Je ne ressens rien
Je suis Ko, groggy, anesthésié,
Affalé le visage par terre
Pris dans les tourments de la vérité
Et je ne ressens rien
Je ne fais rien
Je vois mon sang couler
Je sens, non je devine
Une blessure béante sur le flan
La réalité s'estompe devant mes yeux
Je me laisse mourir
Et je ne fais rien.
Je ne dis rien
Les paroles sont vides de sens
Les mots m'échappent
La vie n'est elle pas un non sens
Un mirage, dans un désert numidien
Berceau de sables mouvants
De fées volages
Et de diablesses envoûtantes..
J’ai mal
Et je ne dis rien
Ce n’est pas bien
Je suis mort
Atteint dans mon amour propre
Pris au dépourvu
Assassiner par ma vertu
Pire qu'un innocent qu'on tue
Sur l'autel maculé du sang des apôtres
C’est fini
Et ce n'est pas bien.
J’ouvre enfin les yeux
Je me sens apaisé
Léger comme la brise une nuit d'été
Je suis libre,
Oui je suis libre d'aimer
Enfin, le hale incertain de son souvenir radieux
Je le dis enfin
Oui je le dis
Je le vaux bien.
Oui
Sans hésité
Je le vaux bien.
Oui je le vaux bien.
Je suis Ko, groggy, anesthésié,
Affalé le visage par terre
Pris dans les tourments de la vérité
Et je ne ressens rien
Je ne fais rien
Je vois mon sang couler
Je sens, non je devine
Une blessure béante sur le flan
La réalité s'estompe devant mes yeux
Je me laisse mourir
Et je ne fais rien.
Je ne dis rien
Les paroles sont vides de sens
Les mots m'échappent
La vie n'est elle pas un non sens
Un mirage, dans un désert numidien
Berceau de sables mouvants
De fées volages
Et de diablesses envoûtantes..
J’ai mal
Et je ne dis rien
Ce n’est pas bien
Je suis mort
Atteint dans mon amour propre
Pris au dépourvu
Assassiner par ma vertu
Pire qu'un innocent qu'on tue
Sur l'autel maculé du sang des apôtres
C’est fini
Et ce n'est pas bien.
J’ouvre enfin les yeux
Je me sens apaisé
Léger comme la brise une nuit d'été
Je suis libre,
Oui je suis libre d'aimer
Enfin, le hale incertain de son souvenir radieux
Je le dis enfin
Oui je le dis
Je le vaux bien.
Oui
Sans hésité
Je le vaux bien.
Oui je le vaux bien.
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