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Le président Hongrois démissionne à cause d'un plagiat

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  • Le président Hongrois démissionne à cause d'un plagiat

    Le président Hongrois Pal Scmitt a présenté sa démission devant le parlement aprés une semaine de suspens. Il a subi des critiques sévères de l'opposition qui réclamait son départ à cause d'un plagiat dans sa thèse de doctorat sur l'histoire des jeux olympiques il y'a plus de 20 ans.
    "Puisque selon la Constitution, la personne du président doit représenter l'unité de la nation hongroise et que ma personne est malheureusement devenue synonyme de division, je sens que mon devoir est de me séparer de mon poste", a déclaré Pal Shmitt.
    Il a crié au complot dés l'annonce de cette information qui a divulgué qu'il avait copié une grande partie de sa thèse. Il a perdu de ce fait sa licence de doctorat et a décidé de se retirer tout en critiquant l'université qui lui a attribué sa licence.
    Une affaire similaire avait provoqué auparavant la démission du ministre allemand de la défense pour une affaire de plagiat aussi.

    Résumé


    Dernière modification par bel-court, 02 avril 2012, 17h29.
    Pas à la tique ..

  • #2
    Si labas on démissionne à cause des raisons pareilles, je dois dire qu'on est encore au moyen age.
    Pas à la tique ..

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    • #3
      Le président Pal Schmitt, le "Borat de la Hongrie", a dû démissionner

      Il avait "la conscience tranquille" et refusait de démissionner, même quand une commission d'experts a établi que sa thèse était un plagiat. Mais le président hongrois, Pal Schmitt, un ancien champion olympique proche du premier ministre conservateur Viktor Orban, a dû quitter son poste, lundi 2 avril, pour couper court à un scandale qui nuisait à l'image de son pays, et menaçait l'unité de la majorité au pouvoir.

      Quelques heures avant sa décision, la presse hongroise, toutes tendances confondues, était parfois féroce : "C'est le Borat de la Hongrie", écrivait le commentateur de Hirszerzö, en comparant M. Schmitt au personnage comique joué au cinéma par Sacha Baron Cohen, un journaliste kazakh désorienté dans le monde occidental. Même l'éditorialiste de droite Zsolt Bayer jugeait que sa position était devenue "intenable".

      oëlle Stolz/le monde

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