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Le journal britannique The Guardian a accusé le chef de l’Agence international de l’énergie atomique (AIEA) Youkia Amano de faire preuve d’une partialité exagérée en faveur l’Occident en ce qui concerne le dossier nucléaire iranien.
« Amano utilise avec exagération les informations de services d’intelligence non confirmées », lui a reproché le quotidien qui accuse le numéro de l’AIEA d’avoir écarté l’aile qui critique sa politique au sein de l’agence internationale. Le périodique reproche au dirigeant Sud-Coréen d’avoir aggravé la crise et la confrontation entre l’Occident et l’Iran depuis qu’il a accédé au pouvoir et d’être derrière l’escalade du langage qui menace de frappes militaires l’Iran s’il ne suspend pas son programme nucléaire.
Citant d’anciens responsables de l’agence, le journal a mis en garde contre les erreurs commises avec l’Irak, sur les armes de destruction massives. Pour se déculpabiliser de l’invasion de l’Irak, les dirigeants américains accusent certaines parties arabes dont irakiennes de les avoir trompés sur la soi-disant présence de ces armes, pour les pousser à évincer l’ancien dictateur irakien Saddam Hussein.
Pourtant, l'inspecteur de l’ONU chargé de ce dossier, Hans Blix, ne cessait de mettre en cause ces assertions, répétant qu’elles étaient erronées, sans jamais être entendu...
AL-Manar
« Amano utilise avec exagération les informations de services d’intelligence non confirmées », lui a reproché le quotidien qui accuse le numéro de l’AIEA d’avoir écarté l’aile qui critique sa politique au sein de l’agence internationale. Le périodique reproche au dirigeant Sud-Coréen d’avoir aggravé la crise et la confrontation entre l’Occident et l’Iran depuis qu’il a accédé au pouvoir et d’être derrière l’escalade du langage qui menace de frappes militaires l’Iran s’il ne suspend pas son programme nucléaire.
Citant d’anciens responsables de l’agence, le journal a mis en garde contre les erreurs commises avec l’Irak, sur les armes de destruction massives. Pour se déculpabiliser de l’invasion de l’Irak, les dirigeants américains accusent certaines parties arabes dont irakiennes de les avoir trompés sur la soi-disant présence de ces armes, pour les pousser à évincer l’ancien dictateur irakien Saddam Hussein.
Pourtant, l'inspecteur de l’ONU chargé de ce dossier, Hans Blix, ne cessait de mettre en cause ces assertions, répétant qu’elles étaient erronées, sans jamais être entendu...
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