Le porte parole du gouvernement Hamas de Gaza a déclaré dans une communication téléphonique avec Echorouk qu’Ismail Haniyeh a appelé l’Algérie à tenir sa promesse en alimentant la bande de gaza en carburant.
Ces déclarations sont basées sur le fait que les palestiniens connaissent les positions de l’Algérie ainsi que de ses responsables vis-à-vis de la question de Gaza, dira le responsable palestinien.
Al Masri dira que la position de l’Algérie sur la question de l’embargo sur Gaza avait aboutie à une promesse en 2007 de fournir du pétrole gratuitement à Gaza alors que le monde arabe vivait un débat sur la fourniture gratuite de pétrole pour Gaza.
Depuis les révolutions arabes et l’ouverture de la frontière avec l’Egypte, il est maintenant possible de concrétiser cela, dira Al Masi à Echorouk.
Le porte parole du gouvernement Haniyeh a déclaré que la situation à Gaza était tragique à la lumière de la non autorisation d’entrer de carburant imposée par les autorités israéliennes. La crise de carburant que vie l’Egypte a aussi compliqué les choses. La Bande de Gaza a besoin de 600 litres de carburant/jour dira notre interlocuteur pour produire l’électricité nécessaire aux Gazaouis.
Le Hamas accuse les autorités égyptiennes de vouloir le contraindre à accepter que son approvisionnement en carburant transite désormais par le poste-frontière de Kerem Shalom, sous contrôle d'Israël.
Selon des sources officielles, Le Caire voudrait ainsi faire payer au Hamas le trafic d'essence subventionnée destinée aux Egyptiens auquel il se livrerait.
Ismaïl Haniyeh a exclu de faire transiter le carburant par Kerem Shalom car cela rendrait l'approvisionnement de Gaza plus cher et surtout plus vulnérable, puisque totalement à la merci d'Israël, qui impose un blocus à la bande de Gaza.
Autre problème pour le Hamas: alors qu'il impose une taxe sur le carburant importé depuis l'Egypte, ce sont ses rivaux de l'Autorité palestinienne qui récupèrent les taxes sur les biens importés depuis Israël.
Selon Haniyeh, l'Egypte demanderait au Hamas de payer un dollar par litre d'essence pour reprendre ses livraisons, ce qui rendrait le carburant fourni par l'Egypte plus cher que celui qui est importé illégalement par les tunnels.
L’Algérie a toujours eu des positions responsables et nous espérons que notre appel sera entendu.
echoroukonline.com
Ces déclarations sont basées sur le fait que les palestiniens connaissent les positions de l’Algérie ainsi que de ses responsables vis-à-vis de la question de Gaza, dira le responsable palestinien.
Al Masri dira que la position de l’Algérie sur la question de l’embargo sur Gaza avait aboutie à une promesse en 2007 de fournir du pétrole gratuitement à Gaza alors que le monde arabe vivait un débat sur la fourniture gratuite de pétrole pour Gaza.
Depuis les révolutions arabes et l’ouverture de la frontière avec l’Egypte, il est maintenant possible de concrétiser cela, dira Al Masi à Echorouk.
Le porte parole du gouvernement Haniyeh a déclaré que la situation à Gaza était tragique à la lumière de la non autorisation d’entrer de carburant imposée par les autorités israéliennes. La crise de carburant que vie l’Egypte a aussi compliqué les choses. La Bande de Gaza a besoin de 600 litres de carburant/jour dira notre interlocuteur pour produire l’électricité nécessaire aux Gazaouis.
Le Hamas accuse les autorités égyptiennes de vouloir le contraindre à accepter que son approvisionnement en carburant transite désormais par le poste-frontière de Kerem Shalom, sous contrôle d'Israël.
Selon des sources officielles, Le Caire voudrait ainsi faire payer au Hamas le trafic d'essence subventionnée destinée aux Egyptiens auquel il se livrerait.
Ismaïl Haniyeh a exclu de faire transiter le carburant par Kerem Shalom car cela rendrait l'approvisionnement de Gaza plus cher et surtout plus vulnérable, puisque totalement à la merci d'Israël, qui impose un blocus à la bande de Gaza.
Autre problème pour le Hamas: alors qu'il impose une taxe sur le carburant importé depuis l'Egypte, ce sont ses rivaux de l'Autorité palestinienne qui récupèrent les taxes sur les biens importés depuis Israël.
Selon Haniyeh, l'Egypte demanderait au Hamas de payer un dollar par litre d'essence pour reprendre ses livraisons, ce qui rendrait le carburant fourni par l'Egypte plus cher que celui qui est importé illégalement par les tunnels.
L’Algérie a toujours eu des positions responsables et nous espérons que notre appel sera entendu.
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