dans la folie que la raison fut perdue
mon coeur aussi de froid ardu
d'un temps lacérant
hors de ma nuit, où la démence gangrène
laps oiseux où l’invocation demeure vaine
j’affermis le carcan
je pleure dans l’anonymat
sous la démence et son amas
silence à l’aurore
d’une mort.
mon coeur aussi de froid ardu
d'un temps lacérant
hors de ma nuit, où la démence gangrène
laps oiseux où l’invocation demeure vaine
j’affermis le carcan
je pleure dans l’anonymat
sous la démence et son amas
silence à l’aurore
d’une mort.
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