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Résumé
New Protests Test Saudi Monarchy's Control
La péninsule arabique n'a pas été épargnée par la vague de manifestations récentes dans les pays à travers le Moyen-Orient. Notamment , les protestations se poursuivent en Arabie saoudite chiite concentrée province de l'Est depuis plus d'un an. Récemment, cependant, les manifestations non liées a commencé dans certaines parties du pays où de tels troubles est rare, y compris un Mars 19 protestation par les étudiantes réclament des changements dans la réglementation universitaire et une amélioration de l'infrastructure et l'environnement scolaire au Collège des femmes de campus d'art dans l'Asir province et Qassim province.
Historiquement, la monarchie saoudienne a utilisé une série de tactiques et sophistiqués réseaux religieux et tribaux de l'influence pour arrêter - ou au moins maintenir le contrôle sur - les démonstrations relativement peu qui se sont développées en dehors de la région chiite majoritaire. Mais les nouveaux sunnite protestations sont principalement axées sur les jeunes et soutenu par des outils modernes tels que l'Internet - les facteurs qui pourraient éroder des méthodes fiables de la monarchie de la suppression de la dissidence et potentiellement conduire à une escalade sans précédent de manifestations.
Analyse
La manifestation qui a déclenché la récente série de manifestations en Arabie Saoudite a commencé Mars 7 à un campus tout féminin de l'Université King Khalid de l'Asir province. Des centaines d'étudiants auraient protesté contre la discrimination et de mauvaise gestion à l'université avant que les forces de sécurité ont dispersé la foule à coups de matraque, blessant des dizaines. L'incident aurait suscité des rassemblements similaires par les deux hommes et les femmes en solidarité avec les étudiants de l'Université du Roi Khalid - ainsi que de la demande pour de meilleures installations - dans plusieurs autres universités à travers l'Arabie saoudite, y compris à Riyad. Selon les médias sociaux et des rapports de presse, manifestations supplémentaires sont prévues pour les semaines à venir.
Les protestations sont interdites en Arabie Saoudite, ce qui rend les récents événements tout à fait anormale. Jusqu'à présent, les manifestations à l'extérieur Province de l'Est n'ont pas appelé à une réforme politique ou slogans exprimant concernées des griefs contre le gouvernement. Les manifestations pourraient cesser de gagner du terrain, ou se contenter de concessions mineures et meurent. Cependant, de petites manifestations pour les droits de l'homme conduisent souvent à de plus grandes demandes de changement politique.
Il existe plusieurs différences importantes entre les manifestations dans la province orientale et ceux dans d'autres parties du pays. Depuis Février 2011, de l'Est manifestants chiites ont exigé des réformes politiques, la libération des prisonniers politiques et la reconnaissance accrue des droits de l'homme. En revanche, les récentes manifestations en dehors de la province orientale sont sunnite et ont demandé principalement pour les bâtiments universitaires meilleurs. Les manifestants n'ont pas encore appelé à des réformes politiques, qui pourraient menacer le gouvernement saoudien.
Stratégies de suppression et de la stabilité
La famille royale saoudienne craignent qu'une faction réformiste naissant sera gagner du terrain en raison de la montée des islamistes politiques ailleurs dans le monde arabe . Ces préoccupations sont de plus en plus à un moment où les dirigeants saoudiens sont également confrontés à des défis à venir dans la succession de la famille royale . À ce stade, les manifestations ne posent pas une menace sérieuse pour la stabilité de la monarchie, et la famille royale ont encore un certain nombre de mécanismes bien établis pour contenir la dissidence.
La monarchie maintient un dispositif de sécurité serré, ce qui peut être rapidement dépêchés pour disperser des manifestations. Cependant, contrairement à d'autres régimes, les autorités saoudiennes éviter d'utiliser la force brutale contre les manifestants. Au lieu de cela, pour maintenir leur hégémonie et la stabilité sociale, les autorités saoudiennes d'isoler les instigateurs de la société en général (souvent à travers une série d'arrestations) et de chercher à user de leur influence enracinée parmi les réseaux saoudiens tribaux et religieux pour réprimer la dissidence publique avant qu'il ne s'étende.
Pour maintenir la population et les dirigeants locaux heureux, la monarchie fournit une combinaison de distributions d'espèces, les subventions et les avantages. Il a également marie régulièrement dans et développe des relations avec presque toutes les tribus et la province. Et il cultive des degrés divers d'influence dans oulémas du pays, ou des réseaux religieux, en inspirant la peur de la condamnation religieuse et les arrestations dans les deux leaders religieux et la population en général. Ce lien entre le leadership local et religieux et de la famille al-Saoud fournit des réseaux monarchie qui peuvent être maniés à exercer une influence auprès d'un large éventail de citoyens saoudiens. Les réseaux ont également aider à perpétuer une norme parmi les Saoudiens que la dissidence publique, en particulier les protestations, est une tactique tabou de l'Ouest et est fondamentalement anti-islamique.
Des changements culturels et défis
Il est important de surveiller les signes de l'érosion de cette norme, qui est une possibilité en considérant que les manifestations ont eu lieu principalement entre l'Arabie jeunes, qui pourraient ne pas être sous l'influence des hiérarchies de tribus et familles saoudiennes. En outre, les jeunes ont accès à des outils qui n'existaient pas auparavant, tels que l'Internet, qui est utilisé par certains pour discuter de la situation actuelle et de continuer à explorer des idées, même lorsque des manifestations sont fermés. La diversité de fréquence et de plus en plus géographique des manifestations suggère la monarchie ne peut pas s'appuyer sur des normes saoudiennes et des réseaux de pacifier la dissidence.
Si les manifestations de renforcer et devenir plus politique, les autorités pourraient décider que les tactiques de suppression fortes, semblables à celles employées pour gérer les troubles qui couve dans la province orientale, sont nécessaires. En effet, des tactiques telles que les arrestations, une présence plus lourd de la sécurité, l'utilisation de balles en caoutchouc et des gaz lacrymogènes et de contrôle des clercs à travers les réseaux oulémas ont largement permis aux autorités de contenir les manifestations et les empêcher de porter atteinte à la gouvernance et l'économie dans la province orientale. Si les nouvelles manifestations dégénèrent, la façon dont les manifestants de répondre à la tactique du gouvernement - et si l'esprit de protestation supporter - sera de plus en plus important d'observer.
| Stratfor
New Protests Test Saudi Monarchy's Control
La péninsule arabique n'a pas été épargnée par la vague de manifestations récentes dans les pays à travers le Moyen-Orient. Notamment , les protestations se poursuivent en Arabie saoudite chiite concentrée province de l'Est depuis plus d'un an. Récemment, cependant, les manifestations non liées a commencé dans certaines parties du pays où de tels troubles est rare, y compris un Mars 19 protestation par les étudiantes réclament des changements dans la réglementation universitaire et une amélioration de l'infrastructure et l'environnement scolaire au Collège des femmes de campus d'art dans l'Asir province et Qassim province.
Historiquement, la monarchie saoudienne a utilisé une série de tactiques et sophistiqués réseaux religieux et tribaux de l'influence pour arrêter - ou au moins maintenir le contrôle sur - les démonstrations relativement peu qui se sont développées en dehors de la région chiite majoritaire. Mais les nouveaux sunnite protestations sont principalement axées sur les jeunes et soutenu par des outils modernes tels que l'Internet - les facteurs qui pourraient éroder des méthodes fiables de la monarchie de la suppression de la dissidence et potentiellement conduire à une escalade sans précédent de manifestations.
Analyse
La manifestation qui a déclenché la récente série de manifestations en Arabie Saoudite a commencé Mars 7 à un campus tout féminin de l'Université King Khalid de l'Asir province. Des centaines d'étudiants auraient protesté contre la discrimination et de mauvaise gestion à l'université avant que les forces de sécurité ont dispersé la foule à coups de matraque, blessant des dizaines. L'incident aurait suscité des rassemblements similaires par les deux hommes et les femmes en solidarité avec les étudiants de l'Université du Roi Khalid - ainsi que de la demande pour de meilleures installations - dans plusieurs autres universités à travers l'Arabie saoudite, y compris à Riyad. Selon les médias sociaux et des rapports de presse, manifestations supplémentaires sont prévues pour les semaines à venir.
Les protestations sont interdites en Arabie Saoudite, ce qui rend les récents événements tout à fait anormale. Jusqu'à présent, les manifestations à l'extérieur Province de l'Est n'ont pas appelé à une réforme politique ou slogans exprimant concernées des griefs contre le gouvernement. Les manifestations pourraient cesser de gagner du terrain, ou se contenter de concessions mineures et meurent. Cependant, de petites manifestations pour les droits de l'homme conduisent souvent à de plus grandes demandes de changement politique.
Il existe plusieurs différences importantes entre les manifestations dans la province orientale et ceux dans d'autres parties du pays. Depuis Février 2011, de l'Est manifestants chiites ont exigé des réformes politiques, la libération des prisonniers politiques et la reconnaissance accrue des droits de l'homme. En revanche, les récentes manifestations en dehors de la province orientale sont sunnite et ont demandé principalement pour les bâtiments universitaires meilleurs. Les manifestants n'ont pas encore appelé à des réformes politiques, qui pourraient menacer le gouvernement saoudien.
Stratégies de suppression et de la stabilité
La famille royale saoudienne craignent qu'une faction réformiste naissant sera gagner du terrain en raison de la montée des islamistes politiques ailleurs dans le monde arabe . Ces préoccupations sont de plus en plus à un moment où les dirigeants saoudiens sont également confrontés à des défis à venir dans la succession de la famille royale . À ce stade, les manifestations ne posent pas une menace sérieuse pour la stabilité de la monarchie, et la famille royale ont encore un certain nombre de mécanismes bien établis pour contenir la dissidence.
La monarchie maintient un dispositif de sécurité serré, ce qui peut être rapidement dépêchés pour disperser des manifestations. Cependant, contrairement à d'autres régimes, les autorités saoudiennes éviter d'utiliser la force brutale contre les manifestants. Au lieu de cela, pour maintenir leur hégémonie et la stabilité sociale, les autorités saoudiennes d'isoler les instigateurs de la société en général (souvent à travers une série d'arrestations) et de chercher à user de leur influence enracinée parmi les réseaux saoudiens tribaux et religieux pour réprimer la dissidence publique avant qu'il ne s'étende.
Pour maintenir la population et les dirigeants locaux heureux, la monarchie fournit une combinaison de distributions d'espèces, les subventions et les avantages. Il a également marie régulièrement dans et développe des relations avec presque toutes les tribus et la province. Et il cultive des degrés divers d'influence dans oulémas du pays, ou des réseaux religieux, en inspirant la peur de la condamnation religieuse et les arrestations dans les deux leaders religieux et la population en général. Ce lien entre le leadership local et religieux et de la famille al-Saoud fournit des réseaux monarchie qui peuvent être maniés à exercer une influence auprès d'un large éventail de citoyens saoudiens. Les réseaux ont également aider à perpétuer une norme parmi les Saoudiens que la dissidence publique, en particulier les protestations, est une tactique tabou de l'Ouest et est fondamentalement anti-islamique.
Des changements culturels et défis
Il est important de surveiller les signes de l'érosion de cette norme, qui est une possibilité en considérant que les manifestations ont eu lieu principalement entre l'Arabie jeunes, qui pourraient ne pas être sous l'influence des hiérarchies de tribus et familles saoudiennes. En outre, les jeunes ont accès à des outils qui n'existaient pas auparavant, tels que l'Internet, qui est utilisé par certains pour discuter de la situation actuelle et de continuer à explorer des idées, même lorsque des manifestations sont fermés. La diversité de fréquence et de plus en plus géographique des manifestations suggère la monarchie ne peut pas s'appuyer sur des normes saoudiennes et des réseaux de pacifier la dissidence.
Si les manifestations de renforcer et devenir plus politique, les autorités pourraient décider que les tactiques de suppression fortes, semblables à celles employées pour gérer les troubles qui couve dans la province orientale, sont nécessaires. En effet, des tactiques telles que les arrestations, une présence plus lourd de la sécurité, l'utilisation de balles en caoutchouc et des gaz lacrymogènes et de contrôle des clercs à travers les réseaux oulémas ont largement permis aux autorités de contenir les manifestations et les empêcher de porter atteinte à la gouvernance et l'économie dans la province orientale. Si les nouvelles manifestations dégénèrent, la façon dont les manifestants de répondre à la tactique du gouvernement - et si l'esprit de protestation supporter - sera de plus en plus important d'observer.
| Stratfor