Les prix des fruits et légumes ne cessent de flamber
La pomme de terre a franchi les 100 DA
La hausse des prix de certains produits alimentaires tels que les légumes et les fruits, notamment la pomme de terre qui a atteint les 110 dinars, continue de se faire sentir par les consommateurs.
Les prix des légumes et des fruits ont connu, ces jours-ci, une augmentation vertigineuse, ce qui a suscité plusieurs points d’interrogation chez les citoyens. Ces derniers n’arrivent pas à comprendre les raisons de cette flambée des prix, notamment pour la pomme de terre qui n’a pas baissé depuis plusieurs jours. Une virée au marché communément appelé “Marché12” au quartier de Belcourt à Alger, permet de constater le désarroi des clients qui n’arrivent pas à effectuer leurs achats, à cause de cette flambée des produits de première nécessité et de large consommation, à savoir la pomme de terre dont le prix varie entre 90 et 110 dinars le kg, la tomate, elle, est proposée à 80 dinars, les petits pois sont cédés à 150 DA, l’aubergine à 100 DA et la courgette à pas moins de 120 DA. Les vendeurs rencontrés au marché estiment que cette flambée est le résultat des dernières intempéries qu’a connu le pays pendant presque un mois. “Il est difficile d’accéder aux champs après les dernières intempéries “, dira l’un des vendeurs. Un autre ajoute que les prix élevés concernent les légumes hors saison et les fruits importés. Pour les citoyens, la spéculation exercée par les commerçants est la seule explication de cette hausse des prix. “Cette flambée est due au manque de contrôle. Les autorités ne font rien pour mettre fin à cette spéculation”, s’est indigné un citoyen. Estimant que la régulation du marché doit passer par un contrôle rigoureux et par l’implication des détaillants, lesquels, souvent, essayent par tous les moyens de s’enrichir vite sur le dos du consommateur. De son côté, le ministère du Commerce a tenu à rassurer les citoyens sur la prise en charge de cette flambée des prix dans les plus brefs délais. Entre les explications des vendeurs et les promesses des autorités, le citoyen algérien reste la seule victime, notamment les pauvres ménages qui n’arrivent pas à boucler leurs fins de mois à cause de la cherté de la vie. “J’ai supprimé beaucoup de légumes de ma liste d’achats”, a affirmé une mère de famille. Un retraité ajoute : “Je ne comprends pas à quoi ça sert d’augmenter les salaires d’un côté, si de l’autre côté, on laisse les prix flamber ”, s’est-il interrogé.
La pomme de terre a franchi les 100 DA
La hausse des prix de certains produits alimentaires tels que les légumes et les fruits, notamment la pomme de terre qui a atteint les 110 dinars, continue de se faire sentir par les consommateurs.
Les prix des légumes et des fruits ont connu, ces jours-ci, une augmentation vertigineuse, ce qui a suscité plusieurs points d’interrogation chez les citoyens. Ces derniers n’arrivent pas à comprendre les raisons de cette flambée des prix, notamment pour la pomme de terre qui n’a pas baissé depuis plusieurs jours. Une virée au marché communément appelé “Marché12” au quartier de Belcourt à Alger, permet de constater le désarroi des clients qui n’arrivent pas à effectuer leurs achats, à cause de cette flambée des produits de première nécessité et de large consommation, à savoir la pomme de terre dont le prix varie entre 90 et 110 dinars le kg, la tomate, elle, est proposée à 80 dinars, les petits pois sont cédés à 150 DA, l’aubergine à 100 DA et la courgette à pas moins de 120 DA. Les vendeurs rencontrés au marché estiment que cette flambée est le résultat des dernières intempéries qu’a connu le pays pendant presque un mois. “Il est difficile d’accéder aux champs après les dernières intempéries “, dira l’un des vendeurs. Un autre ajoute que les prix élevés concernent les légumes hors saison et les fruits importés. Pour les citoyens, la spéculation exercée par les commerçants est la seule explication de cette hausse des prix. “Cette flambée est due au manque de contrôle. Les autorités ne font rien pour mettre fin à cette spéculation”, s’est indigné un citoyen. Estimant que la régulation du marché doit passer par un contrôle rigoureux et par l’implication des détaillants, lesquels, souvent, essayent par tous les moyens de s’enrichir vite sur le dos du consommateur. De son côté, le ministère du Commerce a tenu à rassurer les citoyens sur la prise en charge de cette flambée des prix dans les plus brefs délais. Entre les explications des vendeurs et les promesses des autorités, le citoyen algérien reste la seule victime, notamment les pauvres ménages qui n’arrivent pas à boucler leurs fins de mois à cause de la cherté de la vie. “J’ai supprimé beaucoup de légumes de ma liste d’achats”, a affirmé une mère de famille. Un retraité ajoute : “Je ne comprends pas à quoi ça sert d’augmenter les salaires d’un côté, si de l’autre côté, on laisse les prix flamber ”, s’est-il interrogé.
S. Saïdj
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