Fier d'être l'esclave des sionistes, le très sioniste président américain Barack Obama a réaffirmé récemment son soutien inconditionnel et absolu pour Israel lors du sommet annuel du lobby pro-israélien AIPAC.
Pour convaincre les juifs et chrétiens sionistes qu'ils n'ont absolument aucune raison de douter de sa fidélité pour Israel, l'esclave Barack Obama leur a rappelé qu'ils leur suffisait de lire son bilan: il a systématiquement soutenu Israel à chaque occasion depuis son arrivée à la Maison blanche. Notamment lorsque l'esclave Obama a tout fait pour saboter la tentative de l'ONU de dénoncer la barbarie des terroristes israéliens à Gaza fin 2008/début 2009.
Le discours de l'esclave Barack Obama était si aveuglement pro-Israel qu'il a étonné les Israéliens de gauche qui ne comprennent pas comment un politicien américain censé être de centre-gauche puisse être l'esclave de politiciens israéliens d'extrême droite!
Aucune dignité chez l'esclave Barack Obama qui refuse de se battre pour aider les plus de 50 millions de pauvres américains mais s'est engagé à maintenir l'aide américaine pour Israel à plus de 3 milliards $ par an.
Pour convaincre les juifs et chrétiens sionistes qu'ils n'ont absolument aucune raison de douter de sa fidélité pour Israel, l'esclave Barack Obama leur a rappelé qu'ils leur suffisait de lire son bilan: il a systématiquement soutenu Israel à chaque occasion depuis son arrivée à la Maison blanche. Notamment lorsque l'esclave Obama a tout fait pour saboter la tentative de l'ONU de dénoncer la barbarie des terroristes israéliens à Gaza fin 2008/début 2009.
Le discours de l'esclave Barack Obama était si aveuglement pro-Israel qu'il a étonné les Israéliens de gauche qui ne comprennent pas comment un politicien américain censé être de centre-gauche puisse être l'esclave de politiciens israéliens d'extrême droite!
Aucune dignité chez l'esclave Barack Obama qui refuse de se battre pour aider les plus de 50 millions de pauvres américains mais s'est engagé à maintenir l'aide américaine pour Israel à plus de 3 milliards $ par an.
Commentaire