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Benchicou Est Libre !!!!!!!

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  • Benchicou Est Libre !!!!!!!

    Comité Benchicou pour les Libertés
    Après 730 jours d’enfermement dans une cellule à la prison d’EI Harrach, où il a purgé la totalité de sa peine, le journaliste Mohamed Benchicou, directeur du quotidien Le Matin, recouvrera sa liberté qu’on lui a injustement spoliée pour des motifs spécieux. Mohamed Benchicou se rendra, immédiatement après sa sortie de prison, à : 11h : à la place de la Liberté de la presse pour se recueillir à la mémoire des journalistes algériens, assassinés par les terroristes. 11h30 : devant l’ETUSA (rue Hassiba Ben Bouali), endroit où sont tombés deux journalistes, victimes du devoir lors de la marche citoyenne du 14 juin 2001. A partir de 12h30 : à la maison de la presse Tahar Djaout, où il remettra, en personne, le prix Benchicou de la plume libre aux deux lauréats le Marocain Ali Lmrabet et Bachir Laârabi

    Enfin libre !!!!!!! la liberté de la presse va t-elle enfin pouvoir être exercée par nos journalistes ?????
    Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

  • #2
    Bonjour zwina

    où as tu eu cette info ? J'avoue que je n'ai vu cette nouvelle dans auncun journal
    Cela a été annoncé quand ? C'est pas une blague j'espère ?
    Sur le site http://www.libererbenchicou.com rien est annoncé ...
    Dernière modification par sentenza, 14 juin 2006, 08h37.

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    • #3
      Non c'est officiel (à l'heure qu'il est, il doit se préparer ) A moins qu'une nouvelle inculpation de dernière minute annule sa sortie...... Journée de liesse en vue
      Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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      • #4
        Bonne nouvelle !

        Tu as le lien ?

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        • #5
          http://www.elwatan.com/2006-06-13/2006-06-13-44566
          Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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          • #6
            Merci Zwina, j'avais complètement loupé l'article, il faut dire que celui est très discret, alors que la libération de benchicou est un événement.

            Bon retour à Benchicou parmi les siens. Cela ne répare pas l'injustice commise par l'Etat, mais nous somme tous soulagé par la fin de cet emprisonnement honteux.

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            • #7
              C'est un évènement justement, Harrachi risque d'être réveillé par les youyous qui vont fuser lorsqu'il franchira la porte
              Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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              • #8
                C'est une bonne nouvelle

                Et je repense aux discussions que nous avons eut à son sujet .

                Allez .. belle journée tout le monde

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                • #9
                  Imposture

                  Benchicou : Une imposture médiatique et "litteraire".
                  Après l'elargissement des terroristes islamistes, voici venue l'heure des délinquants financiers en cols blancs.
                  Dernière modification par son2cloche, 14 juin 2006, 10h22.

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                  • #10
                    benchicou est il sorti de prison??

                    il me semble qu'il a terminé les deux ans...........est ce qu'il est sorti???
                    « Puis-je rendre ma vie
                    Semblable à une flûte de roseau
                    Simple et droite
                    Et toute remplie de musique »

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                    • #11
                      bonjour tamerlan,
                      zwina a apporte une reponse ds le topic :Benchicou est libre
                      ta3adadat el assbabo wal karhato wahidatton faman lam yakrah bi la routine kariha bi ssiwaha

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                      • #12
                        bonjour

                        Bonne nouvelle, je le savais pas

                        Commentaire


                        • #13
                          il est ENFIN libre

                          Il a passé deux années en prison
                          Benchicou libéré

                          J moins zéro, J moins rien, la boucle est-elle vraiment bouclée ? Deux années se sont écoulées à l’ombre de la société frénétique et toujours en course. A l’ombre du soleil algérois et des rayons de la presse. A l’ombre mais pas en marge de la vie.
                          Aujourd’hui, les portes de la prison d’El Harrach s’ouvriront sur l’homme qui a défrayé la chronique de la presse algérienne mais également étrangère : Mohamed Benchicou. A l’ombre du cachot mais à la lumière des projecteurs, le journaliste et ancien directeur du quotidien Le Matin se propose, dès sa sortie, de saluer Alger par un ricochet commémoratif à la place de la Liberté de la presse vers 11h. Cette même place qui a fait peau neuve depuis plus d’une année et s’offrira aujourd’hui pour accueillir Mohamed Benchicou mais également le comité qui porte son nom et la corporation des journalistes. Ce même comité Benchicou pour les libertés qui s’est formé lors de son incarcération informe qu’« après 730 jours d’enfermement dans une cellule à la prison d’El Harrach où il a purgé la totalité de sa peine, le journaliste Mohamed Benchicou, directeur du quotidien Le Matin, recouvrera sa liberté qu’on lui a injustement spoliée pour des motifs spécieux ». Il y a deux années tout juste, le journaliste et directeur du Matin passait devant le tribunal d’El Harrach suite aux poursuites intentées par le ministère des Finances pour « transfert illégal de capitaux et infraction à la réglementation des changes ». C’était le 15 juin 2004. Une année à peine après l’élection présidentielle qui a porté Abdelaziz Bouteflika vainqueur. Une année tout juste après la parution du livre satirique de M. Benchicou sur le chef d’Etat, intitulé Bouteflika, une imposture algérienne. Les uns supputeront que la condamnation du journaliste vise en réalité à le punir d’une telle liberté dans ses écrits sur le président de la République. Les autres s’attacheront à la lettre de la loi qui stipule qu’aucun transfert de capitaux ne peut être accompli de manière frauduleuse. Au lendemain de la condamnation du directeur du Matin, son avocat Khaled Bourayou déclare : « La justice est totalement instrumentalisée. On a tenu compte plus de la qualité de Benchicou, parce que c’est un journaliste d’abord. Il exprime des opinions et des idées. » C’était il y a deux ans. Aujourd’hui, « Mohamed Benchicou se rendra immédiatement après sa sortie de prison à 11 h à la place de la Liberté de la presse pour se recueillir à la mémoire des journalistes algériens assassinés par des terroristes. A 11h30 devant l’ETUSA (rue Hassiba Ben Bouali), endroit où sont tombés deux journalistes, victimes du devoir lors de la marche citoyenne du 14 juin 2001 et à partir de 12h30 à la maison de la presse Tahar Djaout où il remettra en personne le prix Benchicou de la plume libre aux deux lauréats, le Marocain Ali Lemrabet et Bachir Laârabi », poursuit le communiqué du comité. Un périple ou un pèlerinage au sanctuaire des martyrs. Hassiba Ben Bouali fut en son temps l’héroïne d’une liberté dont Tahar Djaout a, l’esprit combatif, ravivé la flamme. Autre temps, autre mœurs. Entre le Mondial du football et sous l’ère d’un nouveau gouvernement, Benchicou sort de prison. Au même moment, d’autres journalistes comparaissent devant le tribunal d’Alger pour diffamation. La boucle est-elle bouclée ?

                          Z. A. M.
                          Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                          • #14
                            Et les archs avaient aussi (hasard du calendrier) organisé une marche aujourd'hui même à Alger
                            Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                            • #15
                              Nous ne sommes pas seuls et nous sommes de plus en plus nombreux à vouloir le printemps. L’avenir nous appartient et appartient à nos enfants.
                              Mohamed Benchicou
                              J’apprécier bien cette phrase avec laquelle Benchicou fini son message paru dans LeSoird’Algérie
                              A croire qu’on se pose encore des questions sur la crédibilité de cet homme ou pas ! c’est pas les mots qui me séduisent mais entre nous algériens libres on se reconnaît c’est un flair ! et je le redis un pouvoir qui vit sous et sur l’injustice ne peut juger !
                              Le jour se lève ! Les cœurs reprennent le fardeau des siècles, aller vers la nature ou se consumé dans la pénombre de sa tanière ?

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