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Hier , au plus haut sommet de l'état, pendant que vous( nous) dormiez

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  • Hier , au plus haut sommet de l'état, pendant que vous( nous) dormiez

    Hier, au plus haut sommet de l'Etat, pendant que vous dormiez

    Au lecteur étranger, il faut expliquer le mot T'bahdila. Traduction première : scandale. Mais il faut y ajouter le sens de déchéance, de honte, de cupidité et de bassesse. C'est ce qui se passe chez le FLN distributeur de postes, pendant son huis clos pour les listes finales. Là, c'est la nature hideuse et nue, celle qui a des dents et des acides chargés de décomposer les aliments. Là, dans ce fameux hôtel algérois qui ressemble à une sorte de congrès alimentaire de la Soummam, l'un des chefs de l'une des plus hautes institutions du pays en est venu à rouer de coups un autre ministre, patron de l'un des secteurs stratégiques de la vie des nations. Et pas seulement : on ne vous parlera pas des insultes, des délations, des accusations et des noms de femmes, maîtresses et jeunes filles citées. Tout y est passé car quelques ministres et quelques notables se sentent trahis, exclus et ne veulent pas quitter les têtes de listes. Car c'est leur droit de cuissage habituel, leur dime sur la peau de la nuque du peuple. Du coup, dans cet hôtel qui partage un morceau du futur parlement et un morceau du pays, ce fut la T'bahdila. Sauf que voir des ministres et des hommes d'Etat se déchirer les vestes et se cracher dessus, réellement, pour un positionnement dans une liste alimentaire n'est pas propre à ce seul moment politique. C'en est devenu un usage. Un confrère a raconté comment deux ministres, dont l'un de l'Ouest, en sont venus aux mains, dans le second avion qui suivait celui de Bouteflika lors de sa dernière visite à Oran. La raison ? L'un occupait le siège de l'autre. Et il fallu un stewart pour les séparer.

    C'est donc du cru et du nu et de profond : Heibete E'dawal, la Dignité de l'Etat, on la demande au peuple, plus aux siens. Là, il n'y a pas de ministres, ni de titres, ni de dignité mais seulement la bousculade, la guerre des salives. Quelque chose de profond, d'abyssal et de noir qui est le psychisme de toute une nation désormais : l'indignité de la préhistoire, de la famine et de la perte du nez et de l'humanité en soi. Ce sont ces gens-là qui se crêpent les chignons devant tout le monde, qui vous ont gouverné, qui ont reçu les étrangers à votre place, qui passent dans votre télé, qui vous gouvernent et vous demandent de ne pas couper la route, de mieux vous comporter et de ne pas brûler les pneus, et qui sont dans cet hôtel. Il fallait voir, bon Dieu, ces hommes d'Etat, ce soir-là ! Tout Alger en parle d'ailleurs de ce moment 62 qui rappelle la guerre de l'été de cette année, la course aux biens vacants.

    C'est que tout le reste est une comédie, une mise en scène destinée aux apparences, aux anciens colonisateurs : au fond, rien ne change : on est dans un congrès de la Soummam chaque dix ans, un premier novembre chaque 50 ans, un assassinat de Messali chaque vingt ans et une guerre des wilayas chaque élection. Les seigneurs féodaux ne comprennent pas qu'on les ai poussés vers la poubelles après trois mandats de bon services et de loyautés visqueuses. Du coup, certains tentent une dernière dignité : annoncer eux-mêmes leur retrait des candidatures, avant que le peuple ne sache qu'ils ont été simplement chassés. Quant aux autres, et bien, la bousculade continue : avec les poings, les mains, les dents, les insultes. C'est la fin d'un Etat quand ses seigneurs se comportent avec si peu de dignité et d'honneur. Conciergeries ? Que non : les concierges algériens, eux, ont eu la dignité d'aller protester en ordre devant le ministère de l'Habitat, cette semaine, pour réclamer leurs droits.


    par Kamel Daoud




    Le Quotidien d'Oran

    " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

  • #2
    on veut des noms LOL

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    • #3
      Quelle c°°°°°-molle ce Daoued. Écrire un article moralisateur sur la probité et l'éthique et ne pas avoir le courage de dévoiler une "vérité" (si s'en est une) dans son intégralité ! De qui s'agit-il ? Que s'est-il passé ?

      Commentaire


      • #4
        ne pas avoir le courage de dévoiler une "vérité
        Kamel Daoud=Kamel Qawed!!!
        Les algeriens ,il vaut mieux etre avec eux que contre eux. Lucky Luciano

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        • #5
          Dévoiler de noms sans preuve pour un journaliste c'est de la diffamation passible de prison.

          Ca reste un bon article de Kamel Daoud qui décrits ces opportunistes dans leurs etats bestiales devant le mangeaoire. On peut deviner plus au moins qui sont-ils, ils sont tellement nombreux qu'il aura du mal a tous les citer dans un seul journal.

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          • #6
            Nos citoyens doivent savoir que pour chaque promotion ou nouveau gout il ya un prix à payer !

            ICI LES EFFETS SECONDAIRES DE CERTAINS PRODUITS - FACILE A SE PROCURER POUR LES GENS AISés.

            http://www.euhommes.com/dysfonction_erectile.php


            Comment les pilules fonctionnent-elles pour le traitement de la dysfonction érectile? Est-ce qu’il y a de l’accoutumance quand on prend les pilules contre la dysfonction érectile? Ne pas développer la dépendance aux pilules de l'érection? Quels sont les effets secondaires et contre-indications? Quelles sont les interactions médicamenteuses les plus connues?
            Donc, la pilule contre la dysfonction érectile est une première thérapie par laquelle il faut commencer pour soigner les toutes formes de DE. Aujourd’hui le Viagra, le Cialis et le Levitra sont les médicaments en forme de comprimés disponibles dans tout le monde qui sont vraiment très efficaces dans le traitement de la dysfonction érectile. Généralement l’efficacité de toutes les autres pilules qui apparaissent dans les publicités est souvent inventée (et l’efficacité n'est pas toujours prouvée) par leurs fabricants et ne diffère pas d’ “amusette”. Tous ces “impazy”, ces “patins dorés” nationals, les “veromaksy”, les “superyohimbeekstrakty” de l’étranger et beaucoup d'autres tisanes ne représentent qu'un moyen de gagner de l'argent et sont orientés à la population confiante à la publicité primitive.
            Les produits de ce groupe agissent sélectivement dans les tissus vasculaires du pénis et sont pratiquement inoffensifs. Ils ne causent pas d’effets négatifs persistants pendant la prise régulière et à long terme. L’accoutumance à des pilules contre la dysfonction érectile ne se développe pas. Sauf la dépendance purement psychologique. Une fois vous allez essayer une pilule contre la dysfonction érectile et vous allez sentir que la qualité est la meilleure, vous sentirez la sensualité que vous avez perdu avant, et vous ne voudrez plus lâcher le Viagra, le Cialis ou le Levitra. Quand une fois vous allez vous retrouver devant le volant d’une voiture de grande marque de meilleure qualité, vous ne voudrez plus reprendre le volant de la voiture Zhigulj. C’est la même situation avec les produits pour le traitement de la dysfunction érectile!
            Les principaux effets secondaires du Viagra, du Cialis, du Levitra et leur fréquence sont résumées au tableau №1.
            Tableau №1. La fréquence (%) d’effets secondaires en certaines dosages (mg) de pililes contre la dysfunction érectile.
            Effets secondaires
            Viagra (100 mg)
            Levitra (20 mg)
            Cialis (20 mg)
            Mal à la tête
            19
            15
            11
            Coup de sang au visage
            19
            11
            5
            Congestion nasale (rhinite)
            5
            7
            5
            Nausées et indigestion (dyspepsie)
            6
            7
            17
            Douleur de rein
            . .
            9
            Troubles de la vision (perception des couleurs)
            3
            . .
            La fréquence d'effets secondaires dépend de dosage et de sensibilité individuelle. Cela dépend aussi de la prise de la nourriture avant la prise d’une pilule pour une érection bien forte. Quand vous avez bien mangé la fréquence d’effets secondaires, ainsi que l'efficacité des médicaments est plus basse.
            L’intolérance (allergie) et la prise simultanée de nitrates organiques (Nitroglycérine, Sustak, Nitrong, Nitrosorbid, Erhinite, et d’autres) sont les contre-indications principales des pilules pour le traitement de la dysfonction érectile. La prise simultanée de nitrates organiques avec les pilules contre la dysfonction érectile peut amener à la baisse de la pression artérielle fatale.

            un autre produit avec des effets secondaire tres alarmants

            HÉROÏNE
            &
            AUTRES DÉRIVÉS NARCOTIQUES (codéine)

            Propriétés: Dépresseur du système nerveux central

            Noms de rue: smack, cheval, héro, schnouff, poudre blanche, came

            description - effets à court terme - effets à long terme tolérance,dépendance,sevrage - grossesse - surdosage
            autres dérivés narcotiques



            Description
            L'héroïne est un dérivé semi-synthétique de l'opium. C'est une fine poudre soluble, de couleur blanche (la " chinoise "), brunâtre (" brown sugar "), ou noire, abondamment diluée ou coupée avec divers produits: lactose, strychnine (alcaloïde toxique), amidon, bicarbonate de soude, quinine.

            Ces produits sont à l’origine de multiples complications toxiques ou infectieuses. L’héroïne vendue dans la rue est parfois très faiblement dosée: de 5 à 10 %, parfois moins. Elle est vendue en petits sachets d'un point (1/10 de gramme) à raison de 40 à 50 $ le point.

            Modes de consommation
            L'héroïne est humée ou injectée. Les nouveaux consommateurs reniflent habituellement cette drogue mais comme l'effet n'est pas très rapide, certains finiront par l'injecter dans les muscles ou dans les veines. Elle est parfois fumée mélangée à du haschich.



            Effets à court terme



            L'héroïne stimule brièvement les centres supérieurs du cerveau puis ralentit l'activité du système nerveux central procurant une sensation de détente et de déconnexion d’avec la réalité (" piquer du nez " est une attitude caractéristique du consommateur d’héroïne).



            Après l’injection, l’utilisateur a un sentiment de bien-être intense, une impression de chaleur, de relaxation et de désinhibition.



            Le produit réduit la douleur et retarde l'éjaculation.



            Si la drogue est absorbée par voie orale, les effets se font sentir de façon plus graduelle.

            Effets secondaires



            Une dose peut provoquer de l'agitation, des nausées et des vomissements.



            À dose modérément forte, le corps devient plus chaud, les extrémités sont lourdes et la bouche est sèche. Puis l'usager passe par des états de somnolence et d'éveil durant lesquels le monde n'existe plus.



            À très fortes doses, l'usager reste dans un état de torpeur permanent, ses pupilles sont contractées en "tête d'épingle", la peau est froide, moite et bleuâtre; il y a risque de dépression respiratoire pouvant aboutir à la mort. Les effets d'une dose normale durent de trois à six heures.

            Effets à long terme

            Les effets à long terme se manifestent après un usage répété et prolongé.



            Les usagers peuvent souffrir d'endocardite, infections de la membrane interne et des valves du coeur par des organismes introduits dans le corps lors d'une injection de drogue sans stérilisation.



            L'injection par voie intraveineuse est une cause importante de la transmission d'infections virales( VHC, VIH-sida, etc.).



            Il y a aussi des complications pulmonaires, troubles de l’humeur, troubles intestinaux et sexuels, abcès et surtout risque de surdosage.



            Tolérance - Dépendance - Sevrage

            Sauf pour le consommateur occasionnel qui évite ainsi la dépendance physique, l'héroïne entraîne:



            une dépendance psychologique et physique très forte;



            elle crée de l'accoutumance et nécessite une augmentation des doses pour obtenir les mêmes effets et éviter les symptômes de sevrage.



            Parmi ces derniers, qui peuvent se manifester quatre ou cinq heures après la dernière dose jusqu'à sept à dix jours - avec une réaction plus intense entre 48 et 72 heures - on retrouve des larmes, spasmes musculaires, anxiété, grelottement, hypertension diarrhée, irritabilité, frisson et insomnie.



            L'arrêt brutal de la drogue peut provoquer la mort d'usagers extrêmement dépendants ou en mauvaise santé. Toutefois, le sevrage est beaucoup moins dangereux que celui de l'alcool et des barbituriques (amytal, tuinal, séconal, etc.)



            Surdosage

            Une surdose d'héroïne crée:



            des problèmes de coordination,



            une perte de conscience,



            une dépression respiratoire,



            des troubles cardiaques,



            le coma et elle peut aller jusqu'à la mort.



            Grossesse

            Chez les femmes dépendantes, des complications peuvent survenir lors de la grossesse et de l'accouchement, notamment:



            L'anémie, diabète, maladies cardiaques, pneumonie et l'hépatite.



            Ces femmes ont aussi un taux anormalement élevé d'avortements spontanés, d'enfants qui se présentent par le siège, de césariennes et d'enfants prématurés.



            Le sevrage est également lié à une fréquence élevée d'enfants mort-nés. Les bébés des femmes héroïnomanes sont plus petits que la moyenne et sont souvent atteints d'infections aiguës. La plupart présentent des symptômes de sevrage d'intensité et de durée variables.



            Le taux de mortalité chez ces bébés est supérieur à la moyenne.







            AUTRES DÉRIVÉS NARCOTIQUES

            Il existe plusieurs autres narcotiques qui sont dérivés du pavot, tels l’hydromorphone, l’oxymorphone, l’hydrocodone, l’oxycodone et la codéine. Tous ces produits, s’ils sont pris en quantité suffisante, peuvent causer les mêmes symptômes que l'héroïne, La codéine crée moins de dépendance que l’héroïne et se retrouve en petites quantités dans certains médicaments vendus sans ordonnance. Les pharmaciens conservent toutefois ces médicaments derrière le comptoir d’ordonnances afin d’exercer un certain contrôle sur son utilisation. Malgré ce fait, l’abus de cette substance est fréquente.





            Dans ces univérsités du tiers-monde on vous demandera le livret de famille ou est inscrit le bébé qui est encore dans le ventre de sa maman,sinon il n est pas viable.

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            • #7
              @ Kamel Daoud

              alors Mr Kame qui est ce qui abuse ?
              Dans ces univérsités du tiers-monde on vous demandera le livret de famille ou est inscrit le bébé qui est encore dans le ventre de sa maman,sinon il n est pas viable.

              Commentaire


              • #8
                Dévoiler de noms sans preuve pour un journaliste c'est de la diffamation passible de prison.
                Et écrire un article sans preuves, c'est faire office de gratte-papier entre deux pubs et non faire du journalisme ;-)

                Commentaire


                • #9
                  citation

                  alors Mr Kame qui est ce qui abuse



                  à lire les différents articles signé par celui qui est devenu notre Kamel national, il ne doit pas s'en tenir à la simple cigarette

                  chameau il doit étancher sa soif au bon malt écossais

                  forcemment porteur de nouvelles en kilt il se mélange les carreaux

                  pour cette fois, il ne nous apprend rien de nouveau

                  vu de mes yeux, à une réunion du Parti, organisé au Mouflon d'Or, les délégués des wilayates d'Algérie courir à leur descente de bus pour aller au restaurant ou, hasard ?, les organisateurs, suivez mon regard, avaient dressé un buffet où chacun devait se servir à sa convenance...

                  les mêmes , en plus "représentatifs" dans une ville amie, devenus toubibs, à un congrès entre "arabes" se précipiteront de la même manière sur le buffet offert dans le grand hôtel où ils devaient séjourner...

                  l'époque des Galeries Algériennes et des pénuries marqueront génétiquement nos descendants

                  si Kamel , fi khartrak, tchin tchin ORAN gina

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                  • #10
                    "il faut expliquer le mot T'bahdila. Traduction première : scandale. Mais il faut y ajouter le sens de déchéance, de honte, de cupidité et de bassesse. C'est ce qui se passe chez le FLN distributeur de postes, pendant son huis clos pour les listes finales. Là, c'est la nature hideuse et nue, celle qui a des dents et des acides chargés de décomposer les aliments. Là, dans ce fameux hôtel algérois qui ressemble à une sorte de congrès alimentaire de la Soummam, l'un des chefs de l'une des plus hautes institutions du pays en est venu à rouer de coups un autre ministre, patron de l'un des secteurs stratégiques de la vie des nations. Et pas seulement : on ne vous parlera pas des insultes, des délations, des accusations et des noms de femmes, maîtresses et jeunes filles citées."

                    je crois que ce qui s'est passé est dans la nature de l'histoire comtemporaine de l'Algerie : le regime actuel a commencé dans la felonie et doit s'achever dans la tbahdila .....ainsi va la foire aux larrons !

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                    • #11
                      Et écrire un article sans preuves, c'est faire office de gratte-papier entre deux pubs et non faire du journalisme ;-)
                      Ça dépend du quelle journaliste, certains ont démontré leurs honnêteté et leurs crédibilité suffisamment pour croire a leurs récit d'un événement même s'ils ne disposent ni photo ni enregistrement pour le prouver.

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