Des sources travaillant dans le commerce et le transit du pétrole ont estimé que l’Iran utiliserait des moyens non conventionnels pour vendre son pétrole dans les marchés mondiaux.
Selon ces sources, s’exprimant à l’agence de presse Reuters sous le couvert de l’anonymat, le pétrole iranien serait transporté par des pétroliers divers et mélangé avec d’autre genre de pétrole brut pour dissimuler la source d’origine.
« Les Etats-Unis, Londres et Bruxelles font tout pour mettre des obstacles face à la vente du pétrole iranien, mais l’Iran peut contourner ces obstacles en vendant son pétrole à bas prix, profitant extrêmement aux agents et aux médiateurs », ont-elles dit.
Le directeur exécutif d’une importante compagnie de pétrole précise de son côté que « les Iraniens ont une grande capacité dans le domaine de la créativité et ils sont capables de nous vaincre par leur intelligence ».
Le principal actionnaire à la société pétrolière russe Lukoil, Léonid Fidon, a estimé qu’il était difficile de mettre en place des mesures capables d’empêcher la vente du pétrole iranien dans les marchés. « Si la Chine ne fait pas partie de sanctions internationales par exemple, ces dernières seront sans effet ».
L’an dernier, les Etats-Unis ont infligé une frappe au réseau financier de Téhéran lorsqu’ils ont fermé la banque islamique Nour, basée à Dubaï. Cette banque constitue un canal important pour les ventes pétrolières.
Mais des clients révèlent que certaines petites banques européennes et russes non dévoilées pour les Etats-Unis désirent recevoir les transferts de paiements du pétrole.
L’Iran a recours à d’autres devises telles que le yen, la roupie, et a conclu des transactions de pétrole ou d’or en échange de produits alimentaires.
Téhéran fera des réductions sur son pétrole et vendra à la Chine une grande quantité de cargaisons qui étaient destinées à l’Europe.
S’agissant de l’Inde, des sources confirment que trois pétroliers iraniens ont transporté du pétrole brut aux raffineries situées à la côte ouest de l’Inde.
En effet, l’Inde a fait savoir qu’elle respectera les sanctions des Nations Unies sur l’Iran, mais elle a refusé de s’engager dans les nouvelles mesures appliquées par les Etats-Unis et l’Union européenne.
Source: Reuters
Selon ces sources, s’exprimant à l’agence de presse Reuters sous le couvert de l’anonymat, le pétrole iranien serait transporté par des pétroliers divers et mélangé avec d’autre genre de pétrole brut pour dissimuler la source d’origine.
« Les Etats-Unis, Londres et Bruxelles font tout pour mettre des obstacles face à la vente du pétrole iranien, mais l’Iran peut contourner ces obstacles en vendant son pétrole à bas prix, profitant extrêmement aux agents et aux médiateurs », ont-elles dit.
Le directeur exécutif d’une importante compagnie de pétrole précise de son côté que « les Iraniens ont une grande capacité dans le domaine de la créativité et ils sont capables de nous vaincre par leur intelligence ».
Le principal actionnaire à la société pétrolière russe Lukoil, Léonid Fidon, a estimé qu’il était difficile de mettre en place des mesures capables d’empêcher la vente du pétrole iranien dans les marchés. « Si la Chine ne fait pas partie de sanctions internationales par exemple, ces dernières seront sans effet ».
L’an dernier, les Etats-Unis ont infligé une frappe au réseau financier de Téhéran lorsqu’ils ont fermé la banque islamique Nour, basée à Dubaï. Cette banque constitue un canal important pour les ventes pétrolières.
Mais des clients révèlent que certaines petites banques européennes et russes non dévoilées pour les Etats-Unis désirent recevoir les transferts de paiements du pétrole.
L’Iran a recours à d’autres devises telles que le yen, la roupie, et a conclu des transactions de pétrole ou d’or en échange de produits alimentaires.
Téhéran fera des réductions sur son pétrole et vendra à la Chine une grande quantité de cargaisons qui étaient destinées à l’Europe.
S’agissant de l’Inde, des sources confirment que trois pétroliers iraniens ont transporté du pétrole brut aux raffineries situées à la côte ouest de l’Inde.
En effet, l’Inde a fait savoir qu’elle respectera les sanctions des Nations Unies sur l’Iran, mais elle a refusé de s’engager dans les nouvelles mesures appliquées par les Etats-Unis et l’Union européenne.
Source: Reuters
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