Le tueur de Toulouse n'a pas toujours vécu seul dans son appartement de la rue du Sergent-Vigné, comme le révèle un rapport de police.
Mohamed Merah vivait-il vraiment seul au 17, rue du Sergent-Vigné ? Une main courante de la police toulousaine, citée par «Le Monde», révèle que le jeune homme n’était pas seul à son domicile lors d’une intervention en janvier 2011.
C’est pour une querelle de voisinage que la police toulousaine est appelée, le 9 janvier 2011. Les policiers se présentent au domicile de Mohamed Merah à cause d’invectives échangées avec un voisin pour un problème de stationnement.
Mais le jeune homme n’est pas la seule personne mise en cause par le plaignant ce jour-là. Celui-ci désigne en effet un deuxième individu, dont l’identité est relevée. Selon la main courante de la police, il s’agit d’un Français né en Algérie en 1973. Il demeure dans le même appartement de la rue du Sergent-Vigné que Mohamed Merah, laissant à penser le futur forcené partageait son logement, du moins à cette époque.
Selon «Le Monde», qui se réfère à des informations de la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI) et aux propos de Merah lors de l’assaut de son appartement, c’est durant cette période que le jeune homme s’est radicalisé.
Si le forcené vivait en effet en colocation à cette époque, l’hypothèse d’un homme isolé, n’appartenant à aucune filière, pourrait être remise en cause, conclut «Le Monde».
20 minutes.Ch
Mohamed Merah vivait-il vraiment seul au 17, rue du Sergent-Vigné ? Une main courante de la police toulousaine, citée par «Le Monde», révèle que le jeune homme n’était pas seul à son domicile lors d’une intervention en janvier 2011.
C’est pour une querelle de voisinage que la police toulousaine est appelée, le 9 janvier 2011. Les policiers se présentent au domicile de Mohamed Merah à cause d’invectives échangées avec un voisin pour un problème de stationnement.
Mais le jeune homme n’est pas la seule personne mise en cause par le plaignant ce jour-là. Celui-ci désigne en effet un deuxième individu, dont l’identité est relevée. Selon la main courante de la police, il s’agit d’un Français né en Algérie en 1973. Il demeure dans le même appartement de la rue du Sergent-Vigné que Mohamed Merah, laissant à penser le futur forcené partageait son logement, du moins à cette époque.
Selon «Le Monde», qui se réfère à des informations de la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI) et aux propos de Merah lors de l’assaut de son appartement, c’est durant cette période que le jeune homme s’est radicalisé.
Si le forcené vivait en effet en colocation à cette époque, l’hypothèse d’un homme isolé, n’appartenant à aucune filière, pourrait être remise en cause, conclut «Le Monde».
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