute l’expérience que nous avons acquise dans l’organisation de ce genre de manifestations, et à travers l’œil des professionnels que nous sommes, je dois dire que j’ai été positivement marqué. Ce que j’ai vu jusqu’à présent est d’un très bon niveau. Le terrain est bien placé, le site est bien choisi et on peut donc raisonnablement faire le tour de la foire. C’est en fait très bien organisé et les stands sont bien
répartis et agencés, ce qui facilite la visite et la mise en valeur des matériels et autres produits exposés. Dans le cycle de vie d’une foire comme celle d’Alger, tout ça fait une très bonne impression. La FIA située dans le cadre de l’Afrique du Nord n’est pas comparable à d’autres Salons organisés dans la région, puisqu’elle se démarque clairement. je suis très impressionné, l’organisation, le volume d’exposants, tout y est.
Vous avez une longue expérience dans le domaine de l’organisation des foires, est-ce que votre visite a permis de nouer des contacts avec des partenaires algériens, et quelles perspectives cela vous ouvre-t-il ?
Guidés par la Chambre de commerce et d’industrie algéro-allemande nous avons pu nous entretenir avec des responsables de la Safex et discuter des possibilités de coopération. Nous avons eu aussi des entretiens avec les responsables de la Chambre de commerce et d’industrie, (Caci) et nous les avons invités à venir à Frankfurt pour visiter le Salon de l’automobile «auto mechanika». Par ailleurs, la Chambre de commerce algéro-allemande est en discussion avec la Caci pour constituer une délégation de visiteurs et d’exposants en vue de la tenue en janvier 2007 à Frankfurt de «heim textile», le plus grand Salon mondial du textile et de l’industrie, dans ce domaine.
Est-ce que votre expérience dans l’organisation des foires vous a permis de superviser ce genre d’événements en Afrique ?
Notre première expérience a eu lieu en Egypte. Ça n’a pas donné lieu à ce que nous attendions. Ce fut intéressant, mais nous avions en fait mal apprécié le marché dans ce pays. Peut-être que nous étions allés là-bas trop tôt et, dans notre domaine on sait que, lorsqu’on arrive trop tôt sur un marché, ça ne fonctionne pas. Aujourd’hui, c’est différent.
Et pour ce qui est de l’Algérie, quels sont vos projets, vos contacts laissent-ils entrevoir quelques perspectives ?
Je dois dire qu’en Europe, et plus particulièrement en Allemagne, nous nous sommes trop peu intéressés à l’Algérie jusqu’à maintenant, mais nous œuvrons pour changer les choses en vue d’un échange plus grand avec votre pays.
Pour ce qui est des perspectives, dans notre domaine plus précisément, c’est-à-dire l’organisation des foires, je peux vous dire une chose, lorsque Messe Frankfurt arrive quelque part, tout est alors possible.
- La Tribune
La Tribune : C’est votre première visite en Algérie, quelles sont vos impressions, d’abord sur le pays, et ensuite sur la Foire internationale d’Alger à laquelle prennent part d’importantes entreprises allemandes ?
M. Kurzawski : Je suis réellement impressionné, d’une part par le pays, et par ailleurs par la Foire d’Alger qui semble être un très grand événement économique. Malgré toute l’expérience que nous avons acquise dans l’organisation de ce genre de manifestations, et à travers l’œil des professionnels que nous sommes, je dois dire que j’ai été positivement marqué. Ce que j’ai vu jusqu’à présent est d’un très bon niveau. Le terrain est bien placé, le site est bien choisi et on peut donc raisonnablement faire le tour de la foire. C’est en fait très bien organisé et les stands sont bien
répartis et agencés, ce qui facilite la visite et la mise en valeur des matériels et autres produits exposés. Dans le cycle de vie d’une foire comme celle d’Alger, tout ça fait une très bonne impression. La FIA située dans le cadre de l’Afrique du Nord n’est pas comparable à d’autres Salons organisés dans la région, puisqu’elle se démarque clairement. je suis très impressionné, l’organisation, le volume d’exposants, tout y est.
Vous avez une longue expérience dans le domaine de l’organisation des foires, est-ce que votre visite a permis de nouer des contacts avec des partenaires algériens, et quelles perspectives cela vous ouvre-t-il ?
Guidés par la Chambre de commerce et d’industrie algéro-allemande nous avons pu nous entretenir avec des responsables de la Safex et discuter des possibilités de coopération. Nous avons eu aussi des entretiens avec les responsables de la Chambre de commerce et d’industrie, (Caci) et nous les avons invités à venir à Frankfurt pour visiter le Salon de l’automobile «auto mechanika». Par ailleurs, la Chambre de commerce algéro-allemande est en discussion avec la Caci pour constituer une délégation de visiteurs et d’exposants en vue de la tenue en janvier 2007 à Frankfurt de «heim textile», le plus grand Salon mondial du textile et de l’industrie, dans ce domaine.
Est-ce que votre expérience dans l’organisation des foires vous a permis de superviser ce genre d’événements en Afrique ?
Notre première expérience a eu lieu en Egypte. Ça n’a pas donné lieu à ce que nous attendions. Ce fut intéressant, mais nous avions en fait mal apprécié le marché dans ce pays. Peut-être que nous étions allés là-bas trop tôt et, dans notre domaine on sait que, lorsqu’on arrive trop tôt sur un marché, ça ne fonctionne pas. Aujourd’hui, c’est différent.
Et pour ce qui est de l’Algérie, quels sont vos projets, vos contacts laissent-ils entrevoir quelques perspectives ?
Je dois dire qu’en Europe, et plus particulièrement en Allemagne, nous nous sommes trop peu intéressés à l’Algérie jusqu’à maintenant, mais nous œuvrons pour changer les choses en vue d’un échange plus grand avec votre pays.
Pour ce qui est des perspectives, dans notre domaine plus précisément, c’est-à-dire l’organisation des foires, je peux vous dire une chose, lorsque Messe Frankfurt arrive quelque part, tout est alors possible.
- La Tribune
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