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Algérie/France : Quand Israël soutenait l’OAS

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    Algérie/France : Quand Israël soutenait l’OAS


    18/03/2012




    IRIB-Une phase de cette période historique reste méconnue de la majorité des Algériens alors que la question du départ des pieds-noirs après l’Indépendance continue de faire débat.

    L’ancien Chef du gouvernement, porte-parole des négociateurs des accords d’Évian, est revenu, dans un entretien à l’APS, sur l’implication d’Israël dans les activités criminelles de l’OAS. Il est revenu, en effet, sur cette révélation qu’il avait déjà faite dans son livre sur les accords d’Évian, précisant que des éléments terroristes israéliens de l’Irgoun de Menahem Begin se sont introduits en Algérie pour participer aux attaques terroristes perpétrées par l’OAS.

    “Ces éléments s’étaient introduits sur le sol algérien pour contribuer à imposer la solution voulue par l’OAS (ndlr: Organisation armée secrète française)à la question algérienne”, a-t-il déclaré. En plus de faire capoter les accords d’Évian, l’autre but de la présence d’éléments israéliens est, a-t-il révélé, de créer un État pour la minorité européenne au nord du pays.

    “En 1960, c’était David Ben Gourion qui avait demandé, lors de sa visite à Paris, à de Gaulle de créer un État pour la minorité européenne au nord de l’Algérie”, a-t-il précisé.

    Et, contrairement à l’effet escompté, les attentats de l’OAS ont réussi à précipiter le départ des pieds-noirs “au moment où l’attitude israélienne avait, aussi, dissuadé la minorité juive d’épouser les thèses indépendantistes du FLN, malgré l’engagement de quelques juifs algériens dans le combat pour la liberté”, a-t-il indiqué. D’ailleurs, même de Gaulle a demandé à Israël de cesser ces agissements. “C’était Charles de Gaulle qui avait envoyé un émissaire en Israël pour exiger de Begin d’arrêter d’envoyer ces éléments en Algérie”, a-t-il révélé.

    Une phase de cette période historique qui reste méconnue de la majorité des Algériens, alors que la question du départ des pieds-noirs après l’Indépendance continue de faire débat.

    Le porte-parole de la délégation algérienne à Évian est revenu également sur les négociations elles-mêmes en insistant sur les principes non négociables mis en avant, à savoir l’intégrité du territoire de l’Algérie, l’unité du peuple et l’indépendance totale. D’où la difficulté des négociations. Surtout que la France voulait garder une partie du pays, le Sud, après la découverte du pétrole en 1956, ainsi que des bases militaires. Ces principes s’appuient, selon Réda Malek, sur la déclaration du 1er Novembre. L’action du GPRA était, a-t-il souligné, nette, claire et précise. La délégation était intransigeante sur la question de l’intégrité du territoire.

    “Tout au long de ces négociations, la partie française cherchait à faire admettre au Front de libération nationale (FLN) qu'en Algérie, il existait une mosaïque bigarrée de populations, dont faisait partie la minorité d'origine européenne”, a-t-il affirmé.

    Ce qui a motivé, selon lui, la délégation algérienne au cours des négociations de Lugrin et son entêtement à inscrire la question du Sahara algérien au menu du dernier round des négociations. Mais la position de la délégation algérienne est restée flexible sur certaines questions.

    Il s’agit du délai de trois ans accordé pour la minorité européenne pour choisir entre la nationalité algérienne et la nationalité française, alors que du côté français, on cherchait un statut particulier pour cette communauté. Il en est de même pour la base de Mers-El-Kébir.

    Les Français voulaient une enclave de souveraineté française sur le sol algérien, ce qui était contraire aux principes du GPRA. “Nous avons refusé”, dit-il, parce que “le GPRA était contre des bases militaires étrangères sur le sol algérien”. Les deux parties sont arrivées à un accord sur la présence française pendant 15 ans à Mers-El-Kébir.

    Alterinfo

  • #2
    Extrait de Israël au secours de l’Algérie françaisede Roland Lombardi aux Editions Prolégomènes,
    « C’est dans un quotidien israélien qu’à 78 ans, l’ancien agent Avraham Barzilai a décidé de parler de son passé d’agent du Mossad, en Algérie. Notamment à Constantine où, à l’âge de 29 ans, il avait été envoyé par les services secrets israéliens, en compagnie de son épouse et sous la couverture d’un emploi de modeste enseignant d’hébreu, afin de monter des cellules opérationnelles pour faire la guerre à l’ALN.


    L’ancien agent Barzilai et son responsable direct, Shlomo Havilio, en poste en 1956 à Paris, révèlent dans les détails une opération des services du Mossad qui ont entraîné et armé des cellules composées de jeunes juifs de Constantine pour faire la guerre aux terroristes.


    Les deux agents, qui avaient déjà servi dans l’unité 131 des services de renseignements de l’armée israélienne en Egypte, avaient déjà organisé des cellules similaires pour déstabiliser le gouvernement de Nasser en armant des juifs égyptiens, et monté une opération qui rata, plus connue sous le nom de code
    de « la sale affaire ».

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    • #3
      Ces s... ont du sang sur les mains depuis 56 même avant d'ailleurs depuis le décret crémieux, c'est incontestable avec entre autre la chasse à l'homme Mai 56 Constantine.

      Et bien sur sans oublié les opérations "gerboise", essais nucléaires dans le Sahara ou les juifs étaient présent aux cotés des français début 60 jusqu’à mi 61.
      Qui fait jusqu'à aujourd’hui des ravages sur les populations et leurs progénitures.

      C'est grâce a ces essais fait en Algérie et sur des cobayes, que la France a offert l'arme atomique à la colonie d'Israël.

      Jamais ma famille comme tous les autres victimes ces ordures.

      Toutes les familles, Guedj, Macias et toute la clique, même Stora méritent la pendaison illico.

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      • #4
        wouhou
        Toutes les familles, Guedj, Macias et toute la clique, même Stora méritent la pendaison illico.
        C'est ce qu'on appelle un message haineux. J'interpelles les modérateurs
        "L' Algérie c'est le seul pays, où quand les gens me tendaient la main c'était pour m'offir quelque chose alors que dans les autres pays c'était pour m' en demander " Yann Arthus Bertrand

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